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26 février 2012

L’Inconnu dans ta rue

Voyez combien Dieu est grand... Vous récoltez ce que vous semez.

Un homme leva la tête lentement et regarda. Cette dame visiblement était habituée aux choses raffinées de la vie. Son manteau était neuf. Elle semblait n'avoir jamais manqué un repas de sa vie. La première pensée de l'homme était qu'elle voulait probablement se moquer de lui, comme tant d'autres l'avaient fait. "Laissez-moi tranquille", lança-t-il... À son grand étonnement, elle resta là. Elle souriait de ses dents droites et éclatantes. "Vous avez faim ? Elle demanda. "Non", il répondit avec sarcasme. "Je viens de manger avec le président... Alors fichez le camp." La dame sourit encore plus. Soudainement l'homme sentit une douce main sous son bras. "Qu'est-ce que vous faites, madame?"   demanda l'homme fâché. "J'ai dit fichez moi la paix !!

Juste à ce moment-là un policier arriva. "Quelque chose ne va pas, madame" demanda-t-il… "Aucun problème ici Officier, la dame répondit. " J'essaie simplement d'aider cet homme à se relever. Voulez-vous m'aider ? Le policier se gratta la tête. "Ah ! C’est le vieux Jack. Il fait parti des meubles dans le coin depuis une couple d'années. Qu'est-ce que vous lui voulez ?" "Voyez-vous la cafeteria là ? Elle demanda. "Je vais aller lui chercher une bouchée et l'amener un peu au chaud". "Ça va pas non?, la dame" le sans-abri résistait. "J'veux pas aller là !" Il sentit à ce moment des mains fortes qui l'empoigna sous les bras pour le soulever. "Laissez-moi, officier.  J'ai rien fait..."

"C'est une bonne offre pour toi, Jack" lui dit le policier. "Ne manque pas ça." Finalement, non pas sans difficulté, la femme et le policier aidèrent Jack à se rendre à la cafeteria et l'installèrent à une table en retrait dans un coin. C'était au milieu de la matinée, après l'affluence du petit-déjeuner, la plupart était partie et les prochains pour le dîner n'arrivaient pas encore. "Le gérant traversa et se tint près de la table. "Qu'est-ce qui se passe ici, officier?" demanda t-il. "Qu'est-ce que c'est tout ça, est-ce que cet homme a des problèmes ?" "Cette dame a amené cet homme pour le nourrir", répondit le policier. "Ah pas ici !" répondit le gérant fâché. "Ce type de gens nuit aux affaires". Le vieux Jack sourit avec un sourire édenté. "Voyez, madame. Je vous l'avais dit. Maintenant laissez moi partir. Je vous l'avais dit que je ne voulais pas venir ici."

La dame se tourna vers le gérant de la cafeteria, lui dit en souriant : "Monsieur, vous connaissez Eddy et Associés, l'institution bancaire sur la rue ?" "Oh bien sûr que je la connais", le gérant répondit impatiemment. "Ils viennent ici pour leurs réunions hebdomadaires dans une de mes salles de banquet." "Et vous faites de bons revenus en fournissant la nourriture à ces réunions hebdomadaires?" reprit la dame. "Mais de quoi vous vous mêlez ?" "Moi, monsieur, je suis Pénélope Eddy, présidente et PDG de la compagnie."....... "La dame sourit encore... "J'ai bien pensé que cela changerait les choses". Elle jeta un coup d'œil au policier qui était occupé à étouffer un rire.

"Aimeriez-vous vous joindre à nous avec une tasse de café et un repas, Officier ?" "Non merci, madame" répliqua le policier. "Je suis en service." "Peut-être alors, voulez-vous emporter un café ?" "Oui, madame. Ce serait vraiment bien." Le gérant de la cafeteria se retourna. "Je vous apporte votre café tout de suite, Officier." Le flic le regarda s'en aller. "Vous l'avez remis à sa place," dit-il. "Ce n'était pas mon intention... Croyez-le ou pas, j'ai mes raisons pour tout cela.

"Elle s'assit à la table en face de son invité étonné. Elle le fixa intensément. "Jack, vous souvenez-vous de moi ?" Le vieux Jack furetant son visage de ses vieux yeux encrassés. "Je pense que oui, vous m'avez l'air familier." "J'ai vieilli un peu peut-être," dit-elle." "J'en ai probablement profité depuis mon jeune âge; quand vous travailliez ici, je suis entrée par cette porte et j'avais froid et faim." "Vous, madame ?" le policier demanda. Il ne pouvait croire qu'une dame aussi magnifique ait pu avoir faim. "Je venais de terminer le collège," la dame commença. "Je suis venue en ville pour chercher un emploi, mais je ne trouvais rien. Finalement, je n'avais plus un sou et je me suis fais éjectée de mon appartement... J'ai erré dans les rues pendant des jours. C'était février et j'avais froid et je mourrais presque de faim. J'ai vu cet endroit et pris une chance au cas où je pourrais manger." Jack s'éclaira d'un sourire. "Ah là je me souviens, dit-il. "Je servais derrière le comptoir. Tu es venue et a demandé si tu pouvais travailler pour une bouchée. Et je t'ai dit que cela allait à l'encontre du règlement de la compagnie." "Je sais," continua la femme. "À ce moment-là, tu m'as fait le plus gros sandwich au rôti de bœuf que j'aie jamais vu, et tu m'as donné une tasse de café, et tu m'as dit d'aller à la table du coin et d'en profiter. J'avais peur que cela vous cause des ennuis... Et puis, je vous ai vu regarder alentour et je vous ai vu déposer dans la caisse le montant de ma nourriture, j'ai su alors que tout irait pour le mieux." "Puis, vous avez monté votre propre entreprise ?" dit le vieux Jack. "J'ai obtenu un emploi l'après-midi même. J'ai monté l'échelon. Par la suite j'ai créé ma propre entreprise, et avec l'aide de Dieu, cela a prospéré..." Elle ouvrit son sac à main et en sorti une carte de visite.

"Quand vous aurez fini ici, je veux que vous alliez voir un M. Lyons. Il est le directeur des ressources humaines de ma compagnie. Je vais aller lui parler et je suis certaine qu'il vous trouvera quelque chose à faire au bureau." Elle sourit. "Je pense qu'il aurait même les fonds à vous prêter pour que vous puissiez vous acheter des vêtements et vous trouvez un endroit où loger jusqu'à ce que vous puissiez vous débrouiller. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, ma porte est toujours ouverte pour vous."

Le vieil homme avait les yeux remplis de larmes.  "Comment je peux vous remercier ?" demanda t-il. "Ne me remerciez pas," dit la femme. "La gloire va à Dieu. Il m'a conduit à vous." À l'extérieur de la cafeteria, l'officier et la femme s'arrêtèrent à l'entrée avant de partir chacun de leurs côtés. "Merci pour toute votre aide, Officier," dit-elle. "Au contraire, Mme Eddy," dit-il.  "Merci. J'ai vu un miracle aujourd'hui, quelque chose que je n'oublierai jamais. Et... Et merci pour le café."

Excellente année.

Et que Dieu vous bénisse toujours et rappelez-vous que lorsque vous tendez la main, on ne sait jamais de quelle façon cela reviendra. Dieu est si Grand qu'il peut recouvrir tout le Monde avec son Amour et Il peut être si petit qu'il peut se nicher dans votre cœur. Lorsque Dieu vous amène au bord du précipice, faites Lui pleinement confiance et lâcher prise. Seulement 1 ou 2 choses se produiront, ou qu'Il vous attrapera si vous tombez, ou Il vous enseignera comment vous envolez !

La puissance d'une phrase ! Dieu va remuer les choses cette année et elles iront en votre faveur. Si vous y croyez, que vos vœux ont de la valeur et que Dieu est ce qu'Il dit qu'Il est : alors, partagez. Si non, oubliez.... Dieu ferme les portes qu'aucun humain ne peut ouvrir et Dieu ouvre les portes qu'aucun humain ne peut fermer. Si tu désires que Dieu t'ouvre des portes...

Bénissez quelqu'un aujourd'hui en lui partageant ceci.

Que vos journées soient bénies et souvenez vous que vous êtes les enfants bénis de Dieu... Soyez toujours heureux et faites confiance à Dieu, Il fait infiniment plus que ce que nous croyons !!!


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