Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14 mai 2013

De Valérie à François, histoire de Fisc

hollande,trierweiler,fisc,pacs,maitresse,concubine,mariage,impôts

hollande,trierweiler,fisc,pacs,maitresse,concubine,mariage,impôts

hollande,trierweiler,fisc,pacs,maitresse,concubine,mariage,impôts

hollande,trierweiler,fisc,pacs,maitresse,concubine,mariage,impôts

hollande,trierweiler,fisc,pacs,maitresse,concubine,mariage,impôts

hollande,trierweiler,fisc,pacs,maitresse,concubine,mariage,impôts

hollande,trierweiler,fisc,pacs,maitresse,concubine,mariage,impôts

hollande,trierweiler,fisc,pacs,maitresse,concubine,mariage,impôts

 

Je confirme que le raisonnement est juridiquement et fiscalement exact !

Me François Tripet, Cabinet TRIPET

Avocats à la Cour d'Appel de PARIS

88 Avenue Kléber - 75116 PARIS

T : 00.33.1.56.90.12.34 - F : 00.33.1.56.90.12.35

 

Résumé de Médiapart :


·                Soit on considère que Mme Trierweiler n'est ni pacsée ni mariée, et à ce moment-là il y a détournement de fonds publics pour son usage personnel (logement, nourriture, entretien, déplacements, six experts à l'Elysée chargés de sa communication...) ;


·                Soit on considère qu'il y a concubinage notoire et à ce moment-là il y a fausse déclaration de patrimoine (largement au-dessus des sommes déclarées et assujetti à l'ISF), ce qui annule l'élection et rend M. Hollande inéligible.

 

Plainte a été déposée, elle suit son cours.

Et Médiapart conclut:

« On peut compter sur la presse et, plus largement, sur l’establishment pour étouffer tout ceci et n’en faire qu’un petit vaudeville. C’est pourquoi relayer cette information et ses implications est indispensable : après tout, c’est notre président lui-même qui réclame avec son petit air embêté des mesures fortes pour moraliser la vie politique, que diable ! »


08 mai 2013

De quel Droit ? Lettre à François Hollande

Lettre à François Hollande, Président Normal de la République.

(Mention Corrective du 19/05/13 :

Selon certaines sources, cette lettre est attribuée à Philippe Bouvard, mais on me dit également que cette lettre aurait en réalité été écrite pas une personne qui se nomme Carole Farjala. Soit... Après recherche, et confrontation de diverses sources, la vérité ne m'apparait pas clairement. Mais dans le fond, est-ce vraiment le plus plus important ? Le plus important n'est-il pas quand même le sens de ce texte ? Texte qui est on ne peut plus vrai et dont le sens même est la seule vérité qui soit importante de relever...)

 

Monsieur Hollande, l’élection démocratique a fait de vous un président.

 

Elle vous a donné des droits, certes, mais pas TOUS les droits.

Elle vous a surtout donné des devoirs : garantir et défendre les valeurs fondamentales de notre nation.

En aucun cas, elle fait de vous un dictateur, menteur et manipulateur de surcroît.

 

Alors, de quel droit ?

 

De quel droit faites-vous disparaître les couleurs de notre drapeau du site de l’Élysée ?

L’Élysée ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Il appartient aux Français qui vous l’ont prêté pour la durée de votre mandat.

Rendez-nous nos couleurs !

 

De quel droit faites-vous disparaître les archives de l’Élysée ?

La mémoire de la France ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Elle appartient aux Français qui vous l’ont confiée pour la durée de votre mandat.

Faire croire que l’Histoire de France commence le 6 Mai 2012 et qu’avant, c’était le néant est une trahison de haut niveau.

Rendez-nous notre Histoire !

 

De quel droit détournez-vous notre argent pour promouvoir sur le site de l’Élysée une personne dont vous avez scellé vous-même le sort et le statut, c’est-à-dire « RIEN DU TOUT, et d’affecter à ce « fantôme de la République » un service et des employés à nos frais ?

Le budget de l’Élysée ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Il vous a été concédé par les Français pour régler les dépenses afférentes à vos fonctions pour la durée de votre mandat.

Rendez-nous notre argent !

 

De quel droit osez-vous influencer la Justice en interférant dans une affaire personnelle, vous qui promettiez une « République Irréprochable », (engagement 53 : je garantirai l’indépendance de la Justice).

La Justice ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Elle appartient aux Français qui ne vous permettront pas de la bafouer.

Rendez-nous notre Justice !

 

De quel droit abusez-vous des pouvoirs qui vous sont conférés en plaçant vos amis à la tête de toutes les institutions, en recevant en cachette le chef du PS, en faisant de la République l’antichambre du Parti Socialiste ? (engagement 48 : j’augmenterai les pouvoirs du Parlement, notamment sur les nominations aux plus hauts postes de l’État afin de les rendre irréprochables) et (engagement 51 : la désignation des responsables des chaînes publiques de télévision et de radio dépendra d’une autorité indépendante et non plus du chef de l’État).

Rendez-nous notre indépendance, MENTEUR !

 

De quel droit privilégiez-vous une communauté religieuse et ignorez ostentatoirement les autres, vous qui prônez la laïcité (engagement 46 : je proposerai d’inscrire la laïcité dans la Constitution). Vous qui prétendez être le Président de tous les Français (Je veux rassembler toute la France). La religion ne vous appartient pas, Monsieur Hollande. Elle appartient aux Français qui ne vous permettront pas de l’instrumentaliser à des fins électorales.

Honorez nos fêtes chrétiennes !

 

De quel droit un de vos ministres impose-t-il aux établissements privés le principe de neutralité en empêchant les débats sur le mariage homosexuel alors qu’une autre en assure la promotion dans les écoles, aux côtés d’un membre de l’Inter-LGBT ?

Rendez-nous nos écoles, Monsieur Hollande !

 

De quel droit supprimez-vous du Code Civil, du Code de la Famille et d’une douzaine d’autres Codes des termes qui sont le fondement même de notre société ?

De quel droit détruisez-vous les valeurs de la famille ? Libre à vous et Ségolène de demander à vos enfants de vous appeler parent 1 et 2, de bafouer les valeurs de votre propre famille.

L’héritage de notre modèle de société ne vous appartient pas, PARENT Hollande.

Il appartient aux Français qui ne sont pas dupes de tous les mensonges proférés publiquement par la double condamnée à qui vous avez confié la Justice de notre pays.

Rendez-nous nos Papas et nos Mamans !

Rendez-nous notre famille !

 

« Cela fait des semaines que vous voulez faire croire aux Français que les mots de Père et de Mère vont disparaître du Code Civil, mais ces mots demeurent dans le Titre 7 du Code Civil relatif à la filiation et dans le chapitre 8 » avait répliqué la ministre de la Justice Christiane Taubira. «Mais il serait bien misérable de notre part d’ouvrir le mariage sans en tirer les conséquences dans le Code Civil. Nous ne toucherons pas à ces mots quand cela ne sera pas nécessaire », avait-elle assuré.

 

De quel droit recevez-vous une association représentant une minorité au premier claquement de doigts et menaces, et refusez cette rencontre aux élus de notre République ?

Les élus ne vous appartiennent pas, Monsieur Hollande.

Ils appartiennent aux Français qu’ils représentent.

Respectez nos parlementaires !

 

De quel droit vos ministres, surtout le 1er d’entre eux, insultent-ils les chefs d’entreprises qui réussissent, les Français qui quittent le pays par votre faute, avec à leur actif des dizaines de créations d’emploi, des années de loyauté et une renommée internationale ?

Qu’avez-vous à votre actif, Monsieur Hollande, sinon un poste en or à la Cour des Comptes pour un rendement nul (c’est vous qui l’avouez), un département des plus endettés, un parti que vous avez réussi à anéantir, une fausse déclaration de patrimoine et aucune expérience du pouvoir ?

Rendez-nous la valeur du travail !

 

De quel droit mettez-vous en danger l’économie de notre pays en refusant d’écouter tous les indicateurs de votre mauvaise gestion ? (rapport cinglant de la Cour des Comptes, rapport Gallois, mises en garde de la Commission Européenne et j’en passe).

Quand tous, unanimement, réclament d’urgence une baisse drastique des dépenses publiques et la réduction du coût du travail, vous faites exactement le contraire ; vous dépensez comme un fou et matraquez les Français de taxes en plombant la compétitivité.

Rendez-nous notre économie !

 

De quel droit profitez-vous de notre armée pour redorer votre image désastreuse?

De quel droit insultez-vous les Français en déclarant au Mali que c’était le plus beau moment de votre vie politique ?

De quel droit Faites-vous le paon lorsque le vice-président des USA honore nos soldats ?

C’est un scandale, Monsieur Hollande ! Honte à vous !

Les Français ne sont pas derrière votre petite et mesquine personne.

Ils sont derrière leur armée, et soutiennent leurs soldats lorsque le pays est en guerre.

Il leur appartiendra de vous demander des comptes lorsque nos enfants qui se battent pour la liberté seront hors de danger, pas avant.

Rendez-nous notre armée !

 

De quel droit voulez-vous accorder un droit de vote aux étrangers, sans exiger une réciprocité de la part des autres pays ?

Le droit de vote est un acte citoyen, Monsieur Hollande.

Il ne vous appartient pas.

Les étrangers travaillant dans notre pays souhaitent l’exercer ?

Que n’ont-ils demandé la citoyenneté française ?

Rendez-nous notre identité nationale !

 

De quel droit votre Gouvernement refuse-t-il la liberté de vote aux députés socialistes ?

De quel droit empêche-t-il la volonté du peuple de s’exprimer ?

De quel droit tord-il le bras aux parlementaires en refusant les débats de fond, en court-circuitant les procédures législatives, en confisquant la démocratie, en refusant toutes les propositions telles que le référendum, l’union civile, le renforcement du pacs ?

 

Les députés ne vous appartiennent pas, Monsieur Hollande.

Ils appartiennent aux Français qui les ont élus pour défendre leurs choix et qui sauront s’en souvenir lors des prochaines élections.

Rendez-nous nos voix !

Rendez-nous notre démocratie !

 

MONSIEUR HOLLANDE,

VOUS AVEZ VOLE NOS COULEURS, NOTRE HISTOIRE, NOTRE ECONOMIE, NOTRE JUSTICE, NOS VALEURS, NOTRE DEMOCRATIE, NOTRE ARMEE, NOTRE IDENTITE.

 

GARE A LA COLÈRE DU PEUPLE FRANÇAIS.

 

IL N’A PLUS RIEN A PERDRE.

VOUS LUI AVEZ TOUT PRIS.

 

06 mai 2013

Lettre de tous les professionnels de l'enfance (et des autres aussi)‏

Madame Taubira, Monsieur Peillon,

 

J’ai un immense service à vous demander :

S’il vous plaît,

 

Venez expliquer aux enfants de nos classes de CP comment deux hommes ou deux femmes peuvent avoir un enfant…

Venez leur expliquer pourquoi Émilie a deux papas et comment ils ont fait pour avoir un bébé.

Venez leur expliquer que la femme qui a porté Émilie et qui l’a mise au monde, l’a donnée - probablement contre finance - à ses deux papas, et que ce n’est pas grave… que c’est « normal ».

Venez leur expliquer que, quand on a porté un enfant pendant neuf mois, c’est sans conséquence de s’en séparer… que cela se fait avec le sourire qu’on gardera le contact par Skype, parce que les origines, c’est important !

Venez leur expliquer pourquoi il y a en Inde des cliniques où des femmes sont payées pour « produire » des bébés pas chers, comme on le voit aujourd’hui dans les reportages de France 2 et de Canal +.

 

Madame Taubira, Monsieur Peillon,

Venez expliquer aux enfants de nos classes de CE1 comment on peut faire sa généalogie quand la loi dit que l’on a deux pères ?

Venez au tableau avec nous faire le dessin de l’arbre généalogique à trois branches : une branche pour le premier papa, une branche pour le second papa et une pour la maman dont Émilie descend biologiquement.

Venez expliquer à nos élèves que c’est normal, que cela ne pose aucun problème.

 

Madame Taubira, Monsieur Peillon,

Venez expliquer aux élèves de 4e, que la biologie n’a rien à voir avec l’identité sexuée.

Venez expliquer que la testostérone, c’est finalement la même chose que l’œstrogène… Que le cerveau n’est pas influencé par ces hormones… Que tout cela, ça n’a pas d’importance car finalement ce qui compte, c’est la façon dont on est éduqué.

Venez expliquer que l’humanité n’est plus composée d’hommes et de femmes, mais qu’en fait, elle se divisera demain en une multitude de genres : hétérosexuel, homosexuel, bisexuel, transsexuel, multi-sexuels, intersexuels, auto-sexuel, alter-sexuel, allo-sexuel, asexuel…

 

Madame Taubira, Monsieur Peillon

Nous vous suivrons sur le terrain du respect de la différence !

Oui, l’école doit apprendre aux enfants qu’il existe bien des manières d’être un garçon et une fille et qu’on n’éduque pas à coup de caricatures ;

Oui, l’école doit être attentive à ce que les enfants soient accueillis et respectés, quelles que soient leur couleur de peau, leur manière de vivre, leur religion, leur apparence physique, leur niveau intellectuel, leur famille ;

Là-dessus, nous vous suivrons et nous vous soutiendrons, car cela construit une société plus juste, plus fraternelle.

 

Mais ne nous demandez pas d’expliquer l’inexplicable.

Ne nous demandez pas de justifier l’injustifiable.

Ne nous demandez pas l’équilibre impossible !

 

Enseignants, aides-maternelles, psychologues, orthophonistes, éducateurs et éducatrices, pédiatres… ces métiers de l’enfance, nous ne les avons pas choisis par idéologie politique ou religieuse. C’est la passion de l’éducation qui nous conduit chaque jour auprès d’eux pour les aider à grandir et à surmonter les défis de la vie.

 

Nous faisons notre maximum ! Ne nous demandez pas l’impossible !

 

J’en appelle à tous les professionnels de l’enfance qui refusent de devenir les complices d’une loi qui brouillera les repères nécessaires à l’éducation des jeunes.

J’en appelle à tous les professionnels de l’enfance qui voient au quotidien la souffrance des enfants et des jeunes à qui il manque les repères élémentaires pour se construire.

Signez l’Appel des professionnels de l’enfance, (http://www.debattons.org) pour qu’ensemble nous continuions à réclamer des états généraux de la famille et à redire qu’on n’éduque pas les jeunes avec des théories, mais en donnant des bases, des repères qui permettent de vivre le réel.

 

Les enfants n’ont pas voix au chapitre, ils ne votent pas, n’ont pas accès aux médias : c’est notre métier, notre passion et c'est notre devoir de faire entendre leur voix !

 

Jérôme Brunet,

Président de l'Appel des professionnels de l'enfance