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19 mars 2017

S'investir dans une valeur sûre : l'amour !

Rédigé par Joseph-André Metten pour le site Theotokos

L’auteur présentera son livre « Un couple pour la vie ? » le jeudi 6 avril à Paris chez son éditeur L’Harmattan, à partir de 19 h, au cours d’une réunion-débat. Les personnes intéressées trouveront les indications utiles sur le site de L’Harmattan ou peuvent s'inscrire à l'adresse suivante : auteurs@harmattan.fr

 

Dans notre monde incertain, l’amour brille d’un éclat exceptionnel

L’environnement dans lequel nous vivons a considérablement changé depuis quelques dizaines d’années, malheureusement surtout dans le sens de la dégradation : la montée de la violence, du terrorisme, de la haine aveugle, à l’échelle mondiale ; les guerres, famines, génocides qui touchent des populations entières ; le risque nucléaire qui augmente; l’aggravation du réchauffement climatique de la planète ; les problèmes de l’Europe et, souci majeur pour beaucoup, la hausse du chômage notamment en France.

C’est dans ce contexte difficile que doit aujourd’hui se prendre la décision de constituer ou non un couple, peut-être dans la durée.

A celles et ceux qui mènent actuellement cette réflexion, nous livrons notre intime conviction qui est résolument très optimiste : plus l’environnement est préoccupant et plus la vie à deux prend tout son sens. Il y a un parallèle à faire avec le secteur de l’économie : plus le contexte financier est incertain, porteur de risque, plus il faut rechercher, tout le monde le sait, ce que l’on appelle les valeurs refuge. Eh bien, c’est exactement la même démarche qu’il faut suivre dans le monde plein d’incertitudes dans lequel nous vivons tous : la recherche des véritables valeurs refuge pouvant mettre deux êtres à l’abri de nombreux risques. Ce sont principalement la vie en couple et l’amour qui l’accompagne.

L’amour n’est pas atteint, lui, par la mondialisation et tous ses excès. Dans la période difficile que nous traversons, cette valeur refuge qu’est l’amour brille d’une lumière exceptionnelle pour les êtres qui le partagent.

S’investir dans l’amour prend une résonance encore beaucoup plus forte dans la perspective de ce que pourrait devenir notre avenir à tous : l’environnement dans lequel nous vivons va sans doute encore se dégrader dans les années à venir. Ainsi, pour rester dans la comparaison financière, la valeur Amour devrait voir «sa cote» continuer de s’apprécier.

 

Un piège à éviter dans la vie à deux : l’immobilisme

Notre expérience de vie commune nous a fait comprendre qu’il y a un piège dans lequel un couple doit absolument éviter de tomber : l’immobilisme. Avec le temps qui passe, le comportement de chacun doit impérativement évoluer. Et l’immobilisme vaincu, le bonheur de vivre à deux se renforce encore considérablement. La vie en couple, de la sorte, peut échapper à l’usure qui guette l’amour partagé. Si on n’est pas très vigilants, peuvent apparaître une monotonie dans la vie du couple, des interrogations sur l’autre, voire des doutes ou des déceptions qui pourraient fragiliser la vie à deux.

Bien au contraire, l’acceptation de deux êtres d’infléchir chacun son comportement, l’un aidé par l’autre, permet de vivre un amour renforcé et de pouvoir faire face à deux à des difficultés qui ne manqueront pas de surgir. Le couple qui accepte de modifier simultanément le comportement de l’un et de l’autre, et constate avec bonheur une amélioration, peut envisager l’avenir à deux dans la sérénité.

 

La réussite d’un couple dans la durée

Deux êtres qui envisagent de former un couple doivent, c’est notre conviction, tout faire pour que leur amour dure et rayonne autour d’eux. Nous pensons profondément que le véritable amour ne veut pas de limite dans le temps : l’amour refuse d’être bridé, il exige tout.

D’où notre recommandation principale qui s’adresse à celles et à ceux qui réfléchissent à vivre à deux est qu’ils s’engagent l’un vis-à-vis de l’autre dans la durée, si possible pour la vie.

C’est de la sorte qu’ils peuvent être le mieux armés pour faire face ensemble, dans le bonheur, à toutes les difficultés liées à un environnement chargé d’incertitudes.

L’amour entre deux êtres peut continuer à s’enrichir par un respect commun et une confiance totale l’un vis-à-vis de l’autre et, de la sorte, procurer à l’un et à l’autre, dans la durée, un grand bonheur partagé.

 

« Un couple pour la vie ? »

Cet investissement dans cette valeur sûre, ce trésor, nous pouvons en témoigner, car nous l’avons vécu, éprouvé, savouré. A travers ce livre (dont les droits d’auteur sont reversés intégralement à une Fondation de recherche contre le cancer), nous livrons les secrets de nos quarante-deux années de bonheur, malgré des épreuves familiales bouleversantes.

Notre livre « Un couple pour la vie ? » vient d’être remis au Pape François pour lequel mon épouse Susana, d’origine argentine, avait une grande admiration.

 

Joseph-André METTEN

 

26 mai 2015

Aimez-vous… Bordel de Merde !!

« L’amour ne se commande pas ! » dit-on souvent.

 

Si cette phrase est assez vraie pour ce qui est de l’amour qui relit deux êtres humains : dans une certaine mesure, on ne choisit pas celle ou celui que l’on aime. Car même si l’on choisit d’aimer cette personne et pas une autre, les défauts de cette personne et pas ceux d’une autre, au moment de la rencontre, on ne choisit pas forcément d’en tomber amoureux…

 

En revanche, cela me semble beaucoup plus faux pour ce qui est de l’amour qui se partage entre les hommes et les femmes… En effet, cet amour-là doit se décider, se travailler, se cultiver et cet amour-là, on l’appelle justement « le respect ou la bienveillance ». C’est une disposition entretenue, une vertu.

 

« Aimez-vous les uns les autres. » disent les sages. Mais force est de constater que nous avons toujours plus de facilité pour « les uns » que pour « les autres »… Pourtant cela serait tellement bon !

 

Notre vie est faîte de périodes joyeuses auxquelles succèdent des moments de déceptions et de blessures, des moments de confiance et des moments de défiance… Mais mes réactions face aux événements du quotidien sont-elles justifiées ? Ai-je toujours raison d’agir comme ceci ou comme cela ?

 

Je ne sais pas… Mais ce qui est sûr c’est qu’il faut dépasser la confiance naïve et la suspicion meurtrissante pour enfin accueillir les autres avec une bienveillance tendre, voulue, réfléchie… comme je voudrais moi-même l’être…

 

Et la bienveillance m’oblige… Oui, la bienveillance m’oblige à croire en l’Homme, à croire en la bonté de l’Homme... Cela ne m’interdit pas d’observer et d’analyser… mais cela me demande d’oser… d’oser la confiance… Cela me demande d’oser l’amour… Oui, d’oser l’amour avant la haine.

 

Car la haine est toujours inutile, elle détruit plus qu’elle ne fait avancer le monde. Et c’est d’amour que le monde a besoin… et nous en premier ! Vaste Programme ! Mais tellement plus heureux…

 

Aimez-vous… Bordel de Merde !!

 

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27 mars 2015

Juste avant le bonheur - Agnès Ledig

Juste-avant-le-bonheur.jpgJe viens de finir la lecture de « Juste avant le bonheur », roman paru en 2013 sous la plume d’Agnès Ledig aux Éditions Albin Michel et reparu récemment chez Pocket. Ce roman, acheté un peu par hasard (oui j’avoue, le seul mot « Bretagne » dans le résumé m’y a poussé), m’a arraché plus d’un sourire, quelques éclats de rire et fait aussi verser quelques chaudes larmes... Un joli coup de cœur que je voudrais vous conseiller… et même vous recommander…

 

4ème de couverture Pocket

Cela fait longtemps que Julie ne croit plus aux contes de fée. Caissière dans un supermarché, elle élève seule son petit Lulu, unique rayon de soleil d'une vie difficile. Pourtant, un jour particulièrement sombre, le destin va lui sourire. Ému par leur situation, un homme les invite dans sa maison du bord de mer, en Bretagne. Tant de générosité après des années de galère : Julie reste méfiante, elle n'a pas l'habitude. Mais pour Lulu, pour voir la mer et faire des châteaux de sable, elle pourrait bien saisir cette main qui se tend...

« Un hymne à l'espoir qui sonne juste comme une expérience vécue... Un livre poignant, ou le malheur n'a pas le dernier mot. »  Le Figaro Magazine

 

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Dans cette histoire, improbable à priori, l’auteure parle avec justesse de relations humaines, de tendresse, de résilience et de coalescence, du bien que peut faire une simple attention, si petite soit-elle, et du bénéfice de tendre la main gratuitement pour s’entraider. Bien-sûr, cela ne nous protège en rien des épreuves de la vie et de ce qu’il peut nous arriver dans la vie, mais être soutenu permet de continuer à avancer car de toute façon on ne peut pas faire autrement.

Dans ce roman, Agnès Ledig met le doigt sur nos propres capacités à se relever du « pire » et sur ce qui fait mal à notre époque : le manque d'empathie et de compassion. C'est chacun pour soi. Alors quand une personne nous tend la main, simplement, nous avons du mal à l'attraper parce que nous ne la voyons pas ou que ça ne peut pas être sincère, plus maintenant. Et comment agissons nous face au malheur des autres ? Pas le temps, chacun sa vie ?

L’auteure ose également un regard sur les hommes qui mérite de s’y arrêter. Au début Julie se méfie d’eux (le père de son fils qui s’est défilé, son père qui l’a chassé, son chef qui la harcèle…), puis découvre que Paul et son fils Jérôme (veufs tous les deux) sont bien différents de l’image qu’elle avait des hommes que la vie lui avait donné pour modèles... Et que la vraie bonté peut encore exister… Enfin, elle aborde, et avec pudeur et maîtrise, des sujets graves et des sujets plus tabous (oui je sais, mais non je ne dirais rien) mais reste toujours crédible.

 

L’histoire :

 

Julie est caissière dans un supermarché et élève seule son petit garçon, Lulu, unique rayon de soleil d’une vie déjà difficile. Enceinte après une soirée trop arrosée, Julie n’a trouvé aucun réconfort auprès d’un père autoritaire qui l’a mise à la porte et une mère qui l’a laissé faire. A 20 ans seulement elle subit la pression de son supérieur qui la harcèle : horaires jamais pratiques, accusations sans preuves, menaces, salaire dérisoire… et il n’hésite pas non plus à user de son pouvoir de petit chef pour lui faire des avances. Ces conditions de « travail » lui permettent à difficilement de joindre les deux bouts en fin de mois mais elle accepte de subir malgré tout, parce qu’elle a un fils âgé de 3 ans et qu’elle doit tenir... Tant pis, si elle doit y perdre sa dignité pour pourvoir à son bonheur !

« Quelle dignité ? Ça fait belle lurette que ce petit bout de femme l’a perdue, Quand c’est une question de survie, on range dans les placards les grands idéaux qu’on s’était fabriqués gamine. Et on encaisse, on se tait, on laisse dire, on subit ».

 

Elle déprime silencieusement à son poste de travail et cela fait longtemps que Julie ne croit plus aux contes de fée. Pourtant, un jour particulièrement sombre, le destin va lui tendre la main. Alors qu’elle a encore subi les menaces de son chef, Julie laisse poindre une larme qui se veut discrète et attire l'attention d'un client, Paul, quinquagénaire aisé à nouveau célibataire qui découvre les « joies » des courses en grandes surfaces… Contrairement à la majorité des clients, il s’intéresse à elle et est ému par leur situation. Cet homme généreux et désintéressé, tente de nouer la conversation avec la jeune fille, de l’inviter à déjeuner, mais cette dernière n’y voit qu’une tentative de drague de la part d’un homme trop mûr. Seulement, à force de patience et de compréhension mutuelle, un début d’amitié se noue. En effet, Paul n’a pas besoin de femme dans sa vie. Et même si l’argent n’est pas un problème, il trimballe lui aussi son lot de casseroles… Et Paul invite Julie et son petit Ludovic à passer quelques jours de vacances dans sa belle villa de bord de mer en Bretagne. La chance serait-elle enfin en train de tourner pour Julie ?

Méfiante, elle fini par se laisser convaincre de sortir de sa grisaille, pour elle et pour son Lulu. Ils y retrouvent Jérôme, le fils de Paul, qui ne se remet pas du suicide de sa jeune femme. Et puis Lulu découvre la mer, Julie se repose et réussit même à apprivoiser Jérôme qui préférait se méfier d’elle avec ses allures étranges. Gaieté et optimisme reviennent pourtant grâce à l'attachante présence du petit Lulu et au caractère tendre et maternelle de Julie. Ces êtres cassés par la vie réapprennent à vivre au contact les uns des autres…

Mais sur le chemin du retour, un nouveau drame survient. C'est le tragique accident de voiture et Lulu meurt après un long coma. Une chaîne de soutien, d'affection et de tendresse se forme autour de Julie. Avec elle, à travers elle, des êtres désemparés tentent encore de réapprendre à vivre et de saisir une nouvelle chance.

 

« Juste avant le bonheur » : Un conte de fées moderne

 

On pourrait croire que ce roman est une pâle copie entre « Les tribulations d’une caissière », « Pretty Woman » et d’autres... Sauf qu’il n’en n’est rien… Croire cela serait faire erreur. Comme le dit notre « héroïne », la vie n’est pas un long fleuve tranquille et le calme de la Bretagne n’est peut-être qu’un instant de paix avant la prochaine tempête qui s’annonce. Et pourtant…

« Juste avant le bonheur » c’est aussi cette histoire troublante écrite avec justesse, sans fioritures, sans pathos excessif et sans prétention inutile qui nous prouve encore, s’il en était besoin, que le bonheur est à portée de bain, qu’il est possible de le ressentir, qu’il suffit presque de se servir… mais que malgré tout, cela n’enlève pas les cailloux dans la chaussure ou le sable dans les rouages… mais qu’il faut faire avec et continuer d’avancer, malgré tout.

En effet, lorsqu’une tragédie, qui n’a pas de nom, nous a emportée mais que le temps apaise la douleur, sans pour autant l’effacer, peut-on s’accorder le droit de vivre et de se sentir heureux ? Alors, oui, on n’échappe pas à quelques moments de lecture la larme à l’œil, mais cette lecture est paradoxalement revigorante car elle recentre les choses sur l’essentiel. La force des épreuves de la vie surmontées ensemble, l'espoir d'un jour meilleur et d’un nouvel amour aussi, ainsi qu'une bonne dose d'intelligence et d'humour peuvent réussir ce miracle d’accueillir le bonheur un petit matin… Reprendre son souffle et continuer à vivre, malgré tout, et se sentir heureux à nouveau, sans culpabilité. Quelle leçon de vie !

 

 

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Ne comptez pas sur moi pour vous raconter les détails, je vous en ai déjà bien trop dit... Ce serait dommage de ne pas découvrir page après page cette très belle histoire partagée avec des personnages profondément attachants et des dialogues d'une rare vivacité. Une histoire de vie, de rencontres, d’espérance, de seconde chance, de lien d’amitié profonde, de vie, de mort, de résilience et de coalescence… Un livre bourré de grâce, d’optimisme et d’énergie, qui réconcilie avec la vie, ou comment retrouver goût à la vie au contact de l'autre.... « Juste avant le bonheur » fait partie de ces (trop) rares livres qu'on a envie de rouvrir à peine refermés, tout simplement parce qu'ils font du bien !

 

Si je devais paraphraser ce roman, je dirais « Malgré la brutalité de la vie, choisit la vie ! Accroche-toi et savoure chaque instant...» ou bien « Ne baisse jamais les bras… cela pourrait être 2 secondes avant le miracle… »

 

Interviews de l'auteure...

https://www.youtube.com/watch?v=jrCa-r1RSi8#t=90

https://www.youtube.com/watch?v=NK_sAfqTk7c

 

 

 

 

 

05 août 2014

"Jeu de Cons" - Mise en Garde

Après les nominations pour se saouler la gueule, après les nominations pour se jeter à l'eau, après les nominations pour sauter d'un balcon à l'autre...

Voilà le nouveau défi à la con : Le "Fire Challenge".

Ce nouveau "jeu de cons" qui circule via Facebook vous "demande" de vous asperger d'alcool et de vous foutre le feu !! Ben voyons !!! Et puis quoi encore ???

 

J'ignore qui sont ces gros nazes suicidaires en manque de sensations mortifères qui inventent ces "jeux de cons", mais cela n'a vraiment rien de drôle ou d'amusant ! C'est même très dangereux ! Encore une fois, on peut en mourir !!

Bientôt ça sera quoi ??? Nomination pour se couper les veines ? Nominations pour se foutre une balle dans le pied ? Nomination pour se coucher sur les rails sncf ?

 

Ne suivez pas ces tendances idiotes, c'est ridicule, stupide et dangereux ! Soyez plus intelligent que cette nasse de moutons sans cervelle... Votre vie est belle et mérite d'être vécue entourée de vos proches !!

 

Je ne suis pas là pour vous donner des leçons évidemment, mais franchement, si vous vous ennuyez... Y'a plein de choses enrichissantes à faire, plein de vraies belles choses à découvrir et plein de rencontres à vivre et tant de choses et de personnes à aimer... <3 

05 juillet 2014

La fable de l’étoile de mer...

Petite parole de réconfort pour quand on vous dit que vos efforts sont vains !

 

Deux amis parcourent silencieusement une longue plage, au coucher du soleil. La mer découpe les derniers rayons rougeoyants de l’astre qui semble se dissoudre à l’horizon, tandis que l’écume clapote tendrement contre quelques rochers abandonnés. L’un des deux hommes se penche soudain.

 

Sur le sable, seule et déjà presque desséchée, une maigre étoile de mer meurt doucement, incapable de rejoindre l’eau dont elle a été rejetée par un courant trop fort pour elle. Il la saisit délicatement au bout de ses doigts et la contemple un moment. Puis il esquisse un geste pour la projeter de nouveau dans l’eau. Son ami l’interpelle alors : « À quoi bon ? Tu sais bien que la mer dépose chaque jour des milliers d’étoiles sur le sable… Pour une que tu sauveras peut-être, combien vont malgré tout mourir, parce que tu ne peux pas t’occuper de chacune ? La remettre à l’eau, c’est dérisoire, inutile, et ça ne change rien. »

 

Avec un sourire un rien amer, l’homme continue de fixer l’animal, sans trop savoir quoi faire. Et soudain, d’un grand geste puissant, il la lance le plus loin possible dans l’océan. Reprenant sa marche sous l’œil interrogatif de son ami, il commente alors : « Peu importe. Parce que, pour elle, ça change tout. »

 

19 juin 2014

En 1976 au sujet de la PATRIE…

 

En 1976, dans le cadre d’un concours littéraire, un jeune collégien de 3ème a été classé lauréat national dans un concours écrit sur le thème de la « Patrie ». Le Collège Stanislas à Paris a publié la copie de cet élève dans son bulletin de la même année. Le sujet exact était : « Que signifie pour vous le mot Patrie ? »

 

Voici sa copie :

 

« Étranger, mon ami, tu me demandes ce que signifie le mot « Patrie ».

 

Si tu as une mère et si tu l’honores, c’est avec ton cœur de fils que tu comprendras mes propres sentiments. Ma patrie, c’est la terre de France où mes ancêtres ont vécu. Ma patrie, c’est cet héritage intellectuel qu’ils m’ont laissé pour le transmettre à mon tour.

 

Viens voir, étranger, la beauté des paysages de France, la splendeur des monuments édifiés par mes aïeux. Va te reposer dans le vert marais poitevin, admire les roches rouges d’Agay qui se baignent dans le bleu de la mer de Provence. Chemine simplement de Paris vers Lyon. Sur la route, près d’Avallon, l’élégance raffinée de la basilique de Vézelay fera surgir pour toi l’épopée de nos croisades. Tu arriveras plus loin au Château de la Rochepot qui donne à la région un air médiéval. N’oublie pas de visiter en Bourgogne le ravissant hospice de Beaune. Ne néglige pas le barrage de Gémissiat. Continue, regarde, réjouis-toi de tant de beauté.

 

Mais si la France, ma patrie, n’était que belle et aimable, mon amour pour elle ne serait pas si grand. Elle est mieux encore : intelligente et cultivée. La clarté de sa pensée, la finesse de son esprit, l’excellence de son goût te sont déjà connus. Des idées venues de France ont influencé l’humanité toute entière. Sais-tu par exemple, que la bibliothèque personnelle de Frédéric II de Prusse, conservée à Berlin, ne contient que des livres écrits en français ? Ainsi, bien au-delà de nos frontières, des hommes de France sont célèbres : philosophes, écrivains, poètes, artistes, savants. Pascal, Molière, Vigny, Delacroix, Berlioz, Pasteur : tous ont contribué à la gloire de la France.

 

Et vous, héros humbles et méritants, qui avez fait la France brave et fidèle, vous guerriers morts pour la patrie, comme je vous suis reconnaissant de m’avoir conservé ce précieux bien de mes ancêtres ! De Bayard à Guynemer, des premiers chevaliers aux soldats des dernières guerres, que de dévouements, que de sacrifices !

 

Et toi mon ami, qui es aussi comme moi une créature de Dieu, ne vois-tu pas qu’ici en France, tu es en terre chrétienne ? Les oratoires pittoresques, les calvaires aux croisées des chemins, les flèches de nos cathédrales sont les témoins de pierre d’une foi vivante. Ma patrie, bonne et pieuse, a vue naître de grands saints. Le sens missionnaire de Saint Bernard, la vertu de Saint-Louis, la charité de Saint Vincent de Paul, le zèle du Curé d’Ars sont le vrai trésor laissé par nos ancêtres. De la grande Sainte Jeanne d’Arc à la petite Thérèse, de l’épopée de l’une à la vie si simple de l’autre, je retrouve le courage et la bonté des femmes de France. Aux plus humbles d’entre elles, s’est montrée la Vierge Marie. A travers Catherine Labouré, Bernadette de Lourdes, quel honneur pour la France !

 

Tu comprends maintenant pourquoi, ami étranger, j’aime et je vénère ma patrie comme ma mère ; pourquoi, si riche de tout ce qu’elle me donne, je désire transmettre cet héritage. Ne crois pas que cet amour que j’ai au cœur soit aveugle. Mais devant toi, je ne dirai pas les défauts de ma mère Patrie. Car tu sais bien qu’un fils ne gagne rien à critiquer sa mère… C’est en grandissant lui-même qu’il la fait grandir. Si je veux ma patrie meilleure et plus saine, que je devienne moi-même meilleur et plus sain.

 

La France, ma patrie a tant de qualités que je ne saurais, ami étranger, te priver de sa douceur ; si tu sais découvrir ses charmes et ses vertus, tu l’aimeras, toi aussi. Je partagerai avec toi ses bontés et, loin de m’appauvrir de ce don, je m’enrichirai de cette tendresse nouvelle que tu lui porteras. Mais ne l’abîme pas, ami étranger, la France, ma douce patrie, ma chère mère ; ne la blâme pas, ne la pervertis pas, ne la démolis pas car je suis là, moi son fils, prêt à la défendre… »

 

 

Ce gamin écrivait en français, pensait en français et n’était pas racolé par des politiciens indignes pour des causes douteuses. Mesurez le chemin parcouru en une génération… Comment inverser la tendance et remettre la France sur les rails ?

 

 

 

11 juin 2014

Amis des enfants du monde

Amis des enfants du monde

Jean Humenry

 

Refrain :

Amis, amis,

Amoureux de la vie

Nous sommes les amis

De tous les enfants du monde.

Unis, unis

Comm' les doigts de la main

Nous voulons pour demain

La paix pour tout le monde.

 

1 -

C'est pas parc' qu'on est blanc, c'est pas parc' qu'on est noir

Qu'on n' peut pas se parler, qu'on n' peut pas s'écouter

Ensemble on s' ra plus fort pour crier notre espoir

D'un monde plein d'amour, d'un monde plein de paix.

 

2 -

Si on s' connaissait mieux on pourrait s'entraider

On a les mêmes joies et les mêmes chagrins

Il y a tellement de choses dans ce monde à changer

Qu'on pourrait avancer en se tendant la main.

 

3 -

On a des différences, on peut les partager

Et même si tu vis sur un autr' continent

Je sais bien que ton cœur ne rêve que d'amitié

Je sais que dans nos veines coule le même sang.

 

 

14 avril 2014

« Les lois controversées, c'est toujours mieux de les voter quand les gens sont en bikini ».

Madame, Monsieur,
Chers amis de la justice,


Cette phrase scandaleuse a été prononcée par Jean-Jacques Urvoas, député et président de la Commission des lois à l'Assemblée nationale. Il s'exprimait dans le journal Libération, le 7 avril à propos de la réforme pénale.

L'objectif est très clair : profiter des vacances pour voter en catimini la réforme pénale la plus dangereuse des quarante dernières années !

Mais cette réforme, l'Institut pour la Justice fait et fera tout pour la combattre.

Nous organisons déjà des réunions publiques dans de nombreuses villes pour expliquer la réforme Taubira, nous sollicitons les médias, nous avons déposé à l’Élysée une pétition qui a réuni plus de 300 000 signatures, nous avons créé le premier groupe d'opposants à ce texte avec des policiers, des magistrats, des victimes, des élus locaux.

Alors que cette loi devait être discutée en avril, la mobilisation de l'Institut pour la Justice a permis de faire reculer le gouvernement une première fois.


Mais aujourd'hui, notre mobilisation doit redoubler d'efforts car nous sommes particulièrement inquiets.

Vidéo-témoignage à écouter ICI, la réforme y est expliquée plus en détails.


Christiane Taubira a été reconduite à la chancellerie et semble vouloir passer en force. Alors que sa réforme prévoit déjà de supprimer les peines plancher contre les récidivistes, de permettre à tous les criminels, dans nos prisons, de sortir à la moitié de leur peine ou bien encore de libérer plusieurs milliers de détenus ; la garde des Sceaux a fait des annonces particulièrement graves il y a quelques jours.

Elle a déclaré qu'elle voulait « redonner de la cohérence » au texte grâce aux amendements des députés. Derrière cette expression se cache un projet effroyable.

Christiane Taubira veut que les peines de deux ans de prison ferme restent inexécutées et que la contrainte pénale (nouvelle fausse sanction prévue dans la loi) concerne tous les délits qui peuvent être punis de 10 ans de prison !!!

Sont punis de 5 à 10 ans de prison : les vols ultraviolents, le proxénétisme, les agressions armées en bande organisée contre des policiers ou les agressions sexuelles aggravées...

Voilà l'objectif. Éviter la prison à des criminels aux profils ultra dangereux !

La ministre de la justice (ou de ce qu'il en reste) incitait même, il y a quelques jours et sourire ironique aux lèvres, à une association de magistrats de prendre « d'assaut les députés et les sénateurs » pour aggraver encore cette loi criminelle.

Mais nous refusons de nous laisser faire.

Nous avons créé une page pour vous permettre d'interpeller directement votre député et exiger qu'il ne vote pas cette loi qui sera discutée très bientôt à l'Assemblée.

Notre seule chance aujourd'hui est de faire pression sur nos députés de toute urgence. Nous sommes leurs électeurs, ils doivent nous entendre.

Chaque voix compte, c'est pourquoi je vous demande de participer à notre grande action et d'écrire à votre député ICI. Cela ne prend que quelques instants.

 

Je compte sur vous.



Laurence Havel,
Secrétaire nationale de l'Institut pour la Justice

31 mars 2014

J'accuse - Michel Sardou

J'accuse !

Michel Sardou

(Lien Youtube)

 

 

J'accuse les hommes, un par un et en groupe,

J'accuse les hommes de cracher dans leur soupe,

D'assassiner la poule aux œufs d'argent,

De ne prévoir que le bout de leur temps.

 

J'accuse les hommes de salir les torrents,

D'empoisonner le sable des enfants,

De névroser l'âme des pauvres gens,

De nécroser le fond des océans.

 

J'accuse les hommes de violer les étoiles,

Pour faire bander le Cap Canaveral,

De se repaître de sexe et de sang,

Pour oublier qu'ils sont des impuissants.

 

De rassembler les génies du néant,

De pétroler l'aile des goélands,

D'atomiser le peu d'air qu'ils respirent,

De s'enfumer pour moins se voir mourir.

 

J'accuse les hommes de crimes sans pardon,

Au nom d'un homme ou d'une religion,

J'accuse les hommes de croire des hypocrites,

Moitié pédé moitié hermaphrodites,

Qui jouent les durs pour enfoncer du beurre

Et s'agenouillent aussitôt qu'ils ont peur.

J'accuse les hommes de se croire des surhommes

Alors qu'ils sont bêtes à croquer la pomme.

 

J'accuse les hommes, je veux qu'on les condamne,

Au maximum, qu'on arrache leur âme,

Et qu'on la jette aux rats et aux cochons,

Pour voir comment eux ils s'en serviront.

 

J'accuse les hommes, en un mot comme en cent,

J'accuse les hommes d'être bêtes et méchants,

Bêtes à marcher au pas des régiments,

De n'être pas des hommes, tout simplement.

 

28 mars 2014

Méditation sur le Bipartisme

J'ai trouvé ce court texte sur internet...

Je l'ai trouvé très juste...

Je vous le partage donc...

 

 

 

Un matin, en lisant le journal, je découvris avec horreur qu'une de mes mains était à droite. Jugeant la cohabitation impossible, ma main gauche coupa ma main droite.

 

L'après midi, sa culpabilité ne faisant aucun doute, ma main gauche fut condamnée à être broyée par un tribunal de mains droites.

 

Le soir, j'ai beaucoup pleuré, j'ai craché sur la politique et je me suis dit que si j'avais fait appel à ma tête j'aurais pu construire quelque chose de beau avec mes 2 mains…

14 mai 2013

De Valérie à François, histoire de Fisc

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Je confirme que le raisonnement est juridiquement et fiscalement exact !

Me François Tripet, Cabinet TRIPET

Avocats à la Cour d'Appel de PARIS

88 Avenue Kléber - 75116 PARIS

T : 00.33.1.56.90.12.34 - F : 00.33.1.56.90.12.35

 

Résumé de Médiapart :


·                Soit on considère que Mme Trierweiler n'est ni pacsée ni mariée, et à ce moment-là il y a détournement de fonds publics pour son usage personnel (logement, nourriture, entretien, déplacements, six experts à l'Elysée chargés de sa communication...) ;


·                Soit on considère qu'il y a concubinage notoire et à ce moment-là il y a fausse déclaration de patrimoine (largement au-dessus des sommes déclarées et assujetti à l'ISF), ce qui annule l'élection et rend M. Hollande inéligible.

 

Plainte a été déposée, elle suit son cours.

Et Médiapart conclut:

« On peut compter sur la presse et, plus largement, sur l’establishment pour étouffer tout ceci et n’en faire qu’un petit vaudeville. C’est pourquoi relayer cette information et ses implications est indispensable : après tout, c’est notre président lui-même qui réclame avec son petit air embêté des mesures fortes pour moraliser la vie politique, que diable ! »


08 mai 2013

De quel Droit ? Lettre à François Hollande

Lettre à François Hollande, Président Normal de la République.

(Mention Corrective du 19/05/13 :

Selon certaines sources, cette lettre est attribuée à Philippe Bouvard, mais on me dit également que cette lettre aurait en réalité été écrite pas une personne qui se nomme Carole Farjala. Soit... Après recherche, et confrontation de diverses sources, la vérité ne m'apparait pas clairement. Mais dans le fond, est-ce vraiment le plus plus important ? Le plus important n'est-il pas quand même le sens de ce texte ? Texte qui est on ne peut plus vrai et dont le sens même est la seule vérité qui soit importante de relever...)

 

Monsieur Hollande, l’élection démocratique a fait de vous un président.

 

Elle vous a donné des droits, certes, mais pas TOUS les droits.

Elle vous a surtout donné des devoirs : garantir et défendre les valeurs fondamentales de notre nation.

En aucun cas, elle fait de vous un dictateur, menteur et manipulateur de surcroît.

 

Alors, de quel droit ?

 

De quel droit faites-vous disparaître les couleurs de notre drapeau du site de l’Élysée ?

L’Élysée ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Il appartient aux Français qui vous l’ont prêté pour la durée de votre mandat.

Rendez-nous nos couleurs !

 

De quel droit faites-vous disparaître les archives de l’Élysée ?

La mémoire de la France ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Elle appartient aux Français qui vous l’ont confiée pour la durée de votre mandat.

Faire croire que l’Histoire de France commence le 6 Mai 2012 et qu’avant, c’était le néant est une trahison de haut niveau.

Rendez-nous notre Histoire !

 

De quel droit détournez-vous notre argent pour promouvoir sur le site de l’Élysée une personne dont vous avez scellé vous-même le sort et le statut, c’est-à-dire « RIEN DU TOUT, et d’affecter à ce « fantôme de la République » un service et des employés à nos frais ?

Le budget de l’Élysée ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Il vous a été concédé par les Français pour régler les dépenses afférentes à vos fonctions pour la durée de votre mandat.

Rendez-nous notre argent !

 

De quel droit osez-vous influencer la Justice en interférant dans une affaire personnelle, vous qui promettiez une « République Irréprochable », (engagement 53 : je garantirai l’indépendance de la Justice).

La Justice ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Elle appartient aux Français qui ne vous permettront pas de la bafouer.

Rendez-nous notre Justice !

 

De quel droit abusez-vous des pouvoirs qui vous sont conférés en plaçant vos amis à la tête de toutes les institutions, en recevant en cachette le chef du PS, en faisant de la République l’antichambre du Parti Socialiste ? (engagement 48 : j’augmenterai les pouvoirs du Parlement, notamment sur les nominations aux plus hauts postes de l’État afin de les rendre irréprochables) et (engagement 51 : la désignation des responsables des chaînes publiques de télévision et de radio dépendra d’une autorité indépendante et non plus du chef de l’État).

Rendez-nous notre indépendance, MENTEUR !

 

De quel droit privilégiez-vous une communauté religieuse et ignorez ostentatoirement les autres, vous qui prônez la laïcité (engagement 46 : je proposerai d’inscrire la laïcité dans la Constitution). Vous qui prétendez être le Président de tous les Français (Je veux rassembler toute la France). La religion ne vous appartient pas, Monsieur Hollande. Elle appartient aux Français qui ne vous permettront pas de l’instrumentaliser à des fins électorales.

Honorez nos fêtes chrétiennes !

 

De quel droit un de vos ministres impose-t-il aux établissements privés le principe de neutralité en empêchant les débats sur le mariage homosexuel alors qu’une autre en assure la promotion dans les écoles, aux côtés d’un membre de l’Inter-LGBT ?

Rendez-nous nos écoles, Monsieur Hollande !

 

De quel droit supprimez-vous du Code Civil, du Code de la Famille et d’une douzaine d’autres Codes des termes qui sont le fondement même de notre société ?

De quel droit détruisez-vous les valeurs de la famille ? Libre à vous et Ségolène de demander à vos enfants de vous appeler parent 1 et 2, de bafouer les valeurs de votre propre famille.

L’héritage de notre modèle de société ne vous appartient pas, PARENT Hollande.

Il appartient aux Français qui ne sont pas dupes de tous les mensonges proférés publiquement par la double condamnée à qui vous avez confié la Justice de notre pays.

Rendez-nous nos Papas et nos Mamans !

Rendez-nous notre famille !

 

« Cela fait des semaines que vous voulez faire croire aux Français que les mots de Père et de Mère vont disparaître du Code Civil, mais ces mots demeurent dans le Titre 7 du Code Civil relatif à la filiation et dans le chapitre 8 » avait répliqué la ministre de la Justice Christiane Taubira. «Mais il serait bien misérable de notre part d’ouvrir le mariage sans en tirer les conséquences dans le Code Civil. Nous ne toucherons pas à ces mots quand cela ne sera pas nécessaire », avait-elle assuré.

 

De quel droit recevez-vous une association représentant une minorité au premier claquement de doigts et menaces, et refusez cette rencontre aux élus de notre République ?

Les élus ne vous appartiennent pas, Monsieur Hollande.

Ils appartiennent aux Français qu’ils représentent.

Respectez nos parlementaires !

 

De quel droit vos ministres, surtout le 1er d’entre eux, insultent-ils les chefs d’entreprises qui réussissent, les Français qui quittent le pays par votre faute, avec à leur actif des dizaines de créations d’emploi, des années de loyauté et une renommée internationale ?

Qu’avez-vous à votre actif, Monsieur Hollande, sinon un poste en or à la Cour des Comptes pour un rendement nul (c’est vous qui l’avouez), un département des plus endettés, un parti que vous avez réussi à anéantir, une fausse déclaration de patrimoine et aucune expérience du pouvoir ?

Rendez-nous la valeur du travail !

 

De quel droit mettez-vous en danger l’économie de notre pays en refusant d’écouter tous les indicateurs de votre mauvaise gestion ? (rapport cinglant de la Cour des Comptes, rapport Gallois, mises en garde de la Commission Européenne et j’en passe).

Quand tous, unanimement, réclament d’urgence une baisse drastique des dépenses publiques et la réduction du coût du travail, vous faites exactement le contraire ; vous dépensez comme un fou et matraquez les Français de taxes en plombant la compétitivité.

Rendez-nous notre économie !

 

De quel droit profitez-vous de notre armée pour redorer votre image désastreuse?

De quel droit insultez-vous les Français en déclarant au Mali que c’était le plus beau moment de votre vie politique ?

De quel droit Faites-vous le paon lorsque le vice-président des USA honore nos soldats ?

C’est un scandale, Monsieur Hollande ! Honte à vous !

Les Français ne sont pas derrière votre petite et mesquine personne.

Ils sont derrière leur armée, et soutiennent leurs soldats lorsque le pays est en guerre.

Il leur appartiendra de vous demander des comptes lorsque nos enfants qui se battent pour la liberté seront hors de danger, pas avant.

Rendez-nous notre armée !

 

De quel droit voulez-vous accorder un droit de vote aux étrangers, sans exiger une réciprocité de la part des autres pays ?

Le droit de vote est un acte citoyen, Monsieur Hollande.

Il ne vous appartient pas.

Les étrangers travaillant dans notre pays souhaitent l’exercer ?

Que n’ont-ils demandé la citoyenneté française ?

Rendez-nous notre identité nationale !

 

De quel droit votre Gouvernement refuse-t-il la liberté de vote aux députés socialistes ?

De quel droit empêche-t-il la volonté du peuple de s’exprimer ?

De quel droit tord-il le bras aux parlementaires en refusant les débats de fond, en court-circuitant les procédures législatives, en confisquant la démocratie, en refusant toutes les propositions telles que le référendum, l’union civile, le renforcement du pacs ?

 

Les députés ne vous appartiennent pas, Monsieur Hollande.

Ils appartiennent aux Français qui les ont élus pour défendre leurs choix et qui sauront s’en souvenir lors des prochaines élections.

Rendez-nous nos voix !

Rendez-nous notre démocratie !

 

MONSIEUR HOLLANDE,

VOUS AVEZ VOLE NOS COULEURS, NOTRE HISTOIRE, NOTRE ECONOMIE, NOTRE JUSTICE, NOS VALEURS, NOTRE DEMOCRATIE, NOTRE ARMEE, NOTRE IDENTITE.

 

GARE A LA COLÈRE DU PEUPLE FRANÇAIS.

 

IL N’A PLUS RIEN A PERDRE.

VOUS LUI AVEZ TOUT PRIS.

 

06 mai 2013

Lettre de tous les professionnels de l'enfance (et des autres aussi)‏

Madame Taubira, Monsieur Peillon,

 

J’ai un immense service à vous demander :

S’il vous plaît,

 

Venez expliquer aux enfants de nos classes de CP comment deux hommes ou deux femmes peuvent avoir un enfant…

Venez leur expliquer pourquoi Émilie a deux papas et comment ils ont fait pour avoir un bébé.

Venez leur expliquer que la femme qui a porté Émilie et qui l’a mise au monde, l’a donnée - probablement contre finance - à ses deux papas, et que ce n’est pas grave… que c’est « normal ».

Venez leur expliquer que, quand on a porté un enfant pendant neuf mois, c’est sans conséquence de s’en séparer… que cela se fait avec le sourire qu’on gardera le contact par Skype, parce que les origines, c’est important !

Venez leur expliquer pourquoi il y a en Inde des cliniques où des femmes sont payées pour « produire » des bébés pas chers, comme on le voit aujourd’hui dans les reportages de France 2 et de Canal +.

 

Madame Taubira, Monsieur Peillon,

Venez expliquer aux enfants de nos classes de CE1 comment on peut faire sa généalogie quand la loi dit que l’on a deux pères ?

Venez au tableau avec nous faire le dessin de l’arbre généalogique à trois branches : une branche pour le premier papa, une branche pour le second papa et une pour la maman dont Émilie descend biologiquement.

Venez expliquer à nos élèves que c’est normal, que cela ne pose aucun problème.

 

Madame Taubira, Monsieur Peillon,

Venez expliquer aux élèves de 4e, que la biologie n’a rien à voir avec l’identité sexuée.

Venez expliquer que la testostérone, c’est finalement la même chose que l’œstrogène… Que le cerveau n’est pas influencé par ces hormones… Que tout cela, ça n’a pas d’importance car finalement ce qui compte, c’est la façon dont on est éduqué.

Venez expliquer que l’humanité n’est plus composée d’hommes et de femmes, mais qu’en fait, elle se divisera demain en une multitude de genres : hétérosexuel, homosexuel, bisexuel, transsexuel, multi-sexuels, intersexuels, auto-sexuel, alter-sexuel, allo-sexuel, asexuel…

 

Madame Taubira, Monsieur Peillon

Nous vous suivrons sur le terrain du respect de la différence !

Oui, l’école doit apprendre aux enfants qu’il existe bien des manières d’être un garçon et une fille et qu’on n’éduque pas à coup de caricatures ;

Oui, l’école doit être attentive à ce que les enfants soient accueillis et respectés, quelles que soient leur couleur de peau, leur manière de vivre, leur religion, leur apparence physique, leur niveau intellectuel, leur famille ;

Là-dessus, nous vous suivrons et nous vous soutiendrons, car cela construit une société plus juste, plus fraternelle.

 

Mais ne nous demandez pas d’expliquer l’inexplicable.

Ne nous demandez pas de justifier l’injustifiable.

Ne nous demandez pas l’équilibre impossible !

 

Enseignants, aides-maternelles, psychologues, orthophonistes, éducateurs et éducatrices, pédiatres… ces métiers de l’enfance, nous ne les avons pas choisis par idéologie politique ou religieuse. C’est la passion de l’éducation qui nous conduit chaque jour auprès d’eux pour les aider à grandir et à surmonter les défis de la vie.

 

Nous faisons notre maximum ! Ne nous demandez pas l’impossible !

 

J’en appelle à tous les professionnels de l’enfance qui refusent de devenir les complices d’une loi qui brouillera les repères nécessaires à l’éducation des jeunes.

J’en appelle à tous les professionnels de l’enfance qui voient au quotidien la souffrance des enfants et des jeunes à qui il manque les repères élémentaires pour se construire.

Signez l’Appel des professionnels de l’enfance, (http://www.debattons.org) pour qu’ensemble nous continuions à réclamer des états généraux de la famille et à redire qu’on n’éduque pas les jeunes avec des théories, mais en donnant des bases, des repères qui permettent de vivre le réel.

 

Les enfants n’ont pas voix au chapitre, ils ne votent pas, n’ont pas accès aux médias : c’est notre métier, notre passion et c'est notre devoir de faire entendre leur voix !

 

Jérôme Brunet,

Président de l'Appel des professionnels de l'enfance

 

23 avril 2013

Témoignage reçu par une Veilleuse à Paris

 Témoignage de Marie H.

 

crs,mpt,veilleurs,chants"Il est 5h30 ce matin, 19 avril, depuis une heure je ne peux plus dormir, les mots se bousculent dans ma tête : il faut que j'écrive. Ce message n'est pas un manifeste, il s'agit simplement pour moi d'exprimer ce que nous avons vécu, de déposer le poids de ce combat que nous avons mené, hier soir encore, avec les « Veilleurs », ce combat trop grand pour nous. Il s'agit aussi, puisque cela c'est fait comme cela, d'associer tous ceux qui ne peuvent être avec nous, mais dont le soutien et la prière nous ont permis de tenir. A ceux qui doutent de ce témoignage – doute légitime, lorsqu'on en ignore la provenance – je voudrais juste assurer qu'il est vrai. C'est moi, Marie H., qui l'écris ; je ne dis que ce que j'ai vu, de la manière la plus sobre possible, à tel point que ceux qui étaient là avant-hier m'ont jugée parfois « trop gentille ». Je ne cherche ni la polémique – je n'ai pas l'habitude d'en faire, ni à ce qu'on parle de moi – non, vraiment pas.

 

22h :

La manifestation se termine, je rejoins calmement le groupe des Veilleurs. Ils ont changé de pelouse ; bien plus nombreux qu'hier, déjà encadrés par les CRS, qui néanmoins ne nous empêchent pas de les rejoindre. Axel est là, Alix à ses côtés ; ils ont investi dans un haut-parleur plus puissant, avec un micro, pour que tous puissent entendre (hier, nous avions donné chacun un euro à cet effet). Comme hier, ils nous exhortent à la résistance et à la paix intérieure, pendant que nous chantons doucement « l'espérance ». Malgré le nombre, l'ambiance est plus sereine, plus unie qu'hier soir. Certains montrent des portraits de Gandhi imprimés sur des feuilles de papier.

 

22h30 :

Axel nous a annoncé d'emblée que la police a reçu l'ordre de nous déloger. Pour l'instant, les CRS nous quittent, ayant à faire un peu plus loin sur l'esplanade, où des groupes de manifestants refusent de se disperser. Nous écoutons Bernanos, puis Aragon, La Rose et le Réséda... Alix nous lit ensuite un article sur le gender, qui dénonce le projet du ministre Vincent Peillon, intimement lié à celui de la « loi Taubira », d'« arracher » les enfants aux convictions de leurs parents, pour « libérer » leur intelligence en leur enseignant qu'il n'existe pas de sexe biologique, mais seulement une identité de genre à construire librement – ce sont les mots même des textes officiels. Axel nous parle, rappelant que nous sommes forts parce que nous ne sommes pas là pour nous-mêmes, mais pour le plus faible que nous, l'enfant de demain, nos propres enfants, auxquels on veut nous interdire de dire que la complémentarité des sexes existe, et qu'elle est bonne.

 

23h :

Le président des musulmans de Versailles prend le micro quelques minutes, expliquant qu'il nous a rejoints parce que son cœur le lui dictait. « Vous êtes les étoiles du monde ». Ma voisine me montre, à un mètre de nous, Monseigneur Rey, évêque de Fréjus-Toulon, un genou à terre, parmi nous. Lui aussi nous encourage brièvement (« Votre silence est plus fort que les mots »), puis encore l'abbé Grosjean, prêtre des environs de Versailles, qui nous a rejoints avec un autre prêtre.

 

23h15 :

Les choses se gâtent. Les jeunes qui s'agitaient plus loin, poursuivis par les CRS, se rabattent brusquement vers nous, arrivent en courant, et se « réfugient » tout autour de notre groupe. Mouvement de panique ou manoeuvre de la police ? Les deux sans doute. Nous reprenons en choeur « l'espérance », pour montrer notre pacifisme et ne pas laisser ébranler notre paix intérieure. Les CRS nous encerclent. Mais cette fois, ceux qui semblent étonnés sont les jeunes qui viennent de nous rejoindre, qui juste auparavant ont peut-être jugé « cucu » notre manière d'agir, et qui maintenant s'asseoient progressivement parmi nous. Il y a quelques minutes, Axel nous a assuré que nous étions bien plus subversifs, plus dangereux pour le pouvoir, parce que notre force est inattaquable.

 

23h30 :

Les CRS nous cernent tout près, avec casques et boucliers. Une seconde ligne se met en place, pour tenir à distance ceux qui nous regardent. De nombreux journalistes sont là, entre les CRS et nous, caméra, appareil photo ou portable en main. Nous chantons dans le calme. Axel nous informe que des policiers en civil sont parmi nous, repérables à leur oreillette (devant à ma droite, je vois quelques mains en désigner un silencieusement). Ils ont pour mission de créer parmi nous la panique. Axel ajoute : « Aujourd'hui, en France, ils sont payés pour cela. Nous leur pardonnons. » Bruit de sirène, première sommation : ceux qui le veulent peuvent se diriger tout de suite vers le métro, les autres seront interpellés. Aucune raison n'est donnée : nous n'avons rien fait d'autre que chanter, assis par terre sur une pelouse. Le gouvernement nous arrête pour des raisons politiques, pour le seul crime de n'être pas d'accord avec lui. Axel a répété les mots d'hier, sur le fait que ceux qui veulent ou doivent partir, le font en toute liberté et sans aucun jugement. Un certain nombre se lèvent, escortés à l'extérieur du cercle par les CRS. Nous resserrons les rangs.

 

23h45 :

Le haut-parleur d'Alix et Axel est au bout de sa batterie, dernières consignes en cas de garde à vue, encouragements... plus rien. Pendant encore trois quarts d'heure, nous allons uniquement chanter en boucle les trois couplets de « l'espérance » pour rester unis. Axel a encore un petit mégaphone, mais très peu d'entre nous l'entendent. Au fil des minutes, des bribes me parviennent : « Demain, promet Axel, nous auront une meilleure sono, nous mettrons de la musique classique. Demain, nous imprimerons le chant de l'« espérance », nous l'imprimerons sur des centaines de papiers, chacun pourra l'apprendre. » Demain, demain... Puis, c'est la voix d'Alix : « vous êtes en train d'écraser le mensonge »... Deuxième sommation : personne ne bouge. Je n'ai rien d'une extrémiste, mais j'ai l'intime conviction qu'il faut rester, nous sommes tellement dans notre bon droit, nous n'avons rien fait, et la disproportion est telle entre leurs moyens et les nôtres ! Nous sommes environ trois cent à être restés. Alors les gendarmes arrivent, et commencent à enlever, un par un, ceux qui sont situés le plus à droite du groupe, et à les traîner jusqu'au « panier à salade ». Accrochés, serrés, toujours nous chantons, couvrant les cris de panique qui jaillissent parfois. Parfois un cri plus fort retentit, pour provoquer la terreur, sans doute celui d'un policier en civil, couvert aussitôt par des « chut » indignés et par le chant : ils ne parviennent pas à nous faire peur.

 

Minuit :

Le bus est plein : une cinquantaine de prisonniers, pris au hasard, ceux qui étaient dans ce coin-là ; d'autres dans les camions de police, environ quatre-vingt en tout semble-t-il. Le chef de la police nous supplie presque de rentrer : « vous pouvez encore vous rendre au métro, et rentrer chez vous ». Peu se lèvent. Nous chantons, et ceux qui sont à l'intérieur du bus nous accompagnent en tapant sur les murs et les fenêtres.

 

Minuit quinze :

Le bus est parti. Les policiers ne savent plus quoi faire de nous. Leurs avertissements sont couverts par le chant. Il ne reste que quinze minutes ; nous leur avons dit, nous partirons dans le calme à minuit et demie. Mais ils ont des ordres ; alors ils continuent à nous emmener de force : ils se mettent à deux, somment un jeune de se lever et, celui-ci n'obtempérant pas, le tirent et le lèvent plus ou moins violemment, selon la résistance qu'il oppose. Plusieurs ont leur matraque à la main. Parfois des coups, je perçois notamment un cri de fille, puis un attroupement de journalistes et de policiers... Il y aura quelques blessés.

 

Minuit vingt :

Des députés nous ont rejoints, paraît-il. Les quelques journalistes qui sont restés se concentrent sur eux. Les CRS continuent de nous emmener un à un, nous continuons de chanter, et nous comptons les minutes en les voyant se rapprocher. Je n'ai pas peur, cela m'est bien égal d'aller en garde à vue : du moment qu'un tiers d'entre nous y sont, autant y aller tous avec eux ! Du moment que nos dirigeants sont capables d'aller jusque là pour nous faire taire... En fait, ceux qui sont enlevés de force lors de cette « deuxième série » sont tout simplement ramenés au métro, nous ne le saurons qu'ensuite. Un CRS s'énerve de la résistance que lui oppose un jeune et s'écrie violemment : « Mais arrêtez ! Vous nous empêchez de faire notre boulot ! » Alors là, c'est très fort ! Quelques exclamations fusent parmi nous, même pas de colère ou de vindicte, plutôt de bon sens, presque d'humour : la situation est tellement absurde ! C'est nous qui empêchons les CRS...

 

Minuit vingt-cinq :

Il reste cinq minutes. Nous ne sommes plus que quelques-uns. Axel et Alix ont été emmenés. Les CRS sont tous proches de moi, ils emportent la jeune fille juste devant, puis s'en prennent au garçon qui était à côté d'elle. Celui-ci résiste, accroché à celui de derrière : un CRS tape avec sa matraque pour le faire lâcher, mais n'y parvient pas. Nous comptons les dernières secondes.

 

Minuit et demie !

D'un seul homme, nous nous levons, victorieux. Nous reprenons le chant. Nous affirmons calmement que nous allons rentrer : nous n'avons pas cédé à la force, nous partons librement, à minuit et demie, comme nous l'avions décidé. Côté CRS : « resserrez les rangs ! ». Nous sommes peut-être une cinquantaine, au milieu d'un cercle très étroit de boucliers. Nous ne montrons pas d'autre signe de violence que de ramasser dans la bonne humeur les bougies, les papiers et les affaires semés sur place, pour laisser propre la pelouse des invalides. Puis les CRS nous escortent en groupe jusqu'au métro. Chez nous paix incroyable, et même bonne humeur : certains essaient d'échanger quelques plaisanteries avec les CRS... Cette fois, vraiment pas d'autre choix que de prendre le métro, même si on habite à deux pas. Alors nous obtempérons, espérons que nous pourrons sortir aux prochaines stations, ce dont certains ont été empêchés hier soir jusque bien tard...

 

Voilà ce qui se passe, en France, le 18 avril 2013. Nos dirigeants ont choisi de mobiliser des centaines de CRS pour arrêter des jeunes qui chantaient et écoutaient des textes, assis sur l'herbe.

 

Ils veulent nous discréditer et nous faire taire, parce que nous osons proclamer que nous préférons le bien et la vérité à l'idéologie et au plaisir égoïste du moment. Ce soir encore, nous sommes victorieux, mais cette victoire a un goût amer. Amer, pour ceux qui ont été emmenés cette nuit au poste, innocents désignés au hasard par l'arbitraire du pouvoir. Amer, pour ceux qui ont reçu des coups, qui ont été blessés, pour rien. Amer surtout, de voir comment répondent nos dirigeants aux aspirations de notre jeunesse qui aime le bien et la concorde, l'intelligence et la culture : par le mensonge et la violence."

11 janvier 2013

Le fils du chirurgien

 

Leçon de vie...


Un médecin est entré à l'hôpital dans la hâte après avoir été appelé pour une chirurgie urgente. Il a répondu à l'appel, a changé dès que possible ses vêtements et est allé directement au bloc de chirurgie.

 

Là, il trouve le père du garçon qui fait des va-et-vient dans le hall.

 

En voyant le médecin arriver, le papa hurle : « Pourquoi avez-vous pris tout ce temps pour venir ? Vous ne savez pas que la vie de mon fils est en danger ? Vous n'avez pas le sens de responsabilité ? »

 

Le médecin sourit et dit : « Je suis désolé, je n'étais pas dans l'hôpital et je suis venu le plus rapidement possible après avoir reçu l'appel… Et maintenant, je souhaite que vous vous calmiez pour que je puisse faire mon travail. »

 

« Me calmer ? Et si c’était votre fils, vous seriez calme ? Si votre propre fils meurt maintenant que feriez-vous ? » dit le père avec colère.

 

Le médecin souri encore et répondit : « Je dirai de la poussière nous sommes venus... Les médecins ne peuvent pas prolonger des vies... Nous ferons de notre mieux par la grâce de Dieu. »

 

« Donner des conseils quand nous ne sommes pas concernés c’est si facile… » murmura le père.

 

L'intervention a pris quelques heures après lesquelles le médecin sorti heureux. « Votre fils est épargné, si vous avez n'importe quelle question, demandez à l'infirmière ! »

 

« Pourquoi est-il si arrogant ? Il ne pouvait pas attendre quelques minutes pour que je me renseigne sur l'état de mon fils ? » a commenté le père en voyant l'infirmière après que le médecin soit partit.

 

L'infirmière répondit, les larmes descendant son visage : « Son fils est mort hier dans un accident de la route, il était à l'enterrement quand nous l'avons appelé pour la chirurgie de votre fils. Et maintenant qu'il a épargné la vie de votre fils, il est parti courir pour finir d'enterrer de son fils ! »

 

Ne JUGER PERSONNE parce que vous ne savez pas ce qu'elle traverse en ce moment…

 

29 novembre 2012

Des marécages à la pénicilline...

 

Il s'appelait Désiré, c'était un pauvre fermier écossais.

 

Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche.

Il laissa tomber ses outils y courut et trouva un jeune garçon enfoncé jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer.


Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.

 

Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme.

Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.


·     Je veux vous récompenser, dit le noble. Vous avez sauvé la vie de mon fils !

·     Je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait répondit le fermier écossais.

 

Au même moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.

·     C'est votre fils ? demanda le noble.

·     Oui Alexander, répondit fièrement le fermier.

·   Alors, je vous propose un marché. Permettez-moi d'offrir à votre fils la même éducation qu'à mon fils. Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme duquel tous deux seront fiers.

Et le fermier accepta.

 

Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et à la grande finale, il fut diplômé de l'École de Médecine de l'Hôpital Sainte-Marie de Londres. Porteur d'une grande aspiration, il continua jusqu'à être connu du monde entier…


Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.

 

Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage était atteint d'une pneumonie.


Qui lui sauva la vie, cette fois ?

La pénicilline…


Comment s'appelait le noble ?

Sir Randolph Churchill et son fils, Sir Winston Churchill.



12 novembre 2012

Je ne veux pas me laisser imposer certaines lois...

 

« Madame Machin, catholique, ne veut pas marcher avec les "intégristes" parce qu’"on" va faire des amalgames » ; « Monsieur Bidule, chrétien BCBG, lui, ne veut pas marcher avec Madame Conforme et sa portée de têtards mal mouchés : ça pourrait faire "cathos-lapins"» ; « Madame Association-bien-en-vue voudrait bien, elle, que Monsieur Bidule ne vienne pas en bourgeois versaillais à la marche, car on pourrait croire que seuls les bourgeois sont pour la famille. »…

 

Pharisianisme contemporain où l’on s’autoproclame bonne image du catho, bon vecteur médiatique de Jésus, les autres, tous les autres, pauvres cloches de publicains, viennent souiller par leur présence nauséabonde notre pure manif. Il faudrait, nous dit-on, ne pas ressembler à qui nous sommes : c’est-à-dire des cathos pratiquants, relativement aisés, pour la plupart de milieux favorisés, culturellement à droite, où les bulletins de vote se répartissent entre Sarko, Villiers, Boutin ou Le Pen.

 

Faudra bien un jour assumer ce que nous sommes !

 

Quoi qu’il en soit, nous avons marché pour la vie, et nous marcherons contre le mariage homo, bref nous militerons pour la famille et l’on se moque absolument de qui marchera à nos côtés : intégristes, curés à tête de dogues, à pompes à boucles ou à boucle d’oreille, de l’Opus Dei ou des Légionnaires du Christ, charismatiques à particule, ou en sandales, catho mondain et sa femme de ménage, vrai tradi et fausse blonde, protestant prédestiné ou orthodoxe séparatiste, salafiste sans bombe, juif fondamentaliste sans uzi, Indien d’Amérique ou Africain de Sarcelles, et expulsés de masterchef…

 

Je me moque absolument de qui marche à mes côtés.

Je ne vais chercher ni ma foi, ni mon père spi, ni mon gendre ni ma belle-mère, et encore moins l’image de moi.

 

Je veux simplement dire NON à leur foutu projet de société !

 

Signé : L'Humeur de Pasquin

08 septembre 2012

Noé du XXIème siècle

En 2012 après Jésus-Christ, Dieu rend visite à Noé et lui dit : « Une fois encore, la terre est devenue invivable et surpeuplée. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques bons humains. Dans six mois, j'envoie la pluie durant quarante jours et quarante nuits, et je détruis tout !!! »

Six mois plus tard, Dieu retourne visiter Noé et ne voit qu'une ébauche de construction navale.

·                Mais, Noé, tu n'as pratiquement rien fait ! Demain il va commencer à pleuvoir !!!

·                Pardonne-moi, Tout Puissant, j'ai fait tout mon possible mais les temps ont changé...

Ø  J'ai essayé de bâtir l'arche mais il faut un permis de construire et l ‘inspecteur me fait des ennuis au sujet du système d'alarme anti-incendie.

Ø  Mes voisins ont créé une association parce que la construction de l ‘échafaudage dans ma cour viole le règlement de copropriété et obstrue leur vue. J'ai dû recourir à un conciliateur pour arriver à un accord.

Ø  L'Urbanisme m'a obligé à réaliser une étude de faisabilité et à déposer un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour transporter l'arche jusqu'à la mer. Pas moyen de leur faire comprendre que la mer allait venir jusqu'à nous. Ils ont refusé de me croire.

Ø  La coupe du bois de construction navale s'est heurtée aux multiples associations pour la Protection de l'Environnement sous le triple motif que je contribuais à la déforestation, que mon autorisation donnée par les Eaux et Forêts n'avait pas de valeur aux yeux du Ministère de l'environnement, et que cela détruisait l'habitat de plusieurs espèces animales. J'ai pourtant expliqué qu'il s'agissait, au contraire de préserver ces espèces, rien n'y a fait.

Ø  J'avais à peine commencé à rassembler les couples d'animaux que la SPA et WWF me sont tombés sur le dos pour acte de cruauté envers les animaux parce que je les soustrayais contre leur gré à leur milieu naturel et que je les enfermais dans des pièces trop exiguës.

Ø  Ensuite, l'agence gouvernementale pour le Développement Durable a exigé une étude de l'impact sur l'environnement de ce fameux déluge.

Ø  Dans le même temps, je me débattais avec le Ministère du Travail qui me reprochait de violer la législation en utilisant des travailleurs bénévoles. Je les avais embauchés car les Syndicats m'avaient interdit d'employer mes propres fils, disant que je ne devais employer que des travailleurs hautement qualifiés et, dans tous les cas, syndiqués.

Ø  Enfin le Fisc a saisi tous mes avoirs, prétextant que je me préparais à fuir illégalement le pays tandis que les Douanes menaçaient de m'assigner devant les tribunaux pour "tentative de franchissement de frontière en possession d'espèces protégées ou reconnues comme dangereuses.

Ø  Aussi, pardonne-moi, Tout Puissant, mais j'ai manqué de persévérance et j ‘ai abandonné ce projet.

 

 

Aussitôt les nuages se sont dissipés, un arc-en-ciel est apparu et le Soleil a lui.

·                Mais tu renonces à détruire le monde ? demanda Noé…

·                Inutile, répondit Dieu, l'Administration s'en charge très bien sans moi !!


01 septembre 2012

Une douce leçon de patience

Un taxi à New York a écrit :

 

Je suis arrivé à l'adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.

 

« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher. Après une longue pause, la porte s'ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940. À côté d'elle il y avait une petite valise en nylon. L'appartement semblait comme si personne n'avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps. Il n’y avait pas d'horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.

 

« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu'à la voiture ? » dit-elle. J'ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme. Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir. Elle n'arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n'est rien », je lui ai dit « J'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. » « Oh, tu es un bon garçon », dit-elle.

 

Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m'a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville ? » « Ce n'est pas le plus court chemin », répondis-je. « Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle, « Je ne suis pas pressée. Je me rends au centre de soins palliatifs. » J'ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n'ai pas de famille » reprit-elle d'une voix douce. « Le docteur dit que je n'en ai plus pour très longtemps. » J'ai discrètement arrêté le compteur.

 

« Quelle route voudriez-vous que je prenne ? » demandais-je. Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m'a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d'ascenseur. Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d'un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille. Parfois, elle me demandait de ralentir en face d'un bâtiment particulier ou dans un coin et s'asseyait le regard perdu dans l'obscurité, sans rien dire.

 

Lorsque le soleil commença à rejoindre l'horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant. » Nous avons roulé en silence à l'adresse qu'elle m'avait donnée. C'était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée. Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée. J'ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.

 

« Combien vous dois-je ? » m’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac. « Rien » lui dis-je. « Vous devez gagner votre vie », répondit-elle. « Il y aura d'autres passagers » ai-je répondu. Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort. « Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame » dit-elle. « Je vous remercie. »

 

Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d'une vie qui se termine. Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J'ai conduit sans but perdu dans mes pensées. Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée.

 

Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?

 

Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.

 

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.

 

 

26 juillet 2012

Conseils utiles en cas d’agression

CONSEILS DE SECURITE A LIRE ATTENTIVEMENT

Conseils utiles en cas d'agression

(attaque, vol, jacking...)


Ce document vient d'une personne qui travaille à l'École de Police de St-Cyr. Et je l’ai amélioré…

 

Sans sombrer dans la psychose, mieux vaut être paranoïaque que mort, il peut être utile de connaitre ces petits conseils, car si l’on venait à avoir besoin de s’en servir…

 

1)

Le coude est la partie la plus solide de notre corps... Alors si vous êtes assez proche pour vous en servir, allez-y ! Et puis avec votre genou, visez l’entrejambe de votre agresseur, d’un coup sec et rapide, cela l’immobilisera un moment, pour vous permettre de vous échapper en courant…

 

2)

Si un voleur vous demande votre porte-monnaie ou votre sac à main : ne pas lui donner en mains propres mais lancez-le loin de vous. Il y a de fortes chances pour qu'il se précipite sur l'objet, au lieu de vous attaquer. Profitez-en pour vous éloigner en courant le plus vite possible !

 

3)

Prenez toujours l'ascenseur au lieu des escaliers. Les cages d'escaliers sont des lieux de crimes parfaits ! Surtout la NUIT !

 

4)

Si un prédateur a une arme à feu mais ne vous tient pas : COUREZ ! Les chances qu'une balle vous atteigne ne sont que de 4 sur 100 et même si c'est le cas, les balles n'atteindront QUE RAREMENT un organe vital. Alors courez ! Et si possible en zigzaguant !

 

5)

Si après avoir démarré votre voiture vous voyez un papier coincé sur le pare-brise, n’en tenez pas compte et filez au loin. Attendez d’être chez vous pour l’ôter. C’est une astuce de brigand pour vous faire descendre de votre voiture en laissant le moteur allumé avec la clé dessus et avec bien-sûr aussi vos papiers (avec votre adresse), les clés de chez vous, votre portable dans la voiture… Avant que vous puissiez appelez à l’aide, le voleur sera loin et votre maison pourrait avoir été vidée…

 

6)

Si vous avez été enfermée dans le coffre d'une auto : enfoncez ou démonter un phare arrière, puis passez votre bras vers l’extérieur dans l'ouverture et agitez-le frénétiquement. Cela attirera l'attention de tous, à l'exception du conducteur. Un conseil qui a déjà sauvé des vies.

 

7)

Dès que vous entrez dans votre auto, verrouillez les portes et partez. Les femmes ont tendance à s'asseoir un moment dans leur auto pour faire leurs comptes, écrire une note, etc., après avoir travaillé ou avoir été faire les magasins.

 

8)

Ne restez pas assise dans votre auto stationnée et portes non verrouillées. Un prédateur peut vous observer et saisir l'occasion de se glisser du côté passager pour vous forcer de le conduire quelque part, un pistolet braqué sur votre tempe.

 

9)

Si un prédateur se trouve déjà à l'arrière dans l'auto, et braque son pistolet sur vous : ne suivez pas ses ordres, je répète : ne suivez pas ses ordres ! Arrangez-vous plutôt pour endommager votre auto. Choisissez un obstacle et appuyez sur l'accélérateur. N'ayez pas peur, votre coussin gonflable vous protègera. C'est la personne sur le siège arrière qui encaissera le coup. Dès que l'auto s'immobilise, sortez et courez. Une solution si vous ne voulez pas qu'on retrouve votre corps dans un endroit perdu.

 

10)

Quelques conseils de prudence dans les stationnements et les garages :

¨             Soyez vigilante. Regardez autour de vous. Inspectez l'intérieur de votre véhicule : le siège arrière, l'espace devant le siège passager avant.

¨             Si vous êtes stationnée à côté d'une camionnette, entrez dans votre auto de l'autre côté. La plupart des tueurs en série attaquent leurs victimes pendant qu'elles ouvrent la porte de leur auto, pour les entraîner dans leur camionnette.

¨      Observez toutes les autos stationnées de part et d'autre de votre véhicules. Si vous voyez un homme assis seul, surtout s'il est du côté de votre auto, peut-être est-il préférable de retourner à votre bureau ou au centre commercial et de demander l'aide d'un garde ou d'un policier pour vous raccompagner.

 

11)

En tant que femme, nous essayons toujours d'être gentille : LAISSEZ LA GENTILLESSE DE CÔTÉ ! Vous risquez d'être violée ou tuée. Ted Bundy, le tueur en série, était un homme beau et bien éduqué. Il comptait TOUJOURS sur la sympathie des femmes afin de les enlever : il marchait avec une cane, il boitait, il demandait de l'aide pour entrer dans son véhicule. Soyez prudentes !

 

12)

Rappelez-vous l'histoire du bébé qui pleure : Une femme a entendu des pleurs de bébé qui semblaient provenir de sa porte d'entrée. Plutôt que d'ouvrir, elle a appelé la police car cette situation, tard dans la soirée, lui semblait bizarre. La réponse de la police ne s'est pas faite attendre : "Surtout, n'ouvrez pas !" Ensuite, il a semblé à cette femme que le bébé avait rampé sous une fenêtre. Elle avait peur que le bébé n’aille jusqu'à la rue et se fasse heurter par une auto. À nouveau, le policier lui dit : "Surtout, n'ouvrez pas !". Il l'informa qu'il était possible qu'un tueur en série essaie d'apitoyer des femmes à l'aide d'un enregistrement de pleurs de bébé pour ensuite pénétrer chez elles. Ce fait restait à vérifier mais il confirma que la police avait reçu plusieurs appels de femmes qui avaient entendu "un bébé pleurer" dehors et la nuit, lorsqu'elles étaient seules chez elles ! Alors, s’il vous plaît, n'ouvrez pas si vous entendez des pleurs de bébé.

 

13)

Un dernier conseil : Ne jamais crier « À  l'aide ! » mais plutôt « AU FEU ! »C’est malheureux mais les gens vont sortir pour le feu mais rarement pour aider. Ça peut aussi désarçonner l'agresseur, il se demandera s'il a affaire à un fou ou une folle et il pourrait bien vous lâcher su place. (ref: formation en autodéfense pour femmes).

 

 

Finalement, j'aimerais que vous fassiez parvenir ces « rappels de bon sens » à toutes les femmes que vous connaissez. Il pourrait sauver une vie. Et puis tant que l’on y est, envoyez le aussi aux hommes de votre entourage, les hommes aussi aiment leurs mères, femmes, sœurs, filles, etc. et seraient peut-être également intéressés…