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02 juin 2012

Les Mères-Espoir - auteur : B.G.

Vous les rencontrez un peu partout.

Au marché, dans le métro, chez le médecin…

Parfois, vous assistez aux crises de leurs enfants au parc ou au supermarché.

Vous les trouvez très patientes ou trop peu.

Quand vous les regardez de près, vous trouvez peut-être qu’elles sont particulièrement cernées, essoufflées.

À certains moments, vous vous faites la réflexion qu’elles ont le dos un peu courbé.

Pas toujours facile, d’être une maman.

Vous comprenez, la plupart du temps.

Malgré tout, il peut vous arriver de vous demander pourquoi elles s’absentent si souvent du travail ? Pourquoi elles ne font pas de bénévolat à l’école ? Pourquoi, il y a cette lueur dans leur regard qui semble parfois plongé vers un ailleurs, un invisible…

Si vous les connaissez un peu intimement, vous êtes peut-être parfois irrité de les entendre parler si souvent des mêmes sujets. De vous expliquer le pourquoi du comment et le peut-être au sujet du comportement de leur enfant.

Ces femmes, qui sont des parents comme vous, vous laissent un peu interrogatifs.

Pourquoi sont-elles si souvent fatiguées ?

Pourquoi vous semblent-elles si souvent désorganisées ?

Pourquoi sont-elles éventuellement en dépression, en processus de séparation ?

Qu’est-ce qui est si différent chez elles ?

Ce sont des mères presque comme les autres.

Des mères d’enfants différents.

Elles vous ressemblent beaucoup. Elles ont porté un enfant, souhaitant le plus beau des avenirs pour lui. Elles ont mangé des légumes frais, bu du lait, passé des échographies, évité l’alcool, lu des bouquins…

Elles ont mis leur bébé au monde et puis un jour, rapidement ou sur le tard, une petite alarme a sonné et il leur a fallu partir à la chasse au diagnostic.

C’est là qu’elles ont commencé à se différencier de vous.

Oh ! Tout comme vous, elles ont continué de faire de leur mieux, concoctant des purées, stimulant l’apprentissage de la marche et du langage. Craquant devant de belles bottines et achetant trop de peluches. Elles ont continué d’aimer leur enfant de toute leur âme, comme vous.

La différence, c’est qu’elles ont dû ouvrir la porte d’un monde parallèle et franchir le seuil que tous ne doivent pas franchir.

Elles ont découvert ce « ailleurs » vers lequel leur regard se tourne parfois et les rend « lunatiques ».

Depuis ce jour-là, elles vivent une expédition quotidienne, une aventure qu’aucun agent de voyage ne met en vitrine.

La vie avec un enfant différent. La vie d’une mère d’enfant différent.

Dyspraxie, dysphasie, Asperger, TED, dysgnosie, dysfonction non-verbale, trouble attentionnel, dysmnésie, paralysie… Les différences sont trop nombreuses pour êtres toutes énumérées…

Peut importe la différence, le handicap, le défi de l’enfant. Ces mères se sont vu un jour remettre la clef de ce monde parallèle avec un choix tout simple :

« Tu t’impliques à fond pour trouver les meilleurs outils pour ton enfant »
ou
« Tu ne t’impliques pas et tu lui fermes presque toutes les portes »

Alors elles ont pris la clef et elles ont foncé.

Que faire d’autre ?

Depuis, elles accumulent les kilomètres qui les mènent souvent dans des directions diamétralement opposées, vers des cliniques, des centres, des bureaux, des écoles.

Elles traînent une grosse sacoche, remplie de rapports, de prescriptions, de documentation, de jouets pour patienter, de craquelins, de monnaie pour les stationnements ou l’autobus.

Elles motivent des absences à l’école et au bureau, elles griffonnent dans des agendas et des calendriers, jonglant avec le temps pour tout entrer dans les cases qu’on leur offre. Souvent, elles mettent fin à leur carrière…

Elles attendent aussi. Beaucoup. Attendent qu’on inscrive leur enfant sur une liste d’attente. Attendent que le téléphone sonne pour annoncer qu’une place se libère. Attendent dans des salles d’attente, souvent beiges, parfois sommairement décorées pour faire « on aime les enfants ici ». Elles attendent des résultats de prises de sang, de tests psychologiques et physiques.

Elles attendent un diagnostic. Puis des pistes de solutions.

Elles racontent leur vie de long en large à divers intervenants. C’est à se demander si elles ne devraient pas tout enregistrer ou mettre en PowerPoint pour résumer les tenants et aboutissants qui motivent leurs démarches.

Elles posent des questions. Trop de questions. « Vous demanderez à la personne qui vous contactera pour poursuivre le dossier ».

Elles se font parfois dire que c’est trop compliqué à comprendre. Qu’elles doivent simplement suivre les indications et que ça ira.

Elles se sentent souvent coupables. « Mais non Madame, ce n’est pas de votre faute. Mais qu’avez-vous mangé déjà enceinte ? Vous sentiez-vous déprimée ? Avez-vous allaité ? »

Elles se font souvent dire qu’elles doivent travailler sur elles pour ainsi influencer positivement l’enfant, la famille, la société.

« Prenez soin de vous, Madame, c’est important. »

« Mais n’oubliez pas le rendez-vous du 18, les prises de sang du 20, l’évaluation en ergothérapie le 21. Faites les exercices tous les soirs à 18 : 00. Pensez à acheter le tableau de motivation. Fabriquez des pictogrammes. Téléphonez à l’école. Contactez votre médecin de famille – Quoi ? Vous n’avez pas de médecin de famille ? Inscrivez votre enfant à une activité parascolaire, c’est important. Travaillez son estime personnelle. Faites comprendre à votre ex que Junior a un handicap. Achetez des tomates bios… Restez calme, votre enfant est une éponge. »

« Les kleenex sont à votre gauche. On se voit le mois prochain. Prenez soin de vous ! »

Les mères d’enfants différents sont, par la force des choses, des mères différentes.

Elles pleurent plus souvent dans les stationnements. Elles analysent des détails de la journée à s’en étourdir comme ça ne se peut pas.

Elles parlent un langage méconnu. Peuplé de termes généralement utilisés par les psys, les docs et tous les autres diplômés en santé et en relation d’aide.

Elles tentent d’expliquer ces termes à leur conjoint, à leur famille. Fréquemment, elles se butent à un mur d’incompréhension.

« Yé pas malade, yé paresseux. », « Arrête de t’inquiéter, ça va passer tout seul avec le temps », « Tu le gâtes trop ! »

Les mères différentes ne veulent pas qu’on les plaigne.

Elles ne se voient pas comme des Mères Courage.

Pour faire preuve de courage, il faut avoir le choix de se défiler…

Une mère, ça ne veut pas, ça ne peut pas se défiler…

Appelez-les Mères Espoir…

****************
Auteur : B.G. (nom complet tût par pudeur...)

28 février 2012

Les 25 petits commandements du Bonheur


1)               Essaie toujours d'aider un ami dans le besoin

2)               Crois en toi

3)               Sois brave... même tu peux avoir peur parfois

4)               Donne beaucoup de baisers

5)               Ris souvent

6)               Ne te préoccupe pas tant de ton poids, ce n'est qu'un chiffre

7)               Essaie toujours de voir le verre à moitié plein

8)              Va à la rencontre des personnes, surtout si elles te paraissent différentes de toi

9)               Aime tes amis, peu importe qui ils sont

10)           Ne gaspille pas la nourriture

11)           Prends parfois des risques

12)           Travaille en équipe

13)           Plaisante avec tes amis

14)           Tombe amoureux...

15)           ...et dis souvent "je t'aime"

16)           Sois toujours prêt pour faire des surprises

17)           Aime quelqu'un de tout ton cœur

18)           Partage avec tes amis

19)           Fais attention où tu mets tes pieds

20)           Il y a toujours quelqu'un qui t'aime plus que tu ne le penses

21)           Vis pleinement

22)           Garde le contact avec tes bons amis

23)           Chaque soir... prie

24)           ....... et ferme les yeux

25)           Et souris au moins une fois par jour !

26 février 2012

L’Inconnu dans ta rue

Voyez combien Dieu est grand... Vous récoltez ce que vous semez.

Un homme leva la tête lentement et regarda. Cette dame visiblement était habituée aux choses raffinées de la vie. Son manteau était neuf. Elle semblait n'avoir jamais manqué un repas de sa vie. La première pensée de l'homme était qu'elle voulait probablement se moquer de lui, comme tant d'autres l'avaient fait. "Laissez-moi tranquille", lança-t-il... À son grand étonnement, elle resta là. Elle souriait de ses dents droites et éclatantes. "Vous avez faim ? Elle demanda. "Non", il répondit avec sarcasme. "Je viens de manger avec le président... Alors fichez le camp." La dame sourit encore plus. Soudainement l'homme sentit une douce main sous son bras. "Qu'est-ce que vous faites, madame?"   demanda l'homme fâché. "J'ai dit fichez moi la paix !!

Juste à ce moment-là un policier arriva. "Quelque chose ne va pas, madame" demanda-t-il… "Aucun problème ici Officier, la dame répondit. " J'essaie simplement d'aider cet homme à se relever. Voulez-vous m'aider ? Le policier se gratta la tête. "Ah ! C’est le vieux Jack. Il fait parti des meubles dans le coin depuis une couple d'années. Qu'est-ce que vous lui voulez ?" "Voyez-vous la cafeteria là ? Elle demanda. "Je vais aller lui chercher une bouchée et l'amener un peu au chaud". "Ça va pas non?, la dame" le sans-abri résistait. "J'veux pas aller là !" Il sentit à ce moment des mains fortes qui l'empoigna sous les bras pour le soulever. "Laissez-moi, officier.  J'ai rien fait..."

"C'est une bonne offre pour toi, Jack" lui dit le policier. "Ne manque pas ça." Finalement, non pas sans difficulté, la femme et le policier aidèrent Jack à se rendre à la cafeteria et l'installèrent à une table en retrait dans un coin. C'était au milieu de la matinée, après l'affluence du petit-déjeuner, la plupart était partie et les prochains pour le dîner n'arrivaient pas encore. "Le gérant traversa et se tint près de la table. "Qu'est-ce qui se passe ici, officier?" demanda t-il. "Qu'est-ce que c'est tout ça, est-ce que cet homme a des problèmes ?" "Cette dame a amené cet homme pour le nourrir", répondit le policier. "Ah pas ici !" répondit le gérant fâché. "Ce type de gens nuit aux affaires". Le vieux Jack sourit avec un sourire édenté. "Voyez, madame. Je vous l'avais dit. Maintenant laissez moi partir. Je vous l'avais dit que je ne voulais pas venir ici."

La dame se tourna vers le gérant de la cafeteria, lui dit en souriant : "Monsieur, vous connaissez Eddy et Associés, l'institution bancaire sur la rue ?" "Oh bien sûr que je la connais", le gérant répondit impatiemment. "Ils viennent ici pour leurs réunions hebdomadaires dans une de mes salles de banquet." "Et vous faites de bons revenus en fournissant la nourriture à ces réunions hebdomadaires?" reprit la dame. "Mais de quoi vous vous mêlez ?" "Moi, monsieur, je suis Pénélope Eddy, présidente et PDG de la compagnie."....... "La dame sourit encore... "J'ai bien pensé que cela changerait les choses". Elle jeta un coup d'œil au policier qui était occupé à étouffer un rire.

"Aimeriez-vous vous joindre à nous avec une tasse de café et un repas, Officier ?" "Non merci, madame" répliqua le policier. "Je suis en service." "Peut-être alors, voulez-vous emporter un café ?" "Oui, madame. Ce serait vraiment bien." Le gérant de la cafeteria se retourna. "Je vous apporte votre café tout de suite, Officier." Le flic le regarda s'en aller. "Vous l'avez remis à sa place," dit-il. "Ce n'était pas mon intention... Croyez-le ou pas, j'ai mes raisons pour tout cela.

"Elle s'assit à la table en face de son invité étonné. Elle le fixa intensément. "Jack, vous souvenez-vous de moi ?" Le vieux Jack furetant son visage de ses vieux yeux encrassés. "Je pense que oui, vous m'avez l'air familier." "J'ai vieilli un peu peut-être," dit-elle." "J'en ai probablement profité depuis mon jeune âge; quand vous travailliez ici, je suis entrée par cette porte et j'avais froid et faim." "Vous, madame ?" le policier demanda. Il ne pouvait croire qu'une dame aussi magnifique ait pu avoir faim. "Je venais de terminer le collège," la dame commença. "Je suis venue en ville pour chercher un emploi, mais je ne trouvais rien. Finalement, je n'avais plus un sou et je me suis fais éjectée de mon appartement... J'ai erré dans les rues pendant des jours. C'était février et j'avais froid et je mourrais presque de faim. J'ai vu cet endroit et pris une chance au cas où je pourrais manger." Jack s'éclaira d'un sourire. "Ah là je me souviens, dit-il. "Je servais derrière le comptoir. Tu es venue et a demandé si tu pouvais travailler pour une bouchée. Et je t'ai dit que cela allait à l'encontre du règlement de la compagnie." "Je sais," continua la femme. "À ce moment-là, tu m'as fait le plus gros sandwich au rôti de bœuf que j'aie jamais vu, et tu m'as donné une tasse de café, et tu m'as dit d'aller à la table du coin et d'en profiter. J'avais peur que cela vous cause des ennuis... Et puis, je vous ai vu regarder alentour et je vous ai vu déposer dans la caisse le montant de ma nourriture, j'ai su alors que tout irait pour le mieux." "Puis, vous avez monté votre propre entreprise ?" dit le vieux Jack. "J'ai obtenu un emploi l'après-midi même. J'ai monté l'échelon. Par la suite j'ai créé ma propre entreprise, et avec l'aide de Dieu, cela a prospéré..." Elle ouvrit son sac à main et en sorti une carte de visite.

"Quand vous aurez fini ici, je veux que vous alliez voir un M. Lyons. Il est le directeur des ressources humaines de ma compagnie. Je vais aller lui parler et je suis certaine qu'il vous trouvera quelque chose à faire au bureau." Elle sourit. "Je pense qu'il aurait même les fonds à vous prêter pour que vous puissiez vous acheter des vêtements et vous trouvez un endroit où loger jusqu'à ce que vous puissiez vous débrouiller. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, ma porte est toujours ouverte pour vous."

Le vieil homme avait les yeux remplis de larmes.  "Comment je peux vous remercier ?" demanda t-il. "Ne me remerciez pas," dit la femme. "La gloire va à Dieu. Il m'a conduit à vous." À l'extérieur de la cafeteria, l'officier et la femme s'arrêtèrent à l'entrée avant de partir chacun de leurs côtés. "Merci pour toute votre aide, Officier," dit-elle. "Au contraire, Mme Eddy," dit-il.  "Merci. J'ai vu un miracle aujourd'hui, quelque chose que je n'oublierai jamais. Et... Et merci pour le café."

Excellente année.

Et que Dieu vous bénisse toujours et rappelez-vous que lorsque vous tendez la main, on ne sait jamais de quelle façon cela reviendra. Dieu est si Grand qu'il peut recouvrir tout le Monde avec son Amour et Il peut être si petit qu'il peut se nicher dans votre cœur. Lorsque Dieu vous amène au bord du précipice, faites Lui pleinement confiance et lâcher prise. Seulement 1 ou 2 choses se produiront, ou qu'Il vous attrapera si vous tombez, ou Il vous enseignera comment vous envolez !

La puissance d'une phrase ! Dieu va remuer les choses cette année et elles iront en votre faveur. Si vous y croyez, que vos vœux ont de la valeur et que Dieu est ce qu'Il dit qu'Il est : alors, partagez. Si non, oubliez.... Dieu ferme les portes qu'aucun humain ne peut ouvrir et Dieu ouvre les portes qu'aucun humain ne peut fermer. Si tu désires que Dieu t'ouvre des portes...

Bénissez quelqu'un aujourd'hui en lui partageant ceci.

Que vos journées soient bénies et souvenez vous que vous êtes les enfants bénis de Dieu... Soyez toujours heureux et faites confiance à Dieu, Il fait infiniment plus que ce que nous croyons !!!


08 février 2011

Les 4 Bougies

Quatre bougies brûlaient lentement.

L'ambiance était tellement silencieuse qu'on pouvait entendre leur conversation.

La première dit : « Je suis la Paix ».
« Cependant personne n'arrive à me tenir allumée. Je crois que je vais m'éteindre ! » Sa flamme diminua rapidement et, peu à peu, elle s'éteignit complètement.

La seconde dit : « Je suis la Foi ».
« Dorénavant je ne suis plus indispensable, cela n'a pas de sens que je reste allumée plus longtemps ». Quand elle eut fini de parler, une brise souffla sur elle et l'éteignit.

Très triste, la troisième bougie se manifesta à son tour, « Je suis l'Amour ».
« Je n'ai pas de force pour rester allumée ; les personnes me laissent de côté et ne comprennent pas mon importance. Elles oublient même d'aimer celles et ceux qui sont proches d'eux ! ». Et sans plus attendre, elle s'éteignit.

Soudain ... Un enfant entra et regarda les trois bougies éteintes.
« Pourquoi êtes-vous éteintes ? cria-t-il bouleversé. Vous deviez rester allumées jusqu'à la fin ! »
Et disant cela l'enfant se mit à pleurer. Son coeur battait au rythme de son désespoir.

Alors la quatrième bougie parla : « N'aie pas peur, tant que j'ai ma flamme, nous pourrons allumer les autres bougies ». « Je suis l'Espérance ! »

Avec des yeux brillants, l'enfant prit la bougie de l'espérance... Il se remit à avoir confiance. Il crut à nouveau en son avenir et ralluma les autres bougies...

>> Que la flamme de l'espérance ne s'éteigne jamais en vos coeurs.
>> Que chacun de vous sache être l'outil pour maintenir l'Espérance, la Foi, la Paix et l'Amour...

22 février 2010

Leçon de vie

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Un jour, un père d'une famille très riche partit avec son fils dans la campagne, pour lui faire voir comment les gens pauvres vivaient et ainsi lui donner une leçon de vie. Ils ont passé quelques jours chez une famille très pauvre.


A leur retour son père lui demanda :

- As-tu aimé ton voyage ?

- Oui papa.

- As-tu remarqué comment vivaient les pauvres gens ?

- Oui papa.

- Alors dis-moi, qu'as tu appris de ce voyage ?


Son fils dit alors :

- J'ai vu que nous avions un chien, eux, ils en ont 4.

- Nous avons une piscine au milieu du jardin, eux, ils ont un lac sans fin.

- Nous avons des lampes importées de Chine pour le patio pour nous éclairer la nuit, eux, ils ont les étoiles.

- Nous avons un petit lotissement de terre avec un tout petit jardin, eux, ils ont des champs à perte de vue.

- Nous avons des domestiques pour nous servir, eux, ils s'entraident.

- Nous achetons notre nourriture, eux, ils la font pousser.

- Nous avons un mur tout autour du terrain pour nous protéger, eux, ils ont des amis pour les protéger ...


Le père était sans voix.

Et son fils ajouta :

« Merci papa de me montrer combien nous sommes pauvres !! »


Vous voyez, tout est dans la perspective !

-> Appréciez tout ce que vous avez et encore plus vos amis ...


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17 novembre 2009

Et si nous osions ?

SIGNS


DARE

15 novembre 2009

Lâcher prise pour apprendre à être heureux

Lâcher prise... pour apprendre à être heureux

Rosette Polletti

12027829_1dac8be11216474955_m.jpgLâcher prise, c’est renoncer à tout contrôler, c’est vouloir le bien de l’autre ; c’est renoncer à vouloir prouver quoi que ce soit ; c’est accepter que l’autre est l’autre et que moi-même, je suis qui je suis et non pas qui j’avais rêvé d’être.

 

Lâcher prise, c’est faire confiance, c’est signer un chèque en blanc sur l’avenir, sur cette vie et sur ce qui lui fait suite.

Lâcher prise, c’est aussi cesser de faire le procès de la vie qui ne nous donne pas tout ce que nous attendions d'elle.9461-lacher-prise.jpg

En fait, lâcher prise, c’est commencer à être vraiment heureux, car le bonheur, c’est comme un sillage, il suit fidèlement celui qui ne le poursuit pas. Si l’on s’arrête pour le contempler, pour le saisir, il s’évanouit aussitôt.

A partir du moment où l’on peut lâcher prise, où l’on ne désire plus être heureux à tout prix, on découvre que le bonheur, c’est cette capacité de garder les mains ouvertes plutôt qu’agrippées sur ce que nous croyons nous être indispensable.

 

 

09 novembre 2009

Apprivoise-moi

Le Petit Prince - Antoine de Saint-Exupéry

Chapitre XXI

  

 

C’est alors qu’apparut le renard :

·                Bonjour, dit le renard.

·                Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se tourna mais ne vit rien.

·                Je suis là, dit la voix, sous le pommier...

·                Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien joli…Petit_Prince.jpg

·                Je suis un renard, dit le renard.

·                Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste…

·                Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.

·                Ah ! pardon, fit le petit prince.

 

 

Mais après réflexion, il ajouta :

·                Qu’est-ce que signifie « apprivoiser » ?

·                Tu n’es pas d’ici, dit le renard, que cherches-tu ?

·                Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu’est-ce que signifie « apprivoiser » ?

·                Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C’est bien gênant ! Ils élèvent aussi des poules. C’est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?

·                Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu’est-ce que signifie « apprivoiser » ?

·                C’est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie « Créer des liens… »

·                Créer des liens ?

·                Bien sûr, dit le renard. Tu n’es encore pour moi qu’un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n’ai pas besoin de toi. Et tu n’a pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu’un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m’apprivoises, nous aurons besoin l’un de l’autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde…

·                Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur… je crois qu’elle m’a apprivoisé…

·                C’est possible, dit le renard. On voit sur la Terre toutes sortes de choses…

·                Oh ! ce n’est pas sur la Terre, dit le petit prince.

 

 

Le renard parut très intrigué :

·                Sur une autre planète ?

·                Oui.350px-Planete.jpg

·                Il y a des chasseurs sur cette planète-là ?

·                Non.

·                Ça, c’est intéressant ! Et des poules ?

·                Non.

·                Rien n’est parfait, soupira le renard.

 

 

Mais le renard revint à son idée :

·                Ma vie est monotone. Je chasse les poules, les hommes me chassent. Toutes les poules se ressemblent, et tous les hommes se ressemblent. Je m’ennuie donc un peu. Mais si tu m’apprivoises, ma vie sera comme ensoleillée. Je connaîtrai un bruit de pas qui sera différent de tous les autres. Les autres pas me font rentrer sous terre. Le tien m’appellera hors du terrier, comme une musique. Et puis regarde ! Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c’est triste ! Mais tu a des cheveux couleur d’or. Alors ce sera merveilleux quand tu m’auras apprivoisé ! Le blé, qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j’aimerai le bruit du vent dans le blé…

 

 

Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince :

·                S’il te plaît… apprivoise-moi ! dit-il.

·                Je veux bien, répondit le petit prince, mais je n’ai pas beaucoup de temps. J’ai des amis à découvrir et beaucoup de choses à connaître.

·                On ne connaît que les choses que l’on apprivoise, dit le renard. Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. Si tu veux un ami, apprivoise-moi !

·                Que faut-il faire ? dit le petit prince.

·                Il faut être très patient, répondit le renard. Tu t’assoiras d’abord un peu loin de moi, comme ça, dans l’herbe. Je te regarderai du coin de l’œil et tu ne diras rien. Le langage est source de malentendus. Mais, chaque jour, tu pourras t’asseoir un peu plus près…

 

 

Le lendemain revint le petit prince.

·                Il eût mieux valu revenir à la même heure, dit le renard. Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l’après-midi, dès trois heures je commencerai d’être heureux. Plus l’heure avancera, plus je me sentirai heureux. À quatre heures, déjà, je m’agiterai et m’inquiéterai ; je découvrirai le prix du bonheur ! Mais si tu viens n’importe quand, je ne saurai jamais à quelle heure m’habiller le cœur… il faut des rites.

·                Qu’est-ce qu’un rite ? dit le petit prince.

·                C’est aussi quelque chose de trop oublié, dit le renard. C’est ce qui fait qu’un jour est différent des autres jours, une heure, des autres heures. Il y a un rite, par exemple, chez mes chasseurs. Ils dansent le jeudi avec les filles du village. Alors le jeudi est jour merveilleux ! Je vais me promener jusqu’à la vigne. Si les chasseurs dansaient n’importe quand, les jours se ressembleraient tous, et je n’aurais point de vacances.

 

 

Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l’heure du départ fut proche :

·                Ah ! dit le renard… je pleurerai.

·                C’est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t’apprivoise…

·                Bien sûr, dit le renard.

·                Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince.

·                Bien sûr, dit le renard.

·                Alors tu n’y gagnes rien !Depart.jpg

·                J’y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé.

 

 

Puis il ajouta :

·                Va revoir les roses. Tu comprendras que la tienne est unique au monde. Tu reviendras me dire adieu, et je te ferai cadeau d’un secret.

 

 

Le petit prince s’en fut revoir les roses.

·                Vous n’êtes pas du tout semblables à ma rose, vous n’êtes rien encore, leur dit-il. Personne ne vous a apprivoisées et vous n’avez apprivoisé personne. Vous êtes comme était mon renard. Ce n’était qu’un renard semblable à cent mille autres. Mais j’en ai fait mon ami, et il est maintenant unique au monde.

 

 

Et les roses étaient bien gênées.

·                Vous êtes belles mais vous êtes vides, leur dit-il encore. On ne peut pas mourir pour vous. Bien sûr, ma rose à moi, un passant ordinaire croirait qu’elle vous ressemble. Mais à elle seule elle est plus importante que vous toutes, puisque c’est elle que j’ai arrosée. Puisque c’est elle que j’ai mise sous globe, Puisque c’est elle que j’ai abritée par le paravent. Puisque c’est elle dont j’ai tué les chenilles (sauf les deux ou trois pour les papillons). Puisque c’est elle que j’ai écoutée se plaindre, ou se vanter, ou même quelquefois se taire. Puisque c’est ma rose.

 

 

Et il revint vers le renard :

·                Adieu, dit-il…

·                Adieu, dit le renard. Voici mon secret. Il est très simple : on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux.

·                L’essentiel est invisible pour les yeux, répéta le petit prince, afin de se souvenir.

·                C’est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante.

·                C’est le temps que j’ai perdu pour ma rose… fit le petit prince, afin de se souvenir.

·                Les hommes ont oublié cette vérité, dit le renard. Mais tu ne dois pas l’oublier. Tu deviens responsable pour toujours de ce que tu as apprivoisé. Tu es responsable de ta rose…

·                Je suis responsable de ma rose… répéta le petit prince, afin de se souvenir.

 

 

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10 janvier 2009

Poème du Bonheur

POEME DU BONHEUR

 

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant, et ensuite, après en avoir eu un autre ...

Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront. On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.

On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possédera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite ...

La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent. Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce ? La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer. Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant  qu'il est encore temps.

Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer, ' La Vraie Vie! 'Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une  dette à payer. Et alors la vie allait commencer !!!!

Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma  vie. Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène  au bonheur. Le bonheur est le chemin.

Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore : quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps et, que l'on se rappelle que le temps n'attend pas. Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.

LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION ! Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux. Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie.

La source de ce poème est inconnue, il apporte de la chance à qui le lit et le transmet.

Ne le garde pas … Partage-le …

Donne-le simplement à tes amis et à ceux à qui tu souhaites de la chance.

 

10 juin 2008

Meilleur Ami !

C'est l'histoire de deux amis qui marchaient dans le désert.

A un moment, ils se disputèrent et l'un deux donna une giffle à l'autre.

Ce dernier, endolori mais sans rien dire, écrivit dans le sable : "Aujourd'hui, mon meilleur ami m'a donné une giffle".

Ils continuèrent de marcher puis trouvèrent un oasis, dans lequel ils décidèrent de se baigner. Mais celui qui avait été gifflé manqua de se noyer, et son ami le sauva. Quand il se fut repris, il écrivit sur une grosse pierre : "Aujourd'hui, mon meilleur ami m'a sauvé la vie".

Alors, celui qui avait donné la giffle et sauvé son ami, lui demanda : "Quand je t'ai blessé, tu as écrit sur le sable. Et maintenant, tu graves la pierre. Pourquoi ?

L'ami qui avait été sauvé lui répondit alors : "Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon sauront l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne pourra l'effacer".

Apprenons à écrire nos blessures dans le sable et à graver nos joies dans la pierre.

26 mai 2008

Je lève mon verre

A l'Amitié avec un grand A, à l'Ami(e) que nous sommes pour les autres, aux Ami(e)s qui sont les nôtres ...

Nous sommes tous l'ami(e) de quelqu'un ou de quelqu'une, ... SI SI TOUS ... Vous ne me croyez pas ? Je vous propose de vous poser 2 minutes, de regarder autour de vous, et de vous poser la question. Au fond, qu'est-ce-que c'est un ami ?

Un ami quand il vient chez toi, ne vient jamais les mains vides, si une soirée se prépare, il te propose de t'aider avant pour faire les courses ou pour cuisiner, pendant et après pour faire le ménage et ranger.

Un ami s'inquiète pour toi, très souvent et pour rien, il a les épaules trempées de tes larmes et les oreilles pleines de tes confidences, belles ou tristes.

Un ami ne t'en voudra pas si tu l'appelles tard, très tard, pour lui demander de l'aide ou un conseil.

Un ami te rappellera souvent de ne pas hésiter à l'appeller, s'il y a quoi que ce soit, ou juste pour le plaisir.

Un ami ne te tiendra pas rigueur de ne pas l'appeler plus souvent.

Un ami à qui tu pardonnes ses faiblesses, aura plaisir à être avec toi, parce que tu ne le juges pas sur des détails.

Un ami, s'il passe devant chez toi, même en coup de vent, t'enverra un petit coucou, ou passera te faire un bisou chez toi juste 5 minutes, juste pour te dire qu'il pense à toi. 

Un ami te demandera des nouvelles de ton histoire d'amour, d'une rencontre, de la santé de ton coeur, te taquinera pour en savoir plus et s'assurer que tout va bien.

Un ami t'appellera (ou t'enverra un texto, ou un message msn) le premier, pour s'excuser, s'il a peur de t'avoir blessé, à cause d'une dispute ou d'un mot plus haut que l'autre.

Un ami viendra vers toi si tu lui demande un coup de mains.

Un ami annulera sans hésiter un déjeuner avec des amis qu'il voit souvent, juste pour le plaisir de partager un moment, quelques jours, avec toi, qu'il n'a pas vu depuis 6 mois et qu'il ne reverra pas avant 6 mois.

Un ami te consacrera un petit diner, même court, si vous ne vous voyez pas souvent par la force des choses, juste pour le plaisir de te voir.

Un ami te tiendra informé de quelque chose qui pourrait te plaire, même s'il ne partage pas ton goût, juste parce qu'il sait que toi, ça te fera plaisir de le savoir.

Un ami ne comptera pas le temps passer quand vous êtes ensemble et rigolera de le constater 3h plus tard.

Un ami, trois ans après sera encore capable de se souvenir d'un truc que vous avez fait ou partagé ensemble, et te le remémorera, pour à nouveau en rire avec toi. ...

Alors vous voyez ! Qui n'a jamais vécut l'une ou l'autre des situations ci-dessus ?

Si vous vous vous reconnaisez dans au moins une de ces situations, alors vous admettrez sans mal, que oui, vous avez au moins un ami, et que oui, vous êtes l'ami d'au moins une personne. Ca vaut sacrément le coup de sourire !

On vous aime et on nous aime ! Puisque je vous le dis !

Merci à mes amis d'être tout simplement eux-mêmes, je les aime commes ils sont, avec leurs qualités et aussi pour leurs faiblesses.

On s'appelle et on se fait une bouffe ?

21 mai 2008

Petits bonheurs du soir

Ca y est ! Je l'est fini ! FI - NI !  Mais fini quoi, me direz-vous ? Ben le dernier livre de Marc Lévy, pardi ! Et j'ai A-DO-RE ! "Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dites" est vraiment bien écrit, du vrai Marc Lévy ! Si vous aimez, ne serait-ce qu'un tout petit peu cet auteur de génie, je vous le conseille fortement ... C'est l'un de ces meilleurs titres ... Du rire, des larmes, du suspense, de la magie, des secrets, des incitations à la reflexion sur notre propre vie ... et cette touche irremplaçable apportée par le génie de l'auteur. Je vous le promet, si vous le commencez, vous le terminerez ... et vous ferez en sorte que ce soit le plus vite possible ...

Extrait qui fait réfléchir : "On peut blâmer son enfance, accuser indéfiniment ses parents de tous les maux qui nous accablent, les rendrent coupables des épreuves de la vie, de nos faiblesses, de nos lâchetés, mais finalement on est responsable de sa propre existance, on devient qui l'on a décidé d'être. Et puis, il faut apprendre à relativiser nos drames, il y a toujours pire famille que la sienne."

Et puis ce soir, il y a aussi eu la victoire de Manchester en finale de la Ligue des Champions face à Chelsea. Je suis ravie. A mon humble avis, Manchester, c'est la classe britannique, un jeu stylé ... Et ce soir Manchester a gagné, et c'est génial.

Et enfin, je viens de réaliser que depuis une semaine, ma carte bleue est restée bien rangée à sa place, tout comme mon porte monnaie, au fond de mon sac ... Je n'ai pas dépensé un centime depuis près de 8 jours ... Encore quelque jours comme ça et je vais me transformer en "nouvelle économe" ! Mais c'est pas plus mal, en fait ! Allez, je continue, et j'essaie de faire des économies ...

Demain, un autre jour commence. Et sera ce jour avec d'autres petits bonheurs ...

06 mai 2008

Un web-lecteur pas comme les autres ...

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Je suis très heureuse d'accueillir ici un nouveau lecteur ... Un très bon ami qui me vient d'Asie, de Corée du Sud ...

Dong-Ho, soit le bienvenu ... Bonne lecture !

I'm really happy to welcome here, on this website, a new reader ... a great friend who's coming from Asia, from South-Korea ...

Dong-Ho, be welcomed here ... have a good read !

Love from France !

02 mai 2008

Petites résolutions ...

La semaine se finit, une autre va bientôt commencer ... Avant d'aller me coucher ça me trotte dans la tête ...

1) aller me faire couper les cheveux, pour de vrai et vraiment ...

2) arrêter de tout le temps dire "c'est pas grave", surtout si ça l'est ...

3) arrêter de manger n'importe quand et n'importe quoi le soir et la nuit ...

4) faire ma lessive, faire mon repassage ...

5) faire ma vaisselle, faire mon ménage ...

6) lire plus et mieux : des livres et des revues intelligentes notamment

7) réactiver mon réseau professionnel, envoyer des cv pour de vrai ...

8) jeter TOUT ce dont je ne me sers plus depuis des mois et des mois ...

9) me coucher plus tôt pour me lever plus tôt et profiter de ma journée pour de vrai ...

Je vous invite à pas me laisser tomber chez les ermites ... LOL

30 avril 2008

Ce n'était que mon jean

Je tiens à rappeller que au volant sur la route, le respect du code de la route est primordial et la prudence de mise.

A tout ceux qui ne le savent pas, en ville, on roule à 50 km/h maximum ... Et quand il pleut, la prudence est de baisser un peu cette vitesse ... Apparemment cette prudence, certains s'en moquent ...

Pour broder l'image, vous vous souvenez ce matin ? Il pleuvait à ragasse (oups c'est un terme champenois ça !) ou disons plutôt il tombait une pluie torrentielle ... Alors que, bien à l'abri sous mon grand parapluie, je retournais au bureau (je travaille dans une petite rue en parallèle à l'avenue de saxe dans le 3ème) après un passage par la banque, un cinglé en 4X4, est passé à une vitesse hallucinante, tout près du trottoir sur lequel je marchais, et bien sûr, il avait pris garde de rouler dans la plus énorme flaque du caniveau ... Je vous laisse deviner la suite ...

Alors bien sûr, ce n'était peut-être que mon jean qui était trempé, mais ce flambeur en 4X4, m'a intégralement trempé jusqu'aux os de cette flotte crade !

Alors, s'il vous plaît, vous messieurs, vous mesdames, qui êtes bien à l'abri dans vos voitures quand il pleut à ragasse, pensez un peu à nous, les piétons sous nos parapluies ... Baissez votre vitesse, rouler prudemment, écartez-vous un peu des trottoirs ... Merci !