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27 mars 2015

Juste avant le bonheur - Agnès Ledig

Juste-avant-le-bonheur.jpgJe viens de finir la lecture de « Juste avant le bonheur », roman paru en 2013 sous la plume d’Agnès Ledig aux Éditions Albin Michel et reparu récemment chez Pocket. Ce roman, acheté un peu par hasard (oui j’avoue, le seul mot « Bretagne » dans le résumé m’y a poussé), m’a arraché plus d’un sourire, quelques éclats de rire et fait aussi verser quelques chaudes larmes... Un joli coup de cœur que je voudrais vous conseiller… et même vous recommander…

 

4ème de couverture Pocket

Cela fait longtemps que Julie ne croit plus aux contes de fée. Caissière dans un supermarché, elle élève seule son petit Lulu, unique rayon de soleil d'une vie difficile. Pourtant, un jour particulièrement sombre, le destin va lui sourire. Ému par leur situation, un homme les invite dans sa maison du bord de mer, en Bretagne. Tant de générosité après des années de galère : Julie reste méfiante, elle n'a pas l'habitude. Mais pour Lulu, pour voir la mer et faire des châteaux de sable, elle pourrait bien saisir cette main qui se tend...

« Un hymne à l'espoir qui sonne juste comme une expérience vécue... Un livre poignant, ou le malheur n'a pas le dernier mot. »  Le Figaro Magazine

 

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Dans cette histoire, improbable à priori, l’auteure parle avec justesse de relations humaines, de tendresse, de résilience et de coalescence, du bien que peut faire une simple attention, si petite soit-elle, et du bénéfice de tendre la main gratuitement pour s’entraider. Bien-sûr, cela ne nous protège en rien des épreuves de la vie et de ce qu’il peut nous arriver dans la vie, mais être soutenu permet de continuer à avancer car de toute façon on ne peut pas faire autrement.

Dans ce roman, Agnès Ledig met le doigt sur nos propres capacités à se relever du « pire » et sur ce qui fait mal à notre époque : le manque d'empathie et de compassion. C'est chacun pour soi. Alors quand une personne nous tend la main, simplement, nous avons du mal à l'attraper parce que nous ne la voyons pas ou que ça ne peut pas être sincère, plus maintenant. Et comment agissons nous face au malheur des autres ? Pas le temps, chacun sa vie ?

L’auteure ose également un regard sur les hommes qui mérite de s’y arrêter. Au début Julie se méfie d’eux (le père de son fils qui s’est défilé, son père qui l’a chassé, son chef qui la harcèle…), puis découvre que Paul et son fils Jérôme (veufs tous les deux) sont bien différents de l’image qu’elle avait des hommes que la vie lui avait donné pour modèles... Et que la vraie bonté peut encore exister… Enfin, elle aborde, et avec pudeur et maîtrise, des sujets graves et des sujets plus tabous (oui je sais, mais non je ne dirais rien) mais reste toujours crédible.

 

L’histoire :

 

Julie est caissière dans un supermarché et élève seule son petit garçon, Lulu, unique rayon de soleil d’une vie déjà difficile. Enceinte après une soirée trop arrosée, Julie n’a trouvé aucun réconfort auprès d’un père autoritaire qui l’a mise à la porte et une mère qui l’a laissé faire. A 20 ans seulement elle subit la pression de son supérieur qui la harcèle : horaires jamais pratiques, accusations sans preuves, menaces, salaire dérisoire… et il n’hésite pas non plus à user de son pouvoir de petit chef pour lui faire des avances. Ces conditions de « travail » lui permettent à difficilement de joindre les deux bouts en fin de mois mais elle accepte de subir malgré tout, parce qu’elle a un fils âgé de 3 ans et qu’elle doit tenir... Tant pis, si elle doit y perdre sa dignité pour pourvoir à son bonheur !

« Quelle dignité ? Ça fait belle lurette que ce petit bout de femme l’a perdue, Quand c’est une question de survie, on range dans les placards les grands idéaux qu’on s’était fabriqués gamine. Et on encaisse, on se tait, on laisse dire, on subit ».

 

Elle déprime silencieusement à son poste de travail et cela fait longtemps que Julie ne croit plus aux contes de fée. Pourtant, un jour particulièrement sombre, le destin va lui tendre la main. Alors qu’elle a encore subi les menaces de son chef, Julie laisse poindre une larme qui se veut discrète et attire l'attention d'un client, Paul, quinquagénaire aisé à nouveau célibataire qui découvre les « joies » des courses en grandes surfaces… Contrairement à la majorité des clients, il s’intéresse à elle et est ému par leur situation. Cet homme généreux et désintéressé, tente de nouer la conversation avec la jeune fille, de l’inviter à déjeuner, mais cette dernière n’y voit qu’une tentative de drague de la part d’un homme trop mûr. Seulement, à force de patience et de compréhension mutuelle, un début d’amitié se noue. En effet, Paul n’a pas besoin de femme dans sa vie. Et même si l’argent n’est pas un problème, il trimballe lui aussi son lot de casseroles… Et Paul invite Julie et son petit Ludovic à passer quelques jours de vacances dans sa belle villa de bord de mer en Bretagne. La chance serait-elle enfin en train de tourner pour Julie ?

Méfiante, elle fini par se laisser convaincre de sortir de sa grisaille, pour elle et pour son Lulu. Ils y retrouvent Jérôme, le fils de Paul, qui ne se remet pas du suicide de sa jeune femme. Et puis Lulu découvre la mer, Julie se repose et réussit même à apprivoiser Jérôme qui préférait se méfier d’elle avec ses allures étranges. Gaieté et optimisme reviennent pourtant grâce à l'attachante présence du petit Lulu et au caractère tendre et maternelle de Julie. Ces êtres cassés par la vie réapprennent à vivre au contact les uns des autres…

Mais sur le chemin du retour, un nouveau drame survient. C'est le tragique accident de voiture et Lulu meurt après un long coma. Une chaîne de soutien, d'affection et de tendresse se forme autour de Julie. Avec elle, à travers elle, des êtres désemparés tentent encore de réapprendre à vivre et de saisir une nouvelle chance.

 

« Juste avant le bonheur » : Un conte de fées moderne

 

On pourrait croire que ce roman est une pâle copie entre « Les tribulations d’une caissière », « Pretty Woman » et d’autres... Sauf qu’il n’en n’est rien… Croire cela serait faire erreur. Comme le dit notre « héroïne », la vie n’est pas un long fleuve tranquille et le calme de la Bretagne n’est peut-être qu’un instant de paix avant la prochaine tempête qui s’annonce. Et pourtant…

« Juste avant le bonheur » c’est aussi cette histoire troublante écrite avec justesse, sans fioritures, sans pathos excessif et sans prétention inutile qui nous prouve encore, s’il en était besoin, que le bonheur est à portée de bain, qu’il est possible de le ressentir, qu’il suffit presque de se servir… mais que malgré tout, cela n’enlève pas les cailloux dans la chaussure ou le sable dans les rouages… mais qu’il faut faire avec et continuer d’avancer, malgré tout.

En effet, lorsqu’une tragédie, qui n’a pas de nom, nous a emportée mais que le temps apaise la douleur, sans pour autant l’effacer, peut-on s’accorder le droit de vivre et de se sentir heureux ? Alors, oui, on n’échappe pas à quelques moments de lecture la larme à l’œil, mais cette lecture est paradoxalement revigorante car elle recentre les choses sur l’essentiel. La force des épreuves de la vie surmontées ensemble, l'espoir d'un jour meilleur et d’un nouvel amour aussi, ainsi qu'une bonne dose d'intelligence et d'humour peuvent réussir ce miracle d’accueillir le bonheur un petit matin… Reprendre son souffle et continuer à vivre, malgré tout, et se sentir heureux à nouveau, sans culpabilité. Quelle leçon de vie !

 

 

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Ne comptez pas sur moi pour vous raconter les détails, je vous en ai déjà bien trop dit... Ce serait dommage de ne pas découvrir page après page cette très belle histoire partagée avec des personnages profondément attachants et des dialogues d'une rare vivacité. Une histoire de vie, de rencontres, d’espérance, de seconde chance, de lien d’amitié profonde, de vie, de mort, de résilience et de coalescence… Un livre bourré de grâce, d’optimisme et d’énergie, qui réconcilie avec la vie, ou comment retrouver goût à la vie au contact de l'autre.... « Juste avant le bonheur » fait partie de ces (trop) rares livres qu'on a envie de rouvrir à peine refermés, tout simplement parce qu'ils font du bien !

 

Si je devais paraphraser ce roman, je dirais « Malgré la brutalité de la vie, choisit la vie ! Accroche-toi et savoure chaque instant...» ou bien « Ne baisse jamais les bras… cela pourrait être 2 secondes avant le miracle… »

 

Interviews de l'auteure...

https://www.youtube.com/watch?v=jrCa-r1RSi8#t=90

https://www.youtube.com/watch?v=NK_sAfqTk7c

 

 

 

 

 

07 mai 2014

Les œufs de Mamie

Une dame de 98 ans, sur son lit de mort, fait une dernière confidence à son mari de 99 ans qui est effondré par le chagrin.

 

« Jules, mon petit Jules, avant de fermer à jamais les yeux, je voudrais te révéler un secret. Tu vas aller au grenier, sur la 3ème poutre au fond à gauche, tu vas trouver un carton. Vas le chercher, je te le donne. »

 

Le mari, très surpris, monte difficilement au grenier, et après 5 minutes, redescend dans la chambre avec le carton. Il l'ouvre, et trouve à l'intérieur 2 petites boites ; l'une contient 3 œufs et l'autre 250.000 euros. A la vue des billets, les yeux de Jules s'illuminent...mamie,oeuf,euros,orgasme,amour

 

Puis, après 30 secondes d'intense émotion, il demande à sa Léontine :

- Dis-moi, ma tendre Léontine, c'est quoi les 3 œufs ?

- Eh bien, Jules, depuis 78 ans que nous sommes mariés, chaque fois que je n'ai pas eu d'orgasme quand on faisait l'amour, je gardais 1 œuf de poule.

Jules, pas peu fier d'apprendre qu'il n'a eu que 3 ratés en 78 ans, se sent rajeunir...

Puis il demande à Léontine :

- Et les 250.000 euros ?... C'est quoi ???

- Et bien... c'est tout simple.... Chaque fois que j'avais 12 œufs, j'allais les vendre.

 

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Tu sais que tu es de BRETAGNE quand...

bretagne,humour,breizh,gwen ha duQue tu sois breton depuis ta naissance, par mariage, par adoption, par accident, par souhait, par obligation ou de cœur (franchement tes origines champenoises, c’est une erreur de casting… Mdr !)

Tu sais que tu es de BRETAGNE quand :

 

  • * Tu te sens chez toi à chaque fois que tu y vas pour te reposer,
  • * Tu pleures en partant et que tu as hâte d'y revenir,bretagne,humour,breizh,gwen ha du,snsm
  • * La Bretagne te manque toujours lorsque tu es loin d’elle,
  • * On te dit que la Bretagne est fantastique et que tu es heureux de l’entendre,
  • * L'odeur de la criée est pour toi un parfum, le bruit des mouettes un chant, le bruit des vagues une berceuse...
  • * Tu pense que bien évidement rien n'est plus beau que la Bretagne,
  • * Tu cherches la mer à l'horizon dès que tu sors de la Bretagne,
  • * Tout le monde fait la "Hola" dans la voiture quand tu arrives « à la frontière »,
  • * Tu attends la retraite pour « rentrer chez toi »…
  • * Tes potes te demandent quand est-ce que tu t'installes en Bretagne parce que ce serait bien pour la maison de vacances / pour les we et que toi ça te fait rêver,

 bretagne,humour,breizh,gwen ha du

  • * Tu dors avec ton Gwen Ha Du sur ton lit,
  • * Tu n'as que des magnets bretons sur ton frigo,
  • * Tu accroches un Gwen Ha Du au rétro intérieur, et tu colles des autocollants « triskel » ou « à l’aise Breizh » sur le coffre de ta voiture,
  • * Tu colles du "22370" sur tes mots de passe ou tes identifiants web,
  • * Ton avatar sur skype est Mme "A l'Aise Breizh",
  • * Tu as un pendentif et des boucles d’oreilles « triskel », et que ça te semble normal,
  • * Tu envisages un ou plusieurs petits tatouages : triskel, Bzh, hermine…
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  • * Dès que résonne le son du bagad, tu vibres ; le son du biniou et tu as les poils qui se hérissent ; la musique celte dans tes oreilles et tu as le cœur qui pétille… et les pieds qui te démangent,
  • * Tu as la chair de poule en écoutant résonner le « Bro gozh ma zadou »,
  • * Tout simplement tu sais ce que « Breizh ma Bro, me’gar ma Bro » veut dire et que tu as envie de le dire... (https://www.youtube.com/watch?v=1Y_M4Nl3bIw)

 

  • * Tu parles breton, ou que tu l’apprends, ou que tu veux l’apprendre,
  • * Tu dis kenavo, trugarez, nozvezh vat, gast, çui-ci, oh ma doue, a dreuz… hyper naturellement,
  • * Tu utilises naturellement des mots bretons devant tes potes qui comprennent pas et du coup t'es obligée de traduire,bretagne,humour,breizh,gwen ha du,snsm
  • * Les gens ne comprennent pas le nom de ta commune. "Ker quoi??? " ou ne se souviennent plus du nom de ton village « Ker … » Mince je sais plus la fin !
  • * Exilé, tu as un prénom unique, que vraiment personne n’a le même…
  • * Tu mets tes chaussures ou tes chaussons dans tes pieds,
  • * Pour toi un Fest-Noz c’est une soirée qui déchire et pas un festival à la noix,

 

  • * Tu connais l'histoire de la Marion du Faouët,
  • * Dans un quizz à la con sur la Bretagne, sa culture et son histoire, tu as 27/30 à la fin,
  • * Tu connais toutes les chansons de Tri Yann par cœur, ou presque,bretagne,humour,breizh,gwen ha du,snsm
  • * Tu sais que la SNSM c'est pas un énième groupe de rap déjanté mais une belle équipe de valeureux protecteurs,
  • * Tu sais que l’hermine est ce charmant petit rongeur brun en saison et blanc l’hiver avec le bout de la queue noir mais aussi l’un des signes du Gwen Ha Du,
  • * Tu sais ce qu’est le « tournoi des garçons de café »,
  • * Tu sais ce qu’est une vraie tempête,
  • * Tu écris un petit mot en breton pour souhaiter un joyeux anniversaire à ton pote breton qui habite Paris,

 

  • * Alors que l’on te dit "bretons tête de cons" tu réponds "fière de l'être" ou "couilles en plomb",
  • * Tu n’as pas peur de sortir sous la pluie,
  • * Ton nom de famille représente 3 pages du bottin de la ville de Morlaix,
  • * Tu supporte toutes les équipes bretonnes quel que soit l’opposant et quel que soit le sport,bretagne,humour,breizh,gwen ha du,snsm
  • * Lors des élections tu regardes le résultat des bureaux de vote des villages bretons que tu aimes,

 

  • * Tu enfiles ta vareuse rouge "Le Glazik" même si t'es la seule dans ton quartier à en avoir une,
  • * Tu ne jures que par Armor Lux ou St James,
  • * Tu te trimballes toujours avec des bottes et ton Cotten dans le coffre de la bagnole,

 

  • * Tu sais que tu es Breton si tu as une descente que les autres n'aimeraient pas remonter à vélo,
  • * Une bonne Krampouz « suffit » à te redonner le sourire,bretagne,humour,breizh,gwen ha du,snsm
  • * Tu connais toutes les Crêperies de ta ville et surtout la meilleure...
  • * Pour toi, les fraises sont de Plougastel... Sinon c'est pas des vraies fraises...

 

  • * Où que tu sois tu manges le pâté dans la petite boite bleue, parce que c’est le meilleur, mais que ça n’a pas le même goût qu’en Bretagne,
  • * Tu cuisines au beurre salé… uniquement,bretagne,humour,breizh,gwen ha du,snsm
  • * Alors que loin de la Bretagne tu mets 1h à trouver du beurre salé dans un magasin… ou que tu en rapportes avec toi de peur d'en manquer. Et que de toutes façons, il ne sera jamais aussi bon... car fait à la chaîne industrielle c'est pas comme celui de la ferme du coin...

 

  • * Tu pourrais manger des galettes et des crêpes à toute heure de la journée, avec plein de beurre dessus et surtout accompagné d’une bolée de cidre,
  • * Tu manges le beurre salé à la cuillère, au petit-déjeuner, au déjeuner et au dîner,bretagne,humour,breizh,gwen ha du,snsm
  • * Pour toi la coquille elle se déguste avant de se lire sur un écran d'ordinateur,
  • * Pendant tes vacances sur la côte tu ferais le tour de tous les restaus pour te régaler avec un bon crustacé,
  • * Tu prépares des galettes saucisses pour l’apéro et un kouing-aman pour le goûter,

 

  • * Tu dis « Hir-Mat ! » pour trinquer à l’apéro,
  • * Tu sais cuisiner un Kig-ha-farz et que tu aimes le Kig à farz,
  • * Tu ne peux pas manger tes crêpes avec autre chose qu’une bolée de cidre,

 

  • * Tu te revendiques haut et fort comme gaulois et que tu es fière d'être Breton ou Bretonne,
  • * Pendant tes vacances en Provence alors que l’on te vante la mer Méditerranée tu répliques que la mer, la vraie, c'est celle qui vit avec ses marées, ses vagues, son écume, celle qui vient frapper les rochers… en Bretagne…bretagne,humour,breizh,gwen ha du,snsm
  • * Tu défends l’Armorique contre toute critique (il ne pleut que sur les cons, ou tu dis oui pour ne pas être envahie) Lol… il ne pleut pas plus en Bretagne qu’ailleurs !
  • * Tu «  reuz » quand on critique la Bretagne, rien ne pourra t’empêcher de l’aimer, de la défendre et de perpétuer sa culture, sa langue et son histoire…
  • * Ça t'énerve qu’on s'étonne que tu partes en vacances en Bretagne alors que soi-disant il y pleut tout le temps et que la côte d’azur c’est plus près…
  • * T'aimes pas les portiques écotaxes, et tu as un bonnet rouge dans ton placard,bretagne,humour,breizh,gwen ha du,snsm
  • * Tu parles de Nantes comme du Comté de Naoned et que pour toi la Loire Atlantique est la cinquième fille de la Bretagne. Les incultes qui prétendent sérieusement le contraire devraient mettre le nez dans leurs bouquins d'histoire ! 

 

Et non de non, tu n as pas mauvais caractère…

Tu as juste... du caractère !

 

BREIZH DA VIKEN !!!

 

Ni, Breizhiz a galon, karomp hor gwir vro ! [...]

"Nous Bretons de cœur, nous aimons notre vrai pays !"

O Breizh, ma bro, me 'gar ma bro. [...]

"O Bretagne, mon pays, j'aime mon pays."

N'eus bro all a garan kement 'barzh ar bed. [...]

"Il n'est d'autre pays au monde que j'aime autant."

 

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25 mars 2014

Etats d'âme de Célib' (Chapitre 2)

Dernièrement, une personne de mon entourage, une personne que j’aime vraiment profondément je précise, m’a envoyé ce lien...

Euh… Comment dire… Espèce de nouille en plastique ! Cornichon à plumes ! Carambar en bois !

Voilà… C’est dit !

 

Chers amis, une fois de plus, vraiment on vous aime énormément, on vous adore plus que très beaucoup d’ailleurs… et on ne vous remerciera jamais assez de votre présence réconfortante à nos côtés. C’est vraiment très gentil de votre part de chercher à nous réconforter et d’ailleurs, soit dit en passant, heureusement que vous le faites ! Car on en a vraiment bien besoin…

Mais vous voyez, trop de sollicitude… tue la sollicitude…

 

Toutes ces gentilles choses que vous nous distillez, c’est mignon et plein d’amour, mais inconsciemment on le sait bien et on le souhaite autant que vous… Donc malheureusement, ça ne nous aide pas…

 

Eh donc… Pour en revenir à cette fameuse liste des avantages à être célibataire que vous avez trouvé sur le net et que vous nous invitez à lire (on comprend bien qu’avec cela aussi vous voudriez nous voir sourire et que l’on ne soit pas si malheureux d’être célib’…), elle est peut-être bien rigolote et pas fausse non plus… mais vous savez, ces soi-disant avantages, on les connaît. Et pour tout vous dire, on s’en moque aujourd’hui…  On en a bien profité, c’était sympa, mais maintenant on veut juste vivre autre chose…

 

Car oui, on en a marre de cette vie avec nous-mêmes…

brandade-de-morue.jpgOn en a marre de faire nos courses par lot de 2 parts à chaque fois (c’est pratiquement le même prix que la part individuelle donc ça revient moins cher, mais dans le fond on n’en voudrait qu’une de part).

On en a marre de devoir mettre une chaise sur une table pour changer l’ampoule de la cuisine.

On en a marre de passer 2h pour monter une table de nuit en kit qui au final sera bancale.

On en a marre de payer un supplément « chambre individuelle » pour cette semaine en club.

On en a marre de payer le même prix que si on était 2 dans cette chambre d’hôtel en bord de mer…

On en a marre d’être regardée de travers quand on achète 1 place pour le concert de Lola Duchemol et qu’en plus on nous demande si c’est pour faire un cadeau à notre nièce (ou notre fille tient !!!).

On en a marre de se masser les pieds nous-mêmes.

On en a marre de se gratter le dos avec un gratte-dos à manche extensible en ferraille.

On en a marre de ne pas se réveiller avec la douce odeur des croissants et du pain grillé sous le nez.Petit dej.jpg

On en a marre de ne pas se faire kidnapper à la sortie du bureau pour une surprise que « je te dis pas où on va ! »

On en a marre de n’être pas attendue le soir après une réunion exécrable.

On en a marre d’avoir la couette pour nous toute seule.

On en a marre de ne pas avoir à chercher des excuses bidons au pourquoi on a acheté cette robe importable.

On en a marre de se disputer avec notre vaisselle ou notre linge sale qui nous reprochent de ne pas s’occuper d’eux…

On en a marre de devoir trouver des excuses à la con pour justifier que nous aussi on veut poser nos congés d’été entre le 8 et le 28 août… Comment ça j’suis célib’ et sans enfants ???!!!

Etc. etc. etc. etc.…

 

Bref, on en a un peu marre d’avoir souvent la triste sensation d’être un peu la cinquième roue du carrosse…

 

Nous aussi on veut partir en « week-end à Rome tous les deux sans personne » et tant pis si pour ça faut aller déjeuner chez Belle-Maman un peu jalouse que l’on soit la préférée de son fils chéri.

vase.jpgNous aussi on veut un vase bleu tout pourri à Noël parce que le bleu ça va bien avec le tapis du salon.

Nous aussi on veut notre photo-couple sur le bureau de Beau-Papa.

Nous aussi on veut s’entendre dire « qu’on est la fille qu’on n’a pas eu, mais que c’est pas grave, car maintenant c’est un peu pareil ! »

Nous aussi on veut ramasser les caleçons et les chaussettes à l’envers dans l’appartement avant de faire une lessive.

Nous aussi on veut courir chez le fleuriste à 12h25 un dimanche midi parce qu’on va déjeuner chez Belle-Maman et qu’on a oublié que c’était sa fête aujourd’hui.

Nous aussi on voudrait vous montrer notre annulaire avec fierté parce qu’hier soir Mamour nous a enfin fait sa demande avec une bague Monoprix.

Nous aussi on veut se faire réveiller à 8h un dimanche matin par les assauts de 2 lutins (ou plus…) qui veulent des câlins et des bisous sous la couette de papa-maman. Et tant pis si Marguerite nous a réveillés à 2h du matin pour réclamer sa tétée et si Gaston nous a réveillés à 4h du matin à cause du monstre qui se cachait sous son lit…

faire-glace-chocolat.jpgNous aussi on veut commander « Une grande glace multi-Choco-Fruits… avec deux cuillères s’il-vous-plaît ! »

 

 

Nous aussi on veut une réduction « duo » pour le TGV en direction de Marseille un vendredi soir.

Nous aussi on veut s’entendre dire qu’on est « la plus belle des princesses et que même Scarlett Johansson nous arrive pas à la cheville. »

Nous aussi on veut partager notre baignoire et notre bouteille de bain moussant.

Nous aussi on veut pouvoir dire « Nan mais nous c’est pas pareil… Les fraises on les mange avec de la chantilly ET des pépites de chocolat ! »

Nous aussi on veut un horrible surnom que « Chut, faut pas que ça se sache, tu le gardes pour toi hein ? »

Nous aussi on veut avoir des private joke à deux que personne comprend…

Etc. etc. etc. etc.…

 

Bref, nous les célib’ en peine, les avantages du célibat et les inconvénients du couple, on s’en fout. Ce que l’on veut c’est construire quelque chose de grand, de beau, de vrai, de durable…  On veut réapprendre à conjuguer la vie à la première personne du pluriel au présent de l’indicatif et au futur simple…

 

celibat.jpg

 

Alors, chers amis, doux compagnons de route… Après nous avoir écouté nous plaindre et maugréer, après avoir tenté de nous consoler, après nous avoir offert votre épaule, votre cœur et vos sourires, après nous avoir offert vos paroles maladroites mais tellement pleine de votre amour profond et sincère… On voudrait juste vous demander une petite chose.

 

Plutôt que de vous chagriner avec nous, secouez-nous ! Ce dont nous avons besoin en vérité, c’est d’un peu d’action… Tirez-nous par la peau du dos et faites-nous sortir de notre canapé… Lancez-nous des défis et des paris à la con… Faites ressortir le petit grain de folie qui sommeille en nous… Faites-nous rencontrer des gens nouveaux, présentez-nous de nouvelles personnes… sans forcément organiser un « Tournez-Manège » du XXIème siècle… Parce que là on va bien se rendre compte de la supercherie… ;-)

Tournez-Menage.png

 

 

18 mars 2014

Les phrases à la cons honnis par les célibataires

 

Nos ami(e)s, nos proches, on les aime... vraiment beaucoup.

 

On sait bien que lorsque l'on s'épanche sur notre solitude et notre sentiment d'incomplètude, c'est dans une bonté de cœur gratuite et sincère qu'ils nous offrent un beau panel de petites phrases, dont on se passerait bien... même si dans le fond on apprécie leur quête pour nous apporter un peu de réconfort... car on le sait bien qu'ils nous aiment...

 

Mais enfin bon... Quel(le) célibataire n'a jamais entendu ce genre de phrases, qui peuvent parfois être blessantes et sans fondement, idiotes et sans compassion... en fonction de l'état moral de notre grand cœur de célib' en peine.

Je vous propose donc une liste non-exhaustive de ces petites phrases dont on se passerait bien, ainsi que les réponses que l'on aimerait souvent bien pouvoir faire... ou des pistes pour vous permettre de répondre à ces empêcheurs de tourner en rond...

 

célibataire,phrases cons,réponses

 

« Un de perdu, dix de retrouvés ! »

Ah oui ? Parce que pour info, les 10 en question, je les ai toujours pas vu !

> autre proposition (faite par un ami) : Mais moi j'en veux pas 10... J'en veux 1 !

 

« Tu es trop difficile ! »

Parce que de vouloir un mec bien, c’est être compliquée ?

 

« Mieux vaut être seule que mal accompagnée »

Mais être bien accompagnée, c’est interdit ??

 

« Mais il faut sortir ! »

Oui tu as raison, je ne sors sûrement pas assez… Mon sport, mon groupe de prière, les soirées entre amis, les apéros en terrasse, les sorties ovs, les rencontres de covoiturage… Non t’as raison… Je vais m’inscrire aux célib’ en détresse ça me fera rencontrer du monde !

 

« Mais tu n'es pas seule, heureusement tu as nous, ton chat, ton chien… »

Ah oui c’est vrai, j’suis bête ! Mais le massage du soir, le câlin du dimanche matin, le resto, le we surprise, le p’tit dèj au lit, les fleurs etc… Pour info, j’attends toujours !

 

« Tu es bonne à marier… »

Et ça doit m’aider ? Comme si je ne m’en doutais pas…

 

« Je vais te présenter Gontrand... »

Vraiment bonne idée… Mais ça fait 4 ans que tu le dis… Et j’attends encore…

 

« Untel ne te méritait pas » / « Tu mérites mieux qu’Untel »

Ah oui ? Comment tu peux dire ça ? Lui au moins il m’a accompagnée à l’enterrement de ma cousine !

 

« Je comprend pas que tu sois encore célibataire ! »

Ça tombe bien ! Moi non plus !

 

« Ça fait combien de temps déjà ? Ouah ! Et comment tu fais ? Ça va, tu le vis bien ? »

Ben tu vois, j’hésitais entre me couper les veines ou me pendre… mais peut-être que le saut de l’ange depuis un pont ça serait plus rigolo…

 

« T’es pas trop moche pourtant. »

C’est toujours sympa ! Merci de pas me comparer à un thon…

 

« En même temps si tu t’arrangeais un peu, aussi. »

Oui, c’est vrai, je vais mettre une micro jupette, un petit haut cache-aréole et des talons de 20 cm… Là je vais attirer du maquereau…

 

« Mais alors tu fais quoi de tes week-ends ? »

Ben tu vois, je sors ma boite de kleenex et je passe mon we à pleurer devant des comédies romantiques… et en regardant les conneries de NT1 quand je suis un peu plus en forme !! Pfff !!

 

« Je t’ai pas invitée parce qu’il n’y avait que des couples. »

Ça part d’une bonne intention, oui, mais c’est tout pourri. Et ton cousin Barnabé que tu voulais me présenter, il était pas dispo, il avait son cours de ping-pong aquatique ?

 

« Oh ça va hein, calme-toi ! Y en a marre ! Ta frustration sentimentallo-sexuelle te rend aigrie. »

Et le rhume de Balthazar, et les dents de Gaspard et la diarrhée de Suzanne, et les caprices de Pétula… On en parle jamais peut-être ??? Tu te plains, je me plains ! 1 point partout, la balle au centre !!

 

« Alors ? T’as un(e) nouveau/lle copain/ine ? »

Ben oui, t’as vu tata, je suis venue seule pour ton déjeuner ! Et sinon les hémorroïdes de tonton, tu veux en parler aussi ?

 

« Ça sert à rien de chercher, il viendra tous seul / t'inquiètes pas, ça viendra quand tu t'y attendras le moins ! »

Et en attendant je fais quoi ? Je tricote des pulls pour l’Armée du Salut ?

 

« Je te crois pas, tu ment, une nana comme toi, c'est pas  possible ! »

Nan t’as raison ! J’ai un amant dans le placard et un autre dans la baignoire… Sans compter celui qui dort sur mon canapé !

 

« Tu dois avoir une vie tellement palpitante ! »

La poubelle à descendre, le balai à passer, la vaisselle à faire, du linge à laver et à repasser, des vitres à nettoyer, des courses à faire… En effet, c’est très palpitant !

 

« Tu peut avoir tous les hommes que tu veux… »

Pour la nuit ou pour la vie… C’est pas pareil !

 

« Mais ne t'inquiète pas vas, ça va venir… / Tu va trouver tu verras. »

Ah oui ? Tu es voyante maintenant ?

 

« T’as pas de chance, tu tombes que sur des… »

C’est pas des …, juste ça n’a pas marché ! Ce n’était pas le bon, c’est tout !

 

« Oh, t’inquiète pas, toi aussi tu trouveras la figurine en plastique avec qui tu finiras ta vie. »

Et le couvercle sur la marmite aussi ? Et la deuxième chaussette ?

 

« Et ne sors jamais sans être au top ! On ne sait jamais, tu peux tomber sur l'amour de ta vie ! »

Ouais ben, l'amour de ma vie, il m'aimera comme je suis ! Et si Alfred est pas capable de me trouver belle en pyjama avec le cheveu hirsute du matin... Eh bien il craint... alors bye bye Alfred... 

 

« Si tu ne t'es pas maqué d'ici 2 ans, t'auras foiré ta vie ! »

Pourquoi ? Tu t'es déjà acheté ta Rolex toi ?

 

Au final, la seul chose qui soit douce et agréable à entendre ce serait plutôt : « Je n'en sais rien si un jour tu trouveras quelqu'un parce que je ne peux pas prédire ça, mais tout ce que je peux te dire c'est que je te le souhaite de tout mon cœur. Parce que c'est génial et que tu le mérites… »

 

Parce que dire cela n'est ni un mensonge ni faire des suppositions.

 

 

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29 novembre 2012

Des marécages à la pénicilline...

 

Il s'appelait Désiré, c'était un pauvre fermier écossais.

 

Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche.

Il laissa tomber ses outils y courut et trouva un jeune garçon enfoncé jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer.


Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.

 

Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme.

Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.


·     Je veux vous récompenser, dit le noble. Vous avez sauvé la vie de mon fils !

·     Je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait répondit le fermier écossais.

 

Au même moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.

·     C'est votre fils ? demanda le noble.

·     Oui Alexander, répondit fièrement le fermier.

·   Alors, je vous propose un marché. Permettez-moi d'offrir à votre fils la même éducation qu'à mon fils. Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme duquel tous deux seront fiers.

Et le fermier accepta.

 

Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et à la grande finale, il fut diplômé de l'École de Médecine de l'Hôpital Sainte-Marie de Londres. Porteur d'une grande aspiration, il continua jusqu'à être connu du monde entier…


Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.

 

Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage était atteint d'une pneumonie.


Qui lui sauva la vie, cette fois ?

La pénicilline…


Comment s'appelait le noble ?

Sir Randolph Churchill et son fils, Sir Winston Churchill.



24 novembre 2012

Le Robot detecteur de mensonges...

Un homme rentre de son travail avec un robot détecteur de mensonges.

Son fils de 12 ans rentre avec 2 heures de retard de l'école.

 

- Où étais-tu depuis tout ce temps ? demande le père.

- J'étais à la bibliothèque pour préparer un devoir !

Le robot se dirige vers le fils et lui assène une claque...

 

Le père explique :

- Mon fils, ce robot est un détecteur de mensonges ! Tu ferais mieux de dire la vérité...

- Ok... J'étais chez un copain et nous avons regardé un film : Les 10 Commandements.

Et paf ! Le robot assène de nouveau une claque au fils...

- Aïe ! Bah oui ! En fait, c'était un film porno...

 

Le père :

- J'ai honte de toi ! À ton âge, je ne mentais jamais à mes parents !

Et paf ! Le robot assène une baffe au père...

La mère se marre :

- Décidément, c'est bien ton fils ...

Et paf ! Une baffe à la mère...

 

Ah ah ah ah ah ah !!!!

04 octobre 2012

Où est le Bon Dieu ??!!!

Un couple avait 2 garçons, de vrais espiègles.

 

Ils avaient fait à peu près tous les mauvais coups incroyables qui avaient eu lieu dans leur petit village. Chaque fois que quelque chose se passait dans le village, les résidents savaient qui étaient les responsables : on les accusait.

 

La mère les avait punis, grondés, avait discuté avec eux mais c'était peine perdue.

 

Le père, après avoir fait la même chose, dit à sa femme : ''Qu'est-ce que tu dirais si on demandait au curé de discipliner nos deux espiègles? '' 

 

Ils demandèrent donc au curé de discuter avec leurs enfants, mais il devait leur parler un à la fois.

 

Donc le plus jeune se présenta au presbytère le matin, le curé le fit asseoir et immédiatement lança au petit : ''Où est Dieu ? '' Aucune réponse. Le curé répéta : ''Tu connais le Bon Dieu ! Où est-il ? ''  Toujours le silence. Le curé, exaspéré par le silence du jeune, lança cette fois-ci de sa grosse voix autoritaire : ''Pour la dernière fois, je te demande, où est Dieu ?''

 

Le jeune se leva, prit ses jambes à son cou et sans s'arrêter se sauva directement chez lui.

En arrivant, il prit son frère par le bras, le tira jusque dans la garde-robe et ferma la porte.


À bout de souffle, il lui dit : ''Là on est dans la merde ! Ils ont perdu le Bon Dieu et ils pensent que c'est nous qui avons fait le coup !!!”

 

Une petite fille de 9 ans...

Une petite fille de 9 ans demande à sa maman :

- Quel âge as-tu, maman ?
- Cela ne se demande pas ma chérie, lui répond sa mère.
- Combien tu mesures, maman ?
- Cela n'est pas important ma chérie, reprend la mère.
- Maman, pourquoi toi et papa vous avez divorcé ? Redemande la petite fille.
- Cela ne te regarde pas ma chérie, dit la mère en terminant la discussion.


La petite fille demanda à sa meilleure copine pourquoi les adultes ne parlent pas de ces choses-là.

Sa copine lui dit : C'est vraiment simple, toutes les réponses à nos questions sont sur leur carte d'identité. Donc ce soir tu regardes...
 
Le lendemain la petite fille fouille dans le sac à mains de sa mère et trouve sa carte d'identité. Elle est ravie de voir que son amie disait vrai, toutes les réponses à ses questions s'y trouvent !

Elle court alors voir sa mère et lui dit :
- Maman, je sais ton âge.
- Ah oui ? Et j'ai quel âge ?
- 36 ans. Et je sais combien tu mesures.
- Ah oui ? Combien ?
- 1 mètre 71. Et je sais aussi pourquoi toi et papa avez divorcé...

- Et bien cela m'étonnerait fort !
- Tu as eu un F en sexe...
   Et ça, ce n'est vraiment pas une bonne note !

08 septembre 2012

Noé du XXIème siècle

En 2012 après Jésus-Christ, Dieu rend visite à Noé et lui dit : « Une fois encore, la terre est devenue invivable et surpeuplée. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques bons humains. Dans six mois, j'envoie la pluie durant quarante jours et quarante nuits, et je détruis tout !!! »

Six mois plus tard, Dieu retourne visiter Noé et ne voit qu'une ébauche de construction navale.

·                Mais, Noé, tu n'as pratiquement rien fait ! Demain il va commencer à pleuvoir !!!

·                Pardonne-moi, Tout Puissant, j'ai fait tout mon possible mais les temps ont changé...

Ø  J'ai essayé de bâtir l'arche mais il faut un permis de construire et l ‘inspecteur me fait des ennuis au sujet du système d'alarme anti-incendie.

Ø  Mes voisins ont créé une association parce que la construction de l ‘échafaudage dans ma cour viole le règlement de copropriété et obstrue leur vue. J'ai dû recourir à un conciliateur pour arriver à un accord.

Ø  L'Urbanisme m'a obligé à réaliser une étude de faisabilité et à déposer un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour transporter l'arche jusqu'à la mer. Pas moyen de leur faire comprendre que la mer allait venir jusqu'à nous. Ils ont refusé de me croire.

Ø  La coupe du bois de construction navale s'est heurtée aux multiples associations pour la Protection de l'Environnement sous le triple motif que je contribuais à la déforestation, que mon autorisation donnée par les Eaux et Forêts n'avait pas de valeur aux yeux du Ministère de l'environnement, et que cela détruisait l'habitat de plusieurs espèces animales. J'ai pourtant expliqué qu'il s'agissait, au contraire de préserver ces espèces, rien n'y a fait.

Ø  J'avais à peine commencé à rassembler les couples d'animaux que la SPA et WWF me sont tombés sur le dos pour acte de cruauté envers les animaux parce que je les soustrayais contre leur gré à leur milieu naturel et que je les enfermais dans des pièces trop exiguës.

Ø  Ensuite, l'agence gouvernementale pour le Développement Durable a exigé une étude de l'impact sur l'environnement de ce fameux déluge.

Ø  Dans le même temps, je me débattais avec le Ministère du Travail qui me reprochait de violer la législation en utilisant des travailleurs bénévoles. Je les avais embauchés car les Syndicats m'avaient interdit d'employer mes propres fils, disant que je ne devais employer que des travailleurs hautement qualifiés et, dans tous les cas, syndiqués.

Ø  Enfin le Fisc a saisi tous mes avoirs, prétextant que je me préparais à fuir illégalement le pays tandis que les Douanes menaçaient de m'assigner devant les tribunaux pour "tentative de franchissement de frontière en possession d'espèces protégées ou reconnues comme dangereuses.

Ø  Aussi, pardonne-moi, Tout Puissant, mais j'ai manqué de persévérance et j ‘ai abandonné ce projet.

 

 

Aussitôt les nuages se sont dissipés, un arc-en-ciel est apparu et le Soleil a lui.

·                Mais tu renonces à détruire le monde ? demanda Noé…

·                Inutile, répondit Dieu, l'Administration s'en charge très bien sans moi !!


25 juillet 2012

A LA GLOIRE DES FEMMES

 LES FEMMES ONT TOUJOURS LE DERNIER MOT...

en tout cas, très souvent !

 

Première histoire

Un couple se balade en voiture à la campagne. Suite à une discussion plutôt acerbe, ils ne se parlent pas. Passant devant une ferme où on voit des ânes et des cochons, le mari ose briser le silence et dit : «Tiens, de la famille à toi? » Son épouse répond du tic au tac : « Oui, par alliance!»

 

Deuxième histoire

Un homme lit le journal et dit à son épouse : « Savais-tu que les femmes utilisent 30 000 mots par jour et les hommes 15 000 ? »

La femme lui répond : « C'est facile à expliquer, il faut toujours répéter deux fois la même chose aux hommes...»

L'homme se retourne vers elle et dit : « Quoi ? »

 

Troisième histoire

Un homme dit à son épouse : « Comment le bon Dieu a-t-il pu te faire aussi belle et aussi stupide à la fois ? »

Celle-ci répond : « Laisse-moi t'expliquer, Dieu m'a faite belle pour t'attirer... Et il m'a faite assez stupide pour que je te garde. »

 

Quatrième histoire

Suite à une dispute, un couple ne se parle plus. Aucun ne veut rompre le silence.

Soudain le mari se souvient qu'il doit se lever à 5:00 du matin pour prendre l'avion en vue d'un rendez-vous d'affaires important. Il prend un bout de papier et écrit : « Réveille-moi à 5 heures, je dois prendre l'avion. Il le place bien en vue. »

Le lendemain, il se réveille à 9h. Furieux, il se lève et aperçoit un papier sur sa table de nuit sur lequel il lit : « Il est 5h, lève-toi. »

 

Cinquième histoire

Il était une fois un homme très pingre qui avait travaillé toute sa vie et épargné son argent... Il aimait l'argent plus que tout et juste avant de mourir il dit à sa femme : « Lorsque je mourrai, je veux que tu mettes tout mon argent dans le cercueil avec moi, ce sera pour ma vie après la mort. » Bien à contrecœur, sa femme lui fit le serment de mettre tout son argent dans le cercueil avec lui.  Peu de temps après, il mourut...

Au cimetière, il était étendu dans son cercueil entouré de quelques amis, de membres de sa famille et de son épouse tout de noir vêtus. Comme la cérémonie se terminait et juste avant que le cercueil soit refermé et porté en terre, l'épouse dit: « Attendez une minute. » Elle prit alors une boîte qu'elle déposa dans le cercueil avec son époux. Les préposés firent alors descendre le cercueil dans la fosse. Un ami lui dit alors: « Écoute bien, j'espère que tu as été assez intelligente pour ne pas mettre tout son argent dans le cercueil avec lui comme il t'avait demandé ? »

L'épouse dit alors: « Bien sûr, je suis une bonne chrétienne et je ne puis revenir sur la parole faite à un mourant de mettre son argent avec lui dans le cercueil. Et elle ajouta : « Je lui ai fait un CHEQUE. »

 

 

 

 

 

 

08 mars 2012

Trucs à faire en classe...

 

pion, film, blague, conspiration, classe, profAvez- vous déjà vu le film « Le Pion » ? Ce film de l’automne 1978, avec au casting le regretté Claude Piéplu (The Shadocks), Michel Galabru, Henri Guybet, Claude Jade et Roland Giraud raconte l’histoire d’un surveillant de collège de province. Parmi ses élèves ce trouvent Benech et Laugier, deux camarades que rien n’arrête, et surtout pas l’art de faire des bêtises toutes plus drôles les unes que les autres…

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En mémoire de ces deux compères foutraques et pour ne pas vous emmerder en classe (puisque travailler ne vous dit guère), je vous propose une série de bonnes grosses bêtises sans graves conséquences…

Histoire de faire rire vos camarades et d’emmerder tout le monde… à faire seul ou en groupe … c’est ce que l’on appelle une conspiration organisée…

 

Je tiens quand même à préciser que je ne saurais en rien être tenue pour responsable des punitions, heures de colle, renvois et autres sanctions… que certains pourraient recevoir… A vous de manier l’art de la discrétion et de la subtilité pour ne pas vous faire prendre…

 

  • Achetez une carte postale électronique (celles qui font de la musique quand on les ouvre), mettez le mécanisme (pas la carte...) dans le cahier de texte de la classe de façon à ce que quand le prof l´ouvre, la petite musique se déclenche, et que le prof se sente obligé de le refermer...
  • Avant le cours, dites aux élèves de faire tomber leurs stylos, tous au même instant.
  • Basket : comme son nom l´indique, il s´agit de faire des paniers dans la corbeille du prof sans se faire remarquer.
  • Pour éviter que le prof ne donne des devoirs à la fin du cours, ne le laissez pas parler, posez des questions qui n´ont pas forcément de rapport avec le cours.
  • Organisez une bataille de sarbacanes : dès que le prof a le dos tourné… Action ! Et lorsqu’il revient vers vous… les mouches volent…
  • Concours : ne pas quitter le prof des yeux. Celui ou celle qui échoue doit se donner une énorme claque.
  • Éclatez de rire, et dites au prof que votre voisin vous a raconté une blague. (A faire si vous êtes a coté d´un (censure), ou d´une biiip...)
  • Appeler le professeur et lorsqu'il répond "oui" ou "quoi", lui dire d'un ton naturel "non rien". Le refaire autant de fois que vous voulez dans le cours jusqu'à ce que le prof ne vous réponde plus.
  • Convainquez toute la classe de chanter la marseillaise au début du cours. (eh oui ! on dit « convainquez » !)
  • Si le prof vous demande de sortir en disant : « ça suffit ! Tu prends la porte !! » : exécutez-vous… Et prenez la porte au sens propre : Vous la dégondez et partez avec…
  • Chaque personne fait un petit son, avec la voix, ou en tapant sur les tables, mais attention, un son très petit. Chaque personne répètent ce son afin d´obtenir une super chanson !
  • Prenez au hasard n´importe quel mot dans un dictionnaire. L'autre personne doit alors dire au prof une phrase contenant ce mot...
  • Dès que le prof a le dos tourné, tout le monde prends la place de son voisin de gauche
  • Citez des personnes qui n'existent pas dans vos copies, surtout en philosophie. Des noms si possible moches et qui passent plutôt inaperçus, comme: Théopole Franglue, Simon Berrebi, Victor Borgel ou Julien Dabi
  • Lorsque le professeur a le dos tourné, avancez votre bureau d'un peu. Répétez jusqu'à temps que votre bureau est tout près du bureau du prof.
  • Toute la classe n'a le droit de dire uniquement deux ou trois phrases.

 

 

06 mars 2012

Histoire de trous...

Un homme joue au golf pour la première fois sur un terrain particulièrement compliqué.

A un certain moment, il s'embrouille et n'est plus certain de l'endroit exact où il se trouve sur le parcours. En regardant autour, il aperçoit une femme qui joue devant lui. Il s'approche, s'excuse, lui explique sa confusion et lui demande si elle sait sur quel trou il joue.

Elle répond : « Eh bien, je suis sur le 7ème et vous êtes un trou derrière moi, alors vous devez être sur le 6ème ». L'homme la remercie et poursuit sa partie.

Un peu plus tard, la même situation se produit. Il approche encore une fois de la femme et lui pose la même question. Elle répond : « Je suis à présent sur le 14ème trou, répond la femme, et vous êtes un trou derrière moi. Vous devez donc être au 13ème ».

L'homme la remercie à nouveau et termine sa partie. Lorsqu'il entre au chalet, il aperçoit la femme assise au bar. Il demande au barman s'il la connaît. Il répond que oui : « Elle est représentante et vient jouer à ce club régulièrement ».

Notre golfeur s'approche d'elle et lui offre un verre pour la remercier.

  • Je crois comprendre que vous êtes représentante. Je suis également dans la vente. Qu'est-ce que vous vendez ?
  • Si je vous le dis, promettez-moi de ne pas rire...
  • D'accord, répond l'homme.
  • Eh bien, poursuit-elle un peu gênée, je travaille pour Tampax.

Sur ce, l'homme se met à rire à gorge déployée.

  • Je savais que vous ririez de moi, chaque fois que je dis ce que je vends, c'est la réaction que ça provoque.
  • Non, non, répond l'homme après avoir essuyé ses larmes, je ne ris pas de votre profession ! Je travaille chez Lotus et je vends du papier toilette, je suis encore un trou derrière vous !

 

01 mars 2012

Découvertes et inventions

 L'Homme a découvert les ARMES

et il a inventé la CHASSE,

La Femme a découvert la CHASSE

et elle a inventé les FOURRURES.


L'Homme a découvert les COULEURS

et il a inventé la PEINTURE,

La Femme a découvert la PEINTURE

et elle a inventé le MAQUILLAGE.


L'Homme a découvert les MOTS

et il a inventé la CONVERSATION,

La Femme a découvert la CONVERSATION

et elle a inventé le BAVARDAGE.


L'Homme a découvert le JEU

et il a inventé les CARTES,

La Femme a découvert les CARTES

et elle a inventé la SORCELLERIE,


L'Homme a découvert l'AGRICULTURE

et il a inventé la NOURRITURE,

La Femme a découvert la NOURRITURE

et elle a inventé le REGIME.


L'Homme a découvert l'AMITIE

et il a inventé l'AMOUR,

La Femme a découvert l'AMOUR

et elle a inventé le MARIAGE.


L'Homme a découvert les FEMMES

et il a inventé le SEXE,

La Femme a découvert le SEXE

et elle a inventé les MAUX DE TETES.


L'Homme a découvert l'ECHANGE

et il a inventé l'ARGENT,

La Femme a découvert l'ARGENT…


Et c'est là que tout a mal tourné...

 

29 février 2012

Accouchements …

 

location-de-chaises.jpgIl y a quelques années, j'étais assis dans la salle d'attente de la maternité, alors que ma femme était en train de se prendre une perfusion d'ocytocine administrée dans le but d'accélérer son travail (elle avait ce qu'on appelle le "part languissant"). J'attendais là, en compagnie de plusieurs autres maris.

 jumelle-appareil-photo.jpg

La sage-femme sort. Elle a dit à un homme assis en face de moi : "Félicitations monsieur, vous êtes l'heureux papa de jumelles !" L'homme a répondu : "Ça par exemple ! Je travaille justement pour un fabriquant d'optique de précision et ma spécialité, ce sont les jumelles !"


Environ une heure plus tard, la sage-femme refait irruption dans la salle d'attente et annonce que Mme Dupont vient de mettre au monde des triplés, 3 petits garçons. M. Dupont se lève alors d'un seul coup et s'exclame : "Eh, qu'est-ce que vous dites de ça, j'ai 3 petits mecs et je travaille pour 3M !"


6a013487b56bd4970c013489b6465f970c-800wi.jpgLorsque la sage-femme apparaît la fois suivante, elle annonce à un troisième père que sa femme vient juste de donner naissance à des quadruplés. "Voilà quelque chose de vraiment singulier !" s'écrie le papa. "Il se trouve justement que je travaille à l'hôtel du Trèfle à 4 feuilles !"

 Ali_Baba_et_les_quarante_voleurs.jpg
Arrivé à ce point, le monsieur assis à côté de moi se met à suffoquer et à s'étrangler. il se lève, et desserre à la hâte son nœud de cravate, cherchant à reprendre sa respiration. 

 

Je lui demande si tout va bien, et il me répond : "Je pense que j'ai besoin d'aller prendre l'air ! Vous comprenez, je suis directeur de casting pour Ali Baba et les 40 voleurs ..."

 

25 février 2012

Définition d'un GRAND-PARENT

Définition d'un GRAND PARENT

(D’après les enfants d'une classe de CM1)


Les grands-parents, c'est une dame et un type qui n'ont pas d'enfants eux-mêmes. Mais ils aiment beaucoup les enfants des autres.

Un grand-père c'est un bonhomme et une grand-mère c'est une dame !

Les Grands-parents ne font rien d'autre que de nous attendre lorsque nous venons les voir.

Ils sont tellement vieux qu'ils ne peuvent pas courir ou jouer à des jeux où on se pousse un peu. Mais c'est drôlement bien lorsqu'ils nous conduisent à des boutiques de bonbons.

Quand on va se promener avec eux ils ralentissent toujours pour nous montrer des feuilles mortes ou des chenilles.

Ils nous montrent des fleurs, nous parlent de leurs couleurs et nous demandent de ne pas marcher sur des choses qui craquent, mais ils ne disent pas, Dépêche-toi.

Ils portent des lunettes et des sous-vêtements très bizarres.

Ils peuvent enlever leurs dents avec leurs gencives.

Les grands-parents n'ont pas "a bien se conduire".

On peut leur demander des questions comme « Pourquoi Dieu n'est pas marié? » ou « Pourquoi les chiens courent après les chats ? » et ils répondent…

Lorsqu'ils nous lisent des livres, ils ne sautent pas des lignes. Et si on leur demande de nous relire la même histoire, ils ne disent rien.

Tout le monde devrait avoir une grand’mère, surtout si vous n'avez pas de télévision parce que ce sont les seuls adultes qui aiment passer du temps avec nous.

Ils savent qu'il faut que nous ayons un petit goûter avant d'aller nous coucher, ils disent les prières avec nous et nous embrassent même si ça a mal été.

Et celui-là, âgé de 6 ans à qui on demandait ou sa grand-mère vivait. « OH, elle vit à l'aéroport, et quand on veut la voir, on va la chercher. Et lorsque la visite est finie, on la ramène à l'aéroport. »

Grand-papa c'est l'homme le plus gentil de la Terre ! Il me montre des tas de trucs, mais je ne le verrai jamais assez pour devenir aussi calé que lui !

C'est drôle parce que lorsqu'ils se penchent, on entend des fuites de gaz, et ils disent que c'est le chien.

Et malgré tout ça, certains pédiatres vous diront que les enfants ne doivent pas passer trop de temps avec leurs Mamies et Papys… Pauvres pédiatres qui ne savent pas encore que la vérité sort de la bouche des enfants…

vieillesse.jpg

 

21 février 2012

Histoire de chiffres...

PETITE CHINOISERIE

Voici de quoi surprendre, même les plus blasés d'entre nous...

 

En 2011, les mois de juillet et d’octobre ont été un peu plus originaux qu’à l’habitude. Jetez un coup d'œil au calendrier et observez ce qui suit.

Le mois de juillet 2011 a compté :

5 vendredis, 5 samedis, 5 dimanches.

Ceci ne survient qu'une fois tous les 623 ans. Les Chinois appellent cette exception « les sacs d'argent ».

Le mois d'octobre a eu sa part d’exceptions :

5 samedis, 5 dimanches, 5 lundis.

Ceci ne survient qu'une fois tous les 823 ans.

L’année 2011 a compté également 4 dates inaccoutumées :

Le 1er janvier (1/1/11), le 11 janvier (11/1/11),

le 1er novembre ( 1/11/11) et le 11 novembre (11/11/11).

 

Ce n'est pas tout !

Pour vous amuser un peu, additionnez maintenant les deux ultimes chiffres de votre année de naissance et l'âge que vous avez atteint en 2011.

Par exemple : année de naissance + votre âge = 111

Ex : 66 + 45 ou 81 + 30 ou ... = 111

La somme sera la même pour tous, soit 111 !

20 février 2012

un taxi et des caravanes

C'est un vendredi à New-York, jour de prières pour les muslmans...

Un salafiste monte dans un taxi pour se rendre à la grande Mosquée.

Sans dire bonjour au chauffeur, il reclame que celui-ci coupe immédiatement sa radio :

- Coupe ta radio, ça existait pas au temps du prophète !

Le chauffeur de taxi coupe sa radio, fait mine de redémarer la voiture puis s'arrête immédiatement.

Il se retourne vers le salafiste et lui demande :

- Et au temps du prophète, il y a avait des taxis ?

- Non, répond le salafiste...

Et le chauffeur de répondre :

- En effet, les taxis non-plus n'existaient pas au temps du prophète Mahomet... Je vous invite donc à descendre de mon taxi et à attendre le passage du prochain dromadaire !!

Hahahaha !!! Tel est pris qui croyait prendre !!

 

16 mai 2011

Trois cigognes...

Trois cigognes se rencontrent, et se demandent les unes aux autres :Tu vas où ?

 

  • Hooo, je vais chez un couple qui essaye d'avoir un enfant depuis 10 ans... Je leur apporte une petite fille

  • C'est cool !

  • Et vous, vous allez où ?

  • Je vais chez une dame qui n'a jamais eu d'enfants. Je lui apporte un petit garçon !

  • C'est bien, je suis sûre qu'elle va être vraiment heureuse.

  • Et toi ? demandent les deux premières à la troisième cigogne.

  • Moi ? Je vais juste là à côté, au couvent. Je ne leur apporte jamais rien ,mais j'adore leur foutre la trouille…

 

14 mai 2011

Voiture, voiture...

Un père qui sait ce qu'il veut....

 

Un jeune homme venait tout juste d'obtenir son permis de conduire. Il demande donc à son père s'ils pouvaient discuter ensemble de l'utilisation de la voiture familiale...

Son père l'amène dans son bureau et lui propose le marché suivant : « Tu améliores ton rendement scolaire, tu étudies la bible et tu te fais couper les cheveux. Ensuite, nous reparlerons de la voiture.

 

Un mois plus tard, le garçon revient à la charge et, encore, son père l'amène dans son bureau. Le père ne tarde pas à prendre la parole. « Mon fils, je suis très fier de toi. Ça va beaucoup mieux à l'école; tu t'es concentré sur la bible plus que je ne l'aurais cru, mais tu ne t'es pas fait couper les cheveux... »

Le jeune réplique : « Tu sais, papa, j'ai réfléchi à cela... Samson avait les cheveux longs... Moïse avait les cheveux longs... Noé avait les cheveux longs... et Jésus avait les cheveux longs ».

 

Et du tac au tac, le père réplique : « Et ils se déplaçaient à pied ! »