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30 avril 2008

Ce n'était que mon jean

Je tiens à rappeller que au volant sur la route, le respect du code de la route est primordial et la prudence de mise.

A tout ceux qui ne le savent pas, en ville, on roule à 50 km/h maximum ... Et quand il pleut, la prudence est de baisser un peu cette vitesse ... Apparemment cette prudence, certains s'en moquent ...

Pour broder l'image, vous vous souvenez ce matin ? Il pleuvait à ragasse (oups c'est un terme champenois ça !) ou disons plutôt il tombait une pluie torrentielle ... Alors que, bien à l'abri sous mon grand parapluie, je retournais au bureau (je travaille dans une petite rue en parallèle à l'avenue de saxe dans le 3ème) après un passage par la banque, un cinglé en 4X4, est passé à une vitesse hallucinante, tout près du trottoir sur lequel je marchais, et bien sûr, il avait pris garde de rouler dans la plus énorme flaque du caniveau ... Je vous laisse deviner la suite ...

Alors bien sûr, ce n'était peut-être que mon jean qui était trempé, mais ce flambeur en 4X4, m'a intégralement trempé jusqu'aux os de cette flotte crade !

Alors, s'il vous plaît, vous messieurs, vous mesdames, qui êtes bien à l'abri dans vos voitures quand il pleut à ragasse, pensez un peu à nous, les piétons sous nos parapluies ... Baissez votre vitesse, rouler prudemment, écartez-vous un peu des trottoirs ... Merci !

29 avril 2008

Michel Galabru

Hier soir, aux Folies Bergère, Michel Galabru s'est vut remettre le Molière du meilleur comédien 2008 pour son rôle dans "Les Chaussettes - opus 124".

J'en suis fort contente pour lui. Je trouve que c'est l'un des plus grands comédiens de notre époque. Il mériterait même une récompense pour l'ensemble de sa carrière ! N'ayant pas vu cette pièce, je ne pourrais pas en parler.

En revanche, pour tous ceux qui n'ont pas encore vu et dégusté "Le Pion", un film de Christian Gion sortit en 1978, sur une musique de Jean-Michel Caradec, je vous le conseille plus que très fortement. Ce film est une perle de rire et de fou-rires. Ce film est une merveille du début à la fin. C'est MON film culte !

Storyboard :

Pion dans le lycée d’une petite ville de province, Bertrand Barabi (Henri Guybet) écrit secrètement un roman et cette œuvre lui vaudra le prix Goncourt. Mais en attendant, sa légèreté et son anticonformisme lui attire les foudres des uns et des autres, dont le censeur-directeur (Claude Piéplu). Celui-ci va donc faire intervenir l’inspecteur d’académie (Michel Galabru) pour une visite surprise dans l’étude très chahutée de Barabi ...

Mais ..., le complot est surpris par les deux maîtres du chahut organisé, les deux pires (et aussi les plus attachants) garnements de la classe. Benech et Laugier (Mathieu Vermeersch et Stéphane Liévain) organisent la parade. On ne touche pas à Notre Pion, non mais …

http://www.dailymotion.com/relevance/search/galabru%2Ble%...

28 avril 2008

Jusqu'au bout du sordide

Une fois encore, l'Autriche se réveille sous le choc. Moins de deux ans après l'affaire Natasha Kampusch, une nouvelle histoire sordide de séquestration vient nous ébranler.

Celle-ci est est encore plus sordide et plus horrible à mon goût. Le comble de l'horreur.

Un père, oui, un père a séquestré sa propre fille dans une cave exigüe, à l'abri de la lumière et des regards pendant 24 longues, très longues années, en la faisant passer pour disparue volontaire.

Mais l'horreur ne s'arrête pas là ! Pendant toutes ces années, cet homme, ce monstre, la violait régulièrement, et il alla jusqu'à lui faire 7 enfants !! 1 est mort, paix à son âme ; 3 ont été adopté par le "père" incestueux sous couvert d'un outrageux mensonge à toute la société ; et les 3 autres (18, 20 et 5 ans) sont restés cachés, prisonniers, privés de toute lumière naturelle depuis leur naissance, privés de toute éducation, privés du plus simple des droits, celui de vivre normalement ...

Comment un père peut-il se comporter ainsi ? Je suis écoeurée, j'en ai la nausée. Un père est sensé donner de l'amour à ses  enfants, les pousser vers le meilleur d'eux-mêmes ... Comment un père peux-il infliger une telle torture à sa propre fille et à des enfants nés de ce crime de l'inceste ? Ce n'est pas un père, ce n'est pas possible, c'est un monstre.

Puisse-t-il trouver un jour la rédemption et le pardon, que Dieu lui pardonne ses crimes, car moi je ne le pourrais pas, et j'imagine que sa fille non plus plus ne le pourra pas.

Papa, je t'aime pour ce que tu es, pour ce que tu as fait de ta vie, pour ce que tu m'as offert de vivre, et permis de devenir.

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27 avril 2008

Nuit Orange du 26/04/08

Hier soir a eu lieu au Café Mode (Lyon Vè), la première Nuit Orange des Jeunes Démocrates du Rhône, sous le nouveau bureau (élu le 29/03/08). Moins d'un mois après l'élection, nous pouvons nous féliciter d'avoir organiser cette soirée.

Il y a eu deux moments majeurs : La lecture théâtrale de textes contemporains par plusieurs adhérents et le quizz de culture Générale.

Raccourci de moitié par rapport à ceux de nos précédentes soirées, ce quizz a vu ses résultats serrés et sujet à contestations. Je suis donc d'avis de remettre le nombre de questions à 30, pour permettre des fourchettes de résultats plus larges, et donc eviter oute contestations.

Cette soirée a été festive, très conviviale, et bien arrosée ... Elle s'est poursuivie jusque tard dans la nuit, et jusqu'au petit jour pour les plus fêtards dont je faisais partie.

La prochaine soirée orange sera vraisemblablement un débat orange, et aura lieu fin mai, sauf contre-ordre le vendredi 30 mai.

Réservez d'ors et déjà votre date. Plus d'infos bientôt sur le site de la fédération : www.jeunesdemorates69.org

26 avril 2008

Du devoir de travailler ensemble

Au sein de l'UMP, du PS, et même au sein du Mouvement Démocrate (qui prône pourtant le travail transpartisan ...), certaines personnes pensent qu'elles ne peuvent et ne doivent travailler qu'uniquement avec des personnes de leur famille et que les personnes de cette famille qui n'adhéreraient pas complètement à leur interprétation des choses seraient à exclure du débat et de cette famille.

Je ne le crois pas, je ne le pense pas, je ne le veux pas.

Partant de cet affligeant constat, je me fait la reflexion suivante : Parce que nos engagements politiques ne seraient pas de la même couleur, nous ne pourrions pas nous parler et réfléchir ensemble avec courtoisie ?

Je ne le crois pas. Ce que je pense, c'est que l'on soit adhérant, militant ou élu, au nom d'un parti ou d'un autre, nous restons des hommes et des femmes debouts avec nos convictions et nos espérances. Et en cela, quelles que soient nos couleurs (PS, UMP, Mouvement Démocrate ou autre), nous devons nous respecter et travailler ensemble pour construire un quotidien plus agréable et plus facile pour TOUS.

Cet affrontement stérile d'un camp contre l'autre, m'insupporte ; cette manie perpetuelle de certains élus de défaire systhématiquement ce que d'autres ont fait avant eux parce que d'un autre parti, m'agace ; cette habitude du rejet systhématique des propositions du parti adverse, m'énèrve. Oui, j'en ai marre que l'on juge les choses et les gens en fonction de leur couleur. Et j'en ai marre aussi que l'on regarde et étudie les faits politiques au travers du prisme du bipartisme. Je voudrais que l'on ouvre les yeux et notre esprit pour regarder les faits pour ce qu'ils sont dans leurs ensemble, en ayant ôté les étiquettes.

Pour ma part, le plus important en politique, c'est QUI l'on est, et ce que l'on fait vraiment sur le terrain pour nos concitoyens.

Et même si certaines personnes pensent que c'est politiquement incorrect de dire et écrire ce qui va suivre, alors qu'elles sont d'accord pour le penser aussi, je me refuserait à la langue de bois et à l'hypocrisie. Je le pense, donc je le dirais. Devoir de franchise.

Ainsi, à titre personnel, je vote pour des idées et j'élis des hommes et des femmes. Je ne veux obéïr à aucun diktat d'un quelconque appareil politique, je ne voterais jamais de manière automatique. Je n'obeïs qu'à ma conscience de femme libre. Mon bulletin dans l'urne est celui qui donne une voix à une personne à qui je fais confiance pour porter quelques unes de mes valeurs, poser des actes en accord avec mes principes, et mettre en place ou poursuivre des projets que je juge aller dans le bon sens pour l'intérêt de la société d'aujourd'hui.

Djebel Amour - Frison Roche - 1978

Un livre magnifique, l'un des plus beaux que j'ai lu depuis des années, et que j'ai trouvé par hasard chez un bouquiniste des quais de Saône.

Paru chez Flammarion en 1978, chez J'ai Lu en 1983 ...

Contrairement à la plupart de tout ces autres romans, là Frison-Roche ne nous fait pas le récit de ses propres voyages dans ces montagnes où il fait froid ...

Dans ce roman il nous raconte une histoire vraie ... celle d'Aurélie Picard. Une histoire vraie et romanesque comme on en lit peu. Un destin extraordinaire, celui de la première femme Blanche et Blonde sur le chemins du Sahara.

En 1870, Aurélie, fille de gendarme, jeune couseuse de province (à Troyes en Champagne Ardenne), va devenir la dame de compagnie de l'épouse d'un ministre français déplacé à Bordeaux, puis tout quitter pour le désert saharien où elle décédera en 1933.

Elle va tout quitter pour l'amour réciproque et indefectible du chériff d'Ain Madhi. Elle deviendra la seule et unique femme de ce prince musulman et polygame. Elle sera LA Reine incontestée et incontestable de la zaouia d'Ain Madhi, dans ce monde si different du sien.

Elle deviendra l'une des leurs.

Elle deviendra Lalla Yamina, ... LA Tidjania.

Bonjour

Ca y est, après avoir pas mal tergiversé, me voilà enfin.

Je vais essayer, sans égotisme, de vous faire part de mes aventures, de mes reflexions, diverses et variées, sur la vie et le monde qui nous entoure aujourd'hui, de mes coups de coeurs (lectures, films, musiques, évenements, ...) et de mes coups de gueules (politique etc)

J'essayerai sans égotisme, d'avoir la critique constructive, de faire des propositions pleines de bon sens, et si je le peux, vous faire sourire.

Orangement vôtre,

Pauline.