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29 novembre 2012

Des marécages à la pénicilline...

 

Il s'appelait Désiré, c'était un pauvre fermier écossais.

 

Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche.

Il laissa tomber ses outils y courut et trouva un jeune garçon enfoncé jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer.


Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.

 

Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme.

Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.


·     Je veux vous récompenser, dit le noble. Vous avez sauvé la vie de mon fils !

·     Je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait répondit le fermier écossais.

 

Au même moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.

·     C'est votre fils ? demanda le noble.

·     Oui Alexander, répondit fièrement le fermier.

·   Alors, je vous propose un marché. Permettez-moi d'offrir à votre fils la même éducation qu'à mon fils. Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme duquel tous deux seront fiers.

Et le fermier accepta.

 

Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et à la grande finale, il fut diplômé de l'École de Médecine de l'Hôpital Sainte-Marie de Londres. Porteur d'une grande aspiration, il continua jusqu'à être connu du monde entier…


Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.

 

Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage était atteint d'une pneumonie.


Qui lui sauva la vie, cette fois ?

La pénicilline…


Comment s'appelait le noble ?

Sir Randolph Churchill et son fils, Sir Winston Churchill.



25 novembre 2012

Lettre à mon Député !

Je vous donne, ci-après, la copie de mon courrier adressé ce jour à Monsieur Pierre-Alain Muet, député PS de la 2nde Circonscription du Rhône.

 

Monsieur le Député Pierre-Alain Muet,


L'élargissement du mariage et de l'adoption aux couples de même sexe constituerait une rupture de société majeure. Le renouvellement des générations et l'éducation des enfants ont toujours été confiés à la cellule familiale dont l'altérité sexuelle est une condition indispensable de la fécondité. Or ce projet dissocie les liens entre parenté biologique et filiation que le mariage civil entend protéger. Toute réforme de l'adoption, institution créée pour donner une famille à un enfant qui en est dépourvu et non l'inverse, devrait avoir pour seul but une défense plus efficace des droits de l'enfant.

 

Ce projet, proposé dans un contexte social déjà fragilisé, présenterait un bouleversement pour l'ensemble des familles d'aujourd'hui et de demain et entraînerait des conséquences impossibles à estimer en l'état actuel. Les formules à l'emporte pièce et la radicalité des postures empêchent la pleine prise de conscience des enjeux de cette réforme, qui risque d'être votée sous l'éclairage de slogans plutôt que d'arguments.

 

Le gouvernement n'a pas souhaité préciser les enjeux de sa réforme, comme en attestent à la fois la brièveté de l'exposé des motifs du projet de loi et l'absence de communication sur le sujet.

 

Il vous revient donc, à vous qui nous représentez, de vous assurer que tous les aspects de cette entreprise soient clairement posés et que l'ensemble des corps la société civile soit consulté. Sur un sujet aussi fondamental, nous vous appelons à vous former un avis et par la suite un vote en conscience et indépendant de toute logique politique.

 

Il est de votre responsabilité d'élus de prendre clairement position de façon raisonnée sur le sujet et de poser le cadre d'un débat apaisé, respectueux de chacun et approfondi. Je demande donc que le gouvernement reporte son projet de loi, et qu'un vrai débat soit organisé, avec votre aide, avant l'examen du texte. Ce grand débat doit être public et d'échelle nationale, car il engage l'avenir de chaque citoyen de notre pays.

 

Je vous en prie, avec tout le respect que j'ai pour vous, réfléchissez bien aux tenants et aboutissants de ce projet. Et plutôt que d'écouter les voix discordantes des lobbys, de la passion et les voix prisonnières des luttes partisanes, écoutez la petite voix de votre conscience...

 

Je vous remercie.

 

Me tenant à votre disposition pour vous exposer plus avant ma position, je vous prie d'agréer, Monsieur le Député, l'expression de ma plus haute considération.

 

Laloua Pauline

(69001)

 

24 novembre 2012

Le Robot detecteur de mensonges...

Un homme rentre de son travail avec un robot détecteur de mensonges.

Son fils de 12 ans rentre avec 2 heures de retard de l'école.

 

- Où étais-tu depuis tout ce temps ? demande le père.

- J'étais à la bibliothèque pour préparer un devoir !

Le robot se dirige vers le fils et lui assène une claque...

 

Le père explique :

- Mon fils, ce robot est un détecteur de mensonges ! Tu ferais mieux de dire la vérité...

- Ok... J'étais chez un copain et nous avons regardé un film : Les 10 Commandements.

Et paf ! Le robot assène de nouveau une claque au fils...

- Aïe ! Bah oui ! En fait, c'était un film porno...

 

Le père :

- J'ai honte de toi ! À ton âge, je ne mentais jamais à mes parents !

Et paf ! Le robot assène une baffe au père...

La mère se marre :

- Décidément, c'est bien ton fils ...

Et paf ! Une baffe à la mère...

 

Ah ah ah ah ah ah !!!!

12 novembre 2012

Je ne veux pas me laisser imposer certaines lois...

 

« Madame Machin, catholique, ne veut pas marcher avec les "intégristes" parce qu’"on" va faire des amalgames » ; « Monsieur Bidule, chrétien BCBG, lui, ne veut pas marcher avec Madame Conforme et sa portée de têtards mal mouchés : ça pourrait faire "cathos-lapins"» ; « Madame Association-bien-en-vue voudrait bien, elle, que Monsieur Bidule ne vienne pas en bourgeois versaillais à la marche, car on pourrait croire que seuls les bourgeois sont pour la famille. »…

 

Pharisianisme contemporain où l’on s’autoproclame bonne image du catho, bon vecteur médiatique de Jésus, les autres, tous les autres, pauvres cloches de publicains, viennent souiller par leur présence nauséabonde notre pure manif. Il faudrait, nous dit-on, ne pas ressembler à qui nous sommes : c’est-à-dire des cathos pratiquants, relativement aisés, pour la plupart de milieux favorisés, culturellement à droite, où les bulletins de vote se répartissent entre Sarko, Villiers, Boutin ou Le Pen.

 

Faudra bien un jour assumer ce que nous sommes !

 

Quoi qu’il en soit, nous avons marché pour la vie, et nous marcherons contre le mariage homo, bref nous militerons pour la famille et l’on se moque absolument de qui marchera à nos côtés : intégristes, curés à tête de dogues, à pompes à boucles ou à boucle d’oreille, de l’Opus Dei ou des Légionnaires du Christ, charismatiques à particule, ou en sandales, catho mondain et sa femme de ménage, vrai tradi et fausse blonde, protestant prédestiné ou orthodoxe séparatiste, salafiste sans bombe, juif fondamentaliste sans uzi, Indien d’Amérique ou Africain de Sarcelles, et expulsés de masterchef…

 

Je me moque absolument de qui marche à mes côtés.

Je ne vais chercher ni ma foi, ni mon père spi, ni mon gendre ni ma belle-mère, et encore moins l’image de moi.

 

Je veux simplement dire NON à leur foutu projet de société !

 

Signé : L'Humeur de Pasquin