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22 novembre 2013

Avis de publication...


Vous ai-je déjà parlé de cette Bretagne que j'aime, de Pléneuf-Val-André ?

Ça ne saurait tarder... ;-)

 

Préparez votre sac à dos...

Je vous emmène en Bretagne !

 

A demain !!!!!

 

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14 mai 2013

De Valérie à François, histoire de Fisc

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Je confirme que le raisonnement est juridiquement et fiscalement exact !

Me François Tripet, Cabinet TRIPET

Avocats à la Cour d'Appel de PARIS

88 Avenue Kléber - 75116 PARIS

T : 00.33.1.56.90.12.34 - F : 00.33.1.56.90.12.35

 

Résumé de Médiapart :


·                Soit on considère que Mme Trierweiler n'est ni pacsée ni mariée, et à ce moment-là il y a détournement de fonds publics pour son usage personnel (logement, nourriture, entretien, déplacements, six experts à l'Elysée chargés de sa communication...) ;


·                Soit on considère qu'il y a concubinage notoire et à ce moment-là il y a fausse déclaration de patrimoine (largement au-dessus des sommes déclarées et assujetti à l'ISF), ce qui annule l'élection et rend M. Hollande inéligible.

 

Plainte a été déposée, elle suit son cours.

Et Médiapart conclut:

« On peut compter sur la presse et, plus largement, sur l’establishment pour étouffer tout ceci et n’en faire qu’un petit vaudeville. C’est pourquoi relayer cette information et ses implications est indispensable : après tout, c’est notre président lui-même qui réclame avec son petit air embêté des mesures fortes pour moraliser la vie politique, que diable ! »


08 mai 2013

De quel Droit ? Lettre à François Hollande

Lettre à François Hollande, Président Normal de la République.

(Mention Corrective du 19/05/13 :

Selon certaines sources, cette lettre est attribuée à Philippe Bouvard, mais on me dit également que cette lettre aurait en réalité été écrite pas une personne qui se nomme Carole Farjala. Soit... Après recherche, et confrontation de diverses sources, la vérité ne m'apparait pas clairement. Mais dans le fond, est-ce vraiment le plus plus important ? Le plus important n'est-il pas quand même le sens de ce texte ? Texte qui est on ne peut plus vrai et dont le sens même est la seule vérité qui soit importante de relever...)

 

Monsieur Hollande, l’élection démocratique a fait de vous un président.

 

Elle vous a donné des droits, certes, mais pas TOUS les droits.

Elle vous a surtout donné des devoirs : garantir et défendre les valeurs fondamentales de notre nation.

En aucun cas, elle fait de vous un dictateur, menteur et manipulateur de surcroît.

 

Alors, de quel droit ?

 

De quel droit faites-vous disparaître les couleurs de notre drapeau du site de l’Élysée ?

L’Élysée ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Il appartient aux Français qui vous l’ont prêté pour la durée de votre mandat.

Rendez-nous nos couleurs !

 

De quel droit faites-vous disparaître les archives de l’Élysée ?

La mémoire de la France ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Elle appartient aux Français qui vous l’ont confiée pour la durée de votre mandat.

Faire croire que l’Histoire de France commence le 6 Mai 2012 et qu’avant, c’était le néant est une trahison de haut niveau.

Rendez-nous notre Histoire !

 

De quel droit détournez-vous notre argent pour promouvoir sur le site de l’Élysée une personne dont vous avez scellé vous-même le sort et le statut, c’est-à-dire « RIEN DU TOUT, et d’affecter à ce « fantôme de la République » un service et des employés à nos frais ?

Le budget de l’Élysée ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Il vous a été concédé par les Français pour régler les dépenses afférentes à vos fonctions pour la durée de votre mandat.

Rendez-nous notre argent !

 

De quel droit osez-vous influencer la Justice en interférant dans une affaire personnelle, vous qui promettiez une « République Irréprochable », (engagement 53 : je garantirai l’indépendance de la Justice).

La Justice ne vous appartient pas, Monsieur Hollande.

Elle appartient aux Français qui ne vous permettront pas de la bafouer.

Rendez-nous notre Justice !

 

De quel droit abusez-vous des pouvoirs qui vous sont conférés en plaçant vos amis à la tête de toutes les institutions, en recevant en cachette le chef du PS, en faisant de la République l’antichambre du Parti Socialiste ? (engagement 48 : j’augmenterai les pouvoirs du Parlement, notamment sur les nominations aux plus hauts postes de l’État afin de les rendre irréprochables) et (engagement 51 : la désignation des responsables des chaînes publiques de télévision et de radio dépendra d’une autorité indépendante et non plus du chef de l’État).

Rendez-nous notre indépendance, MENTEUR !

 

De quel droit privilégiez-vous une communauté religieuse et ignorez ostentatoirement les autres, vous qui prônez la laïcité (engagement 46 : je proposerai d’inscrire la laïcité dans la Constitution). Vous qui prétendez être le Président de tous les Français (Je veux rassembler toute la France). La religion ne vous appartient pas, Monsieur Hollande. Elle appartient aux Français qui ne vous permettront pas de l’instrumentaliser à des fins électorales.

Honorez nos fêtes chrétiennes !

 

De quel droit un de vos ministres impose-t-il aux établissements privés le principe de neutralité en empêchant les débats sur le mariage homosexuel alors qu’une autre en assure la promotion dans les écoles, aux côtés d’un membre de l’Inter-LGBT ?

Rendez-nous nos écoles, Monsieur Hollande !

 

De quel droit supprimez-vous du Code Civil, du Code de la Famille et d’une douzaine d’autres Codes des termes qui sont le fondement même de notre société ?

De quel droit détruisez-vous les valeurs de la famille ? Libre à vous et Ségolène de demander à vos enfants de vous appeler parent 1 et 2, de bafouer les valeurs de votre propre famille.

L’héritage de notre modèle de société ne vous appartient pas, PARENT Hollande.

Il appartient aux Français qui ne sont pas dupes de tous les mensonges proférés publiquement par la double condamnée à qui vous avez confié la Justice de notre pays.

Rendez-nous nos Papas et nos Mamans !

Rendez-nous notre famille !

 

« Cela fait des semaines que vous voulez faire croire aux Français que les mots de Père et de Mère vont disparaître du Code Civil, mais ces mots demeurent dans le Titre 7 du Code Civil relatif à la filiation et dans le chapitre 8 » avait répliqué la ministre de la Justice Christiane Taubira. «Mais il serait bien misérable de notre part d’ouvrir le mariage sans en tirer les conséquences dans le Code Civil. Nous ne toucherons pas à ces mots quand cela ne sera pas nécessaire », avait-elle assuré.

 

De quel droit recevez-vous une association représentant une minorité au premier claquement de doigts et menaces, et refusez cette rencontre aux élus de notre République ?

Les élus ne vous appartiennent pas, Monsieur Hollande.

Ils appartiennent aux Français qu’ils représentent.

Respectez nos parlementaires !

 

De quel droit vos ministres, surtout le 1er d’entre eux, insultent-ils les chefs d’entreprises qui réussissent, les Français qui quittent le pays par votre faute, avec à leur actif des dizaines de créations d’emploi, des années de loyauté et une renommée internationale ?

Qu’avez-vous à votre actif, Monsieur Hollande, sinon un poste en or à la Cour des Comptes pour un rendement nul (c’est vous qui l’avouez), un département des plus endettés, un parti que vous avez réussi à anéantir, une fausse déclaration de patrimoine et aucune expérience du pouvoir ?

Rendez-nous la valeur du travail !

 

De quel droit mettez-vous en danger l’économie de notre pays en refusant d’écouter tous les indicateurs de votre mauvaise gestion ? (rapport cinglant de la Cour des Comptes, rapport Gallois, mises en garde de la Commission Européenne et j’en passe).

Quand tous, unanimement, réclament d’urgence une baisse drastique des dépenses publiques et la réduction du coût du travail, vous faites exactement le contraire ; vous dépensez comme un fou et matraquez les Français de taxes en plombant la compétitivité.

Rendez-nous notre économie !

 

De quel droit profitez-vous de notre armée pour redorer votre image désastreuse?

De quel droit insultez-vous les Français en déclarant au Mali que c’était le plus beau moment de votre vie politique ?

De quel droit Faites-vous le paon lorsque le vice-président des USA honore nos soldats ?

C’est un scandale, Monsieur Hollande ! Honte à vous !

Les Français ne sont pas derrière votre petite et mesquine personne.

Ils sont derrière leur armée, et soutiennent leurs soldats lorsque le pays est en guerre.

Il leur appartiendra de vous demander des comptes lorsque nos enfants qui se battent pour la liberté seront hors de danger, pas avant.

Rendez-nous notre armée !

 

De quel droit voulez-vous accorder un droit de vote aux étrangers, sans exiger une réciprocité de la part des autres pays ?

Le droit de vote est un acte citoyen, Monsieur Hollande.

Il ne vous appartient pas.

Les étrangers travaillant dans notre pays souhaitent l’exercer ?

Que n’ont-ils demandé la citoyenneté française ?

Rendez-nous notre identité nationale !

 

De quel droit votre Gouvernement refuse-t-il la liberté de vote aux députés socialistes ?

De quel droit empêche-t-il la volonté du peuple de s’exprimer ?

De quel droit tord-il le bras aux parlementaires en refusant les débats de fond, en court-circuitant les procédures législatives, en confisquant la démocratie, en refusant toutes les propositions telles que le référendum, l’union civile, le renforcement du pacs ?

 

Les députés ne vous appartiennent pas, Monsieur Hollande.

Ils appartiennent aux Français qui les ont élus pour défendre leurs choix et qui sauront s’en souvenir lors des prochaines élections.

Rendez-nous nos voix !

Rendez-nous notre démocratie !

 

MONSIEUR HOLLANDE,

VOUS AVEZ VOLE NOS COULEURS, NOTRE HISTOIRE, NOTRE ECONOMIE, NOTRE JUSTICE, NOS VALEURS, NOTRE DEMOCRATIE, NOTRE ARMEE, NOTRE IDENTITE.

 

GARE A LA COLÈRE DU PEUPLE FRANÇAIS.

 

IL N’A PLUS RIEN A PERDRE.

VOUS LUI AVEZ TOUT PRIS.

 

06 mai 2013

Lettre de tous les professionnels de l'enfance (et des autres aussi)‏

Madame Taubira, Monsieur Peillon,

 

J’ai un immense service à vous demander :

S’il vous plaît,

 

Venez expliquer aux enfants de nos classes de CP comment deux hommes ou deux femmes peuvent avoir un enfant…

Venez leur expliquer pourquoi Émilie a deux papas et comment ils ont fait pour avoir un bébé.

Venez leur expliquer que la femme qui a porté Émilie et qui l’a mise au monde, l’a donnée - probablement contre finance - à ses deux papas, et que ce n’est pas grave… que c’est « normal ».

Venez leur expliquer que, quand on a porté un enfant pendant neuf mois, c’est sans conséquence de s’en séparer… que cela se fait avec le sourire qu’on gardera le contact par Skype, parce que les origines, c’est important !

Venez leur expliquer pourquoi il y a en Inde des cliniques où des femmes sont payées pour « produire » des bébés pas chers, comme on le voit aujourd’hui dans les reportages de France 2 et de Canal +.

 

Madame Taubira, Monsieur Peillon,

Venez expliquer aux enfants de nos classes de CE1 comment on peut faire sa généalogie quand la loi dit que l’on a deux pères ?

Venez au tableau avec nous faire le dessin de l’arbre généalogique à trois branches : une branche pour le premier papa, une branche pour le second papa et une pour la maman dont Émilie descend biologiquement.

Venez expliquer à nos élèves que c’est normal, que cela ne pose aucun problème.

 

Madame Taubira, Monsieur Peillon,

Venez expliquer aux élèves de 4e, que la biologie n’a rien à voir avec l’identité sexuée.

Venez expliquer que la testostérone, c’est finalement la même chose que l’œstrogène… Que le cerveau n’est pas influencé par ces hormones… Que tout cela, ça n’a pas d’importance car finalement ce qui compte, c’est la façon dont on est éduqué.

Venez expliquer que l’humanité n’est plus composée d’hommes et de femmes, mais qu’en fait, elle se divisera demain en une multitude de genres : hétérosexuel, homosexuel, bisexuel, transsexuel, multi-sexuels, intersexuels, auto-sexuel, alter-sexuel, allo-sexuel, asexuel…

 

Madame Taubira, Monsieur Peillon

Nous vous suivrons sur le terrain du respect de la différence !

Oui, l’école doit apprendre aux enfants qu’il existe bien des manières d’être un garçon et une fille et qu’on n’éduque pas à coup de caricatures ;

Oui, l’école doit être attentive à ce que les enfants soient accueillis et respectés, quelles que soient leur couleur de peau, leur manière de vivre, leur religion, leur apparence physique, leur niveau intellectuel, leur famille ;

Là-dessus, nous vous suivrons et nous vous soutiendrons, car cela construit une société plus juste, plus fraternelle.

 

Mais ne nous demandez pas d’expliquer l’inexplicable.

Ne nous demandez pas de justifier l’injustifiable.

Ne nous demandez pas l’équilibre impossible !

 

Enseignants, aides-maternelles, psychologues, orthophonistes, éducateurs et éducatrices, pédiatres… ces métiers de l’enfance, nous ne les avons pas choisis par idéologie politique ou religieuse. C’est la passion de l’éducation qui nous conduit chaque jour auprès d’eux pour les aider à grandir et à surmonter les défis de la vie.

 

Nous faisons notre maximum ! Ne nous demandez pas l’impossible !

 

J’en appelle à tous les professionnels de l’enfance qui refusent de devenir les complices d’une loi qui brouillera les repères nécessaires à l’éducation des jeunes.

J’en appelle à tous les professionnels de l’enfance qui voient au quotidien la souffrance des enfants et des jeunes à qui il manque les repères élémentaires pour se construire.

Signez l’Appel des professionnels de l’enfance, (http://www.debattons.org) pour qu’ensemble nous continuions à réclamer des états généraux de la famille et à redire qu’on n’éduque pas les jeunes avec des théories, mais en donnant des bases, des repères qui permettent de vivre le réel.

 

Les enfants n’ont pas voix au chapitre, ils ne votent pas, n’ont pas accès aux médias : c’est notre métier, notre passion et c'est notre devoir de faire entendre leur voix !

 

Jérôme Brunet,

Président de l'Appel des professionnels de l'enfance

 

23 avril 2013

Témoignage reçu par une Veilleuse à Paris

 Témoignage de Marie H.

 

crs,mpt,veilleurs,chants"Il est 5h30 ce matin, 19 avril, depuis une heure je ne peux plus dormir, les mots se bousculent dans ma tête : il faut que j'écrive. Ce message n'est pas un manifeste, il s'agit simplement pour moi d'exprimer ce que nous avons vécu, de déposer le poids de ce combat que nous avons mené, hier soir encore, avec les « Veilleurs », ce combat trop grand pour nous. Il s'agit aussi, puisque cela c'est fait comme cela, d'associer tous ceux qui ne peuvent être avec nous, mais dont le soutien et la prière nous ont permis de tenir. A ceux qui doutent de ce témoignage – doute légitime, lorsqu'on en ignore la provenance – je voudrais juste assurer qu'il est vrai. C'est moi, Marie H., qui l'écris ; je ne dis que ce que j'ai vu, de la manière la plus sobre possible, à tel point que ceux qui étaient là avant-hier m'ont jugée parfois « trop gentille ». Je ne cherche ni la polémique – je n'ai pas l'habitude d'en faire, ni à ce qu'on parle de moi – non, vraiment pas.

 

22h :

La manifestation se termine, je rejoins calmement le groupe des Veilleurs. Ils ont changé de pelouse ; bien plus nombreux qu'hier, déjà encadrés par les CRS, qui néanmoins ne nous empêchent pas de les rejoindre. Axel est là, Alix à ses côtés ; ils ont investi dans un haut-parleur plus puissant, avec un micro, pour que tous puissent entendre (hier, nous avions donné chacun un euro à cet effet). Comme hier, ils nous exhortent à la résistance et à la paix intérieure, pendant que nous chantons doucement « l'espérance ». Malgré le nombre, l'ambiance est plus sereine, plus unie qu'hier soir. Certains montrent des portraits de Gandhi imprimés sur des feuilles de papier.

 

22h30 :

Axel nous a annoncé d'emblée que la police a reçu l'ordre de nous déloger. Pour l'instant, les CRS nous quittent, ayant à faire un peu plus loin sur l'esplanade, où des groupes de manifestants refusent de se disperser. Nous écoutons Bernanos, puis Aragon, La Rose et le Réséda... Alix nous lit ensuite un article sur le gender, qui dénonce le projet du ministre Vincent Peillon, intimement lié à celui de la « loi Taubira », d'« arracher » les enfants aux convictions de leurs parents, pour « libérer » leur intelligence en leur enseignant qu'il n'existe pas de sexe biologique, mais seulement une identité de genre à construire librement – ce sont les mots même des textes officiels. Axel nous parle, rappelant que nous sommes forts parce que nous ne sommes pas là pour nous-mêmes, mais pour le plus faible que nous, l'enfant de demain, nos propres enfants, auxquels on veut nous interdire de dire que la complémentarité des sexes existe, et qu'elle est bonne.

 

23h :

Le président des musulmans de Versailles prend le micro quelques minutes, expliquant qu'il nous a rejoints parce que son cœur le lui dictait. « Vous êtes les étoiles du monde ». Ma voisine me montre, à un mètre de nous, Monseigneur Rey, évêque de Fréjus-Toulon, un genou à terre, parmi nous. Lui aussi nous encourage brièvement (« Votre silence est plus fort que les mots »), puis encore l'abbé Grosjean, prêtre des environs de Versailles, qui nous a rejoints avec un autre prêtre.

 

23h15 :

Les choses se gâtent. Les jeunes qui s'agitaient plus loin, poursuivis par les CRS, se rabattent brusquement vers nous, arrivent en courant, et se « réfugient » tout autour de notre groupe. Mouvement de panique ou manoeuvre de la police ? Les deux sans doute. Nous reprenons en choeur « l'espérance », pour montrer notre pacifisme et ne pas laisser ébranler notre paix intérieure. Les CRS nous encerclent. Mais cette fois, ceux qui semblent étonnés sont les jeunes qui viennent de nous rejoindre, qui juste auparavant ont peut-être jugé « cucu » notre manière d'agir, et qui maintenant s'asseoient progressivement parmi nous. Il y a quelques minutes, Axel nous a assuré que nous étions bien plus subversifs, plus dangereux pour le pouvoir, parce que notre force est inattaquable.

 

23h30 :

Les CRS nous cernent tout près, avec casques et boucliers. Une seconde ligne se met en place, pour tenir à distance ceux qui nous regardent. De nombreux journalistes sont là, entre les CRS et nous, caméra, appareil photo ou portable en main. Nous chantons dans le calme. Axel nous informe que des policiers en civil sont parmi nous, repérables à leur oreillette (devant à ma droite, je vois quelques mains en désigner un silencieusement). Ils ont pour mission de créer parmi nous la panique. Axel ajoute : « Aujourd'hui, en France, ils sont payés pour cela. Nous leur pardonnons. » Bruit de sirène, première sommation : ceux qui le veulent peuvent se diriger tout de suite vers le métro, les autres seront interpellés. Aucune raison n'est donnée : nous n'avons rien fait d'autre que chanter, assis par terre sur une pelouse. Le gouvernement nous arrête pour des raisons politiques, pour le seul crime de n'être pas d'accord avec lui. Axel a répété les mots d'hier, sur le fait que ceux qui veulent ou doivent partir, le font en toute liberté et sans aucun jugement. Un certain nombre se lèvent, escortés à l'extérieur du cercle par les CRS. Nous resserrons les rangs.

 

23h45 :

Le haut-parleur d'Alix et Axel est au bout de sa batterie, dernières consignes en cas de garde à vue, encouragements... plus rien. Pendant encore trois quarts d'heure, nous allons uniquement chanter en boucle les trois couplets de « l'espérance » pour rester unis. Axel a encore un petit mégaphone, mais très peu d'entre nous l'entendent. Au fil des minutes, des bribes me parviennent : « Demain, promet Axel, nous auront une meilleure sono, nous mettrons de la musique classique. Demain, nous imprimerons le chant de l'« espérance », nous l'imprimerons sur des centaines de papiers, chacun pourra l'apprendre. » Demain, demain... Puis, c'est la voix d'Alix : « vous êtes en train d'écraser le mensonge »... Deuxième sommation : personne ne bouge. Je n'ai rien d'une extrémiste, mais j'ai l'intime conviction qu'il faut rester, nous sommes tellement dans notre bon droit, nous n'avons rien fait, et la disproportion est telle entre leurs moyens et les nôtres ! Nous sommes environ trois cent à être restés. Alors les gendarmes arrivent, et commencent à enlever, un par un, ceux qui sont situés le plus à droite du groupe, et à les traîner jusqu'au « panier à salade ». Accrochés, serrés, toujours nous chantons, couvrant les cris de panique qui jaillissent parfois. Parfois un cri plus fort retentit, pour provoquer la terreur, sans doute celui d'un policier en civil, couvert aussitôt par des « chut » indignés et par le chant : ils ne parviennent pas à nous faire peur.

 

Minuit :

Le bus est plein : une cinquantaine de prisonniers, pris au hasard, ceux qui étaient dans ce coin-là ; d'autres dans les camions de police, environ quatre-vingt en tout semble-t-il. Le chef de la police nous supplie presque de rentrer : « vous pouvez encore vous rendre au métro, et rentrer chez vous ». Peu se lèvent. Nous chantons, et ceux qui sont à l'intérieur du bus nous accompagnent en tapant sur les murs et les fenêtres.

 

Minuit quinze :

Le bus est parti. Les policiers ne savent plus quoi faire de nous. Leurs avertissements sont couverts par le chant. Il ne reste que quinze minutes ; nous leur avons dit, nous partirons dans le calme à minuit et demie. Mais ils ont des ordres ; alors ils continuent à nous emmener de force : ils se mettent à deux, somment un jeune de se lever et, celui-ci n'obtempérant pas, le tirent et le lèvent plus ou moins violemment, selon la résistance qu'il oppose. Plusieurs ont leur matraque à la main. Parfois des coups, je perçois notamment un cri de fille, puis un attroupement de journalistes et de policiers... Il y aura quelques blessés.

 

Minuit vingt :

Des députés nous ont rejoints, paraît-il. Les quelques journalistes qui sont restés se concentrent sur eux. Les CRS continuent de nous emmener un à un, nous continuons de chanter, et nous comptons les minutes en les voyant se rapprocher. Je n'ai pas peur, cela m'est bien égal d'aller en garde à vue : du moment qu'un tiers d'entre nous y sont, autant y aller tous avec eux ! Du moment que nos dirigeants sont capables d'aller jusque là pour nous faire taire... En fait, ceux qui sont enlevés de force lors de cette « deuxième série » sont tout simplement ramenés au métro, nous ne le saurons qu'ensuite. Un CRS s'énerve de la résistance que lui oppose un jeune et s'écrie violemment : « Mais arrêtez ! Vous nous empêchez de faire notre boulot ! » Alors là, c'est très fort ! Quelques exclamations fusent parmi nous, même pas de colère ou de vindicte, plutôt de bon sens, presque d'humour : la situation est tellement absurde ! C'est nous qui empêchons les CRS...

 

Minuit vingt-cinq :

Il reste cinq minutes. Nous ne sommes plus que quelques-uns. Axel et Alix ont été emmenés. Les CRS sont tous proches de moi, ils emportent la jeune fille juste devant, puis s'en prennent au garçon qui était à côté d'elle. Celui-ci résiste, accroché à celui de derrière : un CRS tape avec sa matraque pour le faire lâcher, mais n'y parvient pas. Nous comptons les dernières secondes.

 

Minuit et demie !

D'un seul homme, nous nous levons, victorieux. Nous reprenons le chant. Nous affirmons calmement que nous allons rentrer : nous n'avons pas cédé à la force, nous partons librement, à minuit et demie, comme nous l'avions décidé. Côté CRS : « resserrez les rangs ! ». Nous sommes peut-être une cinquantaine, au milieu d'un cercle très étroit de boucliers. Nous ne montrons pas d'autre signe de violence que de ramasser dans la bonne humeur les bougies, les papiers et les affaires semés sur place, pour laisser propre la pelouse des invalides. Puis les CRS nous escortent en groupe jusqu'au métro. Chez nous paix incroyable, et même bonne humeur : certains essaient d'échanger quelques plaisanteries avec les CRS... Cette fois, vraiment pas d'autre choix que de prendre le métro, même si on habite à deux pas. Alors nous obtempérons, espérons que nous pourrons sortir aux prochaines stations, ce dont certains ont été empêchés hier soir jusque bien tard...

 

Voilà ce qui se passe, en France, le 18 avril 2013. Nos dirigeants ont choisi de mobiliser des centaines de CRS pour arrêter des jeunes qui chantaient et écoutaient des textes, assis sur l'herbe.

 

Ils veulent nous discréditer et nous faire taire, parce que nous osons proclamer que nous préférons le bien et la vérité à l'idéologie et au plaisir égoïste du moment. Ce soir encore, nous sommes victorieux, mais cette victoire a un goût amer. Amer, pour ceux qui ont été emmenés cette nuit au poste, innocents désignés au hasard par l'arbitraire du pouvoir. Amer, pour ceux qui ont reçu des coups, qui ont été blessés, pour rien. Amer surtout, de voir comment répondent nos dirigeants aux aspirations de notre jeunesse qui aime le bien et la concorde, l'intelligence et la culture : par le mensonge et la violence."

25 mars 2013

Petite histoire de chiffres et de vrais mensonges

Savez-vous comment les forces de police effectuent leur calcul pour évaluer le nombre de personnes présentes lors d'une manifestation ?

Un jour j'ai posé la question... Et voici leur réponse.

Le point de départ du calcul est la considération qu'une personne occupe un espace d'un mètre sur un mètre, selon la surface largeur/longueur du défilé en question...

 

Prenons à titre de référence "La Manif Pour Tous"...

Manifestation qui a eu lieu à Paris le dimanche 24 mars 2013.

 

Faits techniques officiels :

* Longueur officielle du défilé qui s'est étendu sur 4 grosses avenues de la capitale ainsi que les rues et places adjacentes (soit de Esplanade de La Défense, Avenue Charles de Gaulle, Place de la Porte Maillot, Avenue de la Grande Armée, Place de l'Etoile, Avenue Foch et Avenue Carnot) : 8kms soit 8.000m.

* L'avenue de la Grande Armée a une largeur d'environ 70 à 80m, l'avenue Charles de Gaulle a une largeur d'environ 75m, l'avenue Foch a une largeur d'environ 120m, l'avenue Carnot a une largeur d'environ 40m. Faisons la moyenne... Nous obtenons 77,5m.

Allez soyons généreux... et refaisons les calculs avec une largeur de 75m...

 

1. SELON LA POLICE

 

Si l'on suit le raisonnement de la Préfecture de Police, on va recalculer le nombre de manifestants qu'ils auraient dut annoncer.

 

* Sur la largeur, nous avons 75m et donc 75 personnes ;

* Puis sur une longueur d'un mètre de large nous avons 8.000m soit 8.000 personnes ;

8.000 x 75 = 600.000 personnes...

 

=> Mensonge :

Avec ses propres considérations, la Préfecture de Police de Paris se ment déjà à elle-même...

Elle aurait dut annoncer 600.000 personnes et non pas 300.000 !!!

 

2. SELON MOI

 

Mais tout le monde sait bien que dans une manifestation nous ne sommes jamais à un mètre les uns des autres, comme voudrait le faire croire la Préfecture de Police... Il y a ceux qui se tiennent par la main, ceux qui sont dans les bras les uns des autres, ceux qui sont montés sur les épaules les uns des autres, ceux qui marchent collés les uns aux autres et les autres... Faites le test, marcher à 1 mètre entre chaque personne signifie que les bras étendus et en tournant sur vous-même, vous ne touchez ou frôlez personne... Vous savez bien que ce n'est pas le cas...

 

Il me semble plutôt que dans ce types de défilé nous marchons à environ 70cm d'écart de moyenne et comme nous ne sommes pas non plus alignés comme dans des rangs d'oignons, à ce nombre de manifestants il faudrait bien sûr ajouter une estimation de ces "intercalés entre les rangs"...

 

Refaisons le calcul avec ses considérations...

 

* Sur la largeur du défilé : 75m / 0,70m donnent donc 107 personnes (arrondi au dixième inférieur) ;

* Sur une longueur : 8.000m / 0,70m donnent donc 11.429 personnes (arrondi au dixième supérieur) ;

 

Estimons ensuite ces "intercalés" à partir des données suivantes:

* 8.000m de défilé que je divise volontairement par 2, soit 4.000m ;

* 107 manifestant par "ligne" que je divise également volontairement par 2, soit 53 personnes ;

Cela donne donc le calcul des "intercalés" suivant : 4.000m / 0,70m x 53 personnes = 303.000 personnes...

 

Reprenons donc le calcul dans son intégralité :

((75 / 0,70) x (8.000 / 0,70)) = 1.224.490 personnes (arrondi au dixième supérieur),

Ajoutons maintenant les "intercalés" au nombre de 303.000 personnes,

1.224.490 + 303.000 = 1.527.490 personnes.

 

Donc, si je suis le raisonnement qui me semble être le plus réaliste, nous aurions vraisemblablement été entre 1,5 et 1,6 millions de personnes à battre le pavé pour dire NON au projet de loi "Mariage pour Tous" en ce dimanche 24 mars 2013...

 

3. CONCLUSIONS

 

* La police annonce 300.000 personnes,

* Selon les méthodes de la préfecture de Police, il aurait fallu annoncer 600.000 personnes ;

* Le collectif LMPT annonce 1,4 million de manifestants,

* Selon mon recalcul officieux on obtient plus d'1,5 million...

 

Alors, où est la réalité ? Qui a tord, qui a raison ?

On ne saura probablement jamais.

Mais ce qui est certain, c'est qu'il y a un mensonge quelque part.

Et s'il y a mensonge... il est mensonge d'état...

 

Et ça, c'est tot bonnement insultant, méprisant et ça frise même l'arrogance !!!

Insultant pour les manifestants qui se sont déplacés, insultant pour les organisations et collectifs organisateurs et insultant aussi et surtout pour le peuple français qui MÉRITE QU'ON LUI DISE LA VÉRITÉ, quelle qu'elle soit !!!

Un gouvernement qui ment à son peuple, on appelle ça comment ?

 

11 janvier 2013

Le fils du chirurgien

 

Leçon de vie...


Un médecin est entré à l'hôpital dans la hâte après avoir été appelé pour une chirurgie urgente. Il a répondu à l'appel, a changé dès que possible ses vêtements et est allé directement au bloc de chirurgie.

 

Là, il trouve le père du garçon qui fait des va-et-vient dans le hall.

 

En voyant le médecin arriver, le papa hurle : « Pourquoi avez-vous pris tout ce temps pour venir ? Vous ne savez pas que la vie de mon fils est en danger ? Vous n'avez pas le sens de responsabilité ? »

 

Le médecin sourit et dit : « Je suis désolé, je n'étais pas dans l'hôpital et je suis venu le plus rapidement possible après avoir reçu l'appel… Et maintenant, je souhaite que vous vous calmiez pour que je puisse faire mon travail. »

 

« Me calmer ? Et si c’était votre fils, vous seriez calme ? Si votre propre fils meurt maintenant que feriez-vous ? » dit le père avec colère.

 

Le médecin souri encore et répondit : « Je dirai de la poussière nous sommes venus... Les médecins ne peuvent pas prolonger des vies... Nous ferons de notre mieux par la grâce de Dieu. »

 

« Donner des conseils quand nous ne sommes pas concernés c’est si facile… » murmura le père.

 

L'intervention a pris quelques heures après lesquelles le médecin sorti heureux. « Votre fils est épargné, si vous avez n'importe quelle question, demandez à l'infirmière ! »

 

« Pourquoi est-il si arrogant ? Il ne pouvait pas attendre quelques minutes pour que je me renseigne sur l'état de mon fils ? » a commenté le père en voyant l'infirmière après que le médecin soit partit.

 

L'infirmière répondit, les larmes descendant son visage : « Son fils est mort hier dans un accident de la route, il était à l'enterrement quand nous l'avons appelé pour la chirurgie de votre fils. Et maintenant qu'il a épargné la vie de votre fils, il est parti courir pour finir d'enterrer de son fils ! »

 

Ne JUGER PERSONNE parce que vous ne savez pas ce qu'elle traverse en ce moment…

 

29 novembre 2012

Des marécages à la pénicilline...

 

Il s'appelait Désiré, c'était un pauvre fermier écossais.

 

Un jour, alors qu'il tentait de gagner la vie de sa famille, il entendit un appel au secours provenant d'un marécage proche.

Il laissa tomber ses outils y courut et trouva un jeune garçon enfoncé jusqu'à la taille dans le marécage, apeuré, criant et cherchant à se libérer.


Le fermier sauva le jeune homme de ce qui aurait pu être une mort lente et cruelle.

 

Le lendemain, un attelage élégant se présenta à la ferme.

Un noble, élégamment vêtu, en sortit et se présenta comme étant le père du garçon que le fermier avait aidé.


·     Je veux vous récompenser, dit le noble. Vous avez sauvé la vie de mon fils !

·     Je ne peux accepter de paiement pour ce que j'ai fait répondit le fermier écossais.

 

Au même moment, le fils du fermier vint à la porte de la cabane.

·     C'est votre fils ? demanda le noble.

·     Oui Alexander, répondit fièrement le fermier.

·   Alors, je vous propose un marché. Permettez-moi d'offrir à votre fils la même éducation qu'à mon fils. Si le fils ressemble au père, je suis sûr qu'il sera un homme duquel tous deux seront fiers.

Et le fermier accepta.

 

Le fils du fermier Fleming suivit les cours des meilleures écoles et à la grande finale, il fut diplômé de l'École de Médecine de l'Hôpital Sainte-Marie de Londres. Porteur d'une grande aspiration, il continua jusqu'à être connu du monde entier…


Le fameux Dr Alexander Fleming avait en effet découvert la pénicilline.

 

Des années plus tard, le fils du même noble qui avait été sauvé du marécage était atteint d'une pneumonie.


Qui lui sauva la vie, cette fois ?

La pénicilline…


Comment s'appelait le noble ?

Sir Randolph Churchill et son fils, Sir Winston Churchill.



25 novembre 2012

Lettre à mon Député !

Je vous donne, ci-après, la copie de mon courrier adressé ce jour à Monsieur Pierre-Alain Muet, député PS de la 2nde Circonscription du Rhône.

 

Monsieur le Député Pierre-Alain Muet,


L'élargissement du mariage et de l'adoption aux couples de même sexe constituerait une rupture de société majeure. Le renouvellement des générations et l'éducation des enfants ont toujours été confiés à la cellule familiale dont l'altérité sexuelle est une condition indispensable de la fécondité. Or ce projet dissocie les liens entre parenté biologique et filiation que le mariage civil entend protéger. Toute réforme de l'adoption, institution créée pour donner une famille à un enfant qui en est dépourvu et non l'inverse, devrait avoir pour seul but une défense plus efficace des droits de l'enfant.

 

Ce projet, proposé dans un contexte social déjà fragilisé, présenterait un bouleversement pour l'ensemble des familles d'aujourd'hui et de demain et entraînerait des conséquences impossibles à estimer en l'état actuel. Les formules à l'emporte pièce et la radicalité des postures empêchent la pleine prise de conscience des enjeux de cette réforme, qui risque d'être votée sous l'éclairage de slogans plutôt que d'arguments.

 

Le gouvernement n'a pas souhaité préciser les enjeux de sa réforme, comme en attestent à la fois la brièveté de l'exposé des motifs du projet de loi et l'absence de communication sur le sujet.

 

Il vous revient donc, à vous qui nous représentez, de vous assurer que tous les aspects de cette entreprise soient clairement posés et que l'ensemble des corps la société civile soit consulté. Sur un sujet aussi fondamental, nous vous appelons à vous former un avis et par la suite un vote en conscience et indépendant de toute logique politique.

 

Il est de votre responsabilité d'élus de prendre clairement position de façon raisonnée sur le sujet et de poser le cadre d'un débat apaisé, respectueux de chacun et approfondi. Je demande donc que le gouvernement reporte son projet de loi, et qu'un vrai débat soit organisé, avec votre aide, avant l'examen du texte. Ce grand débat doit être public et d'échelle nationale, car il engage l'avenir de chaque citoyen de notre pays.

 

Je vous en prie, avec tout le respect que j'ai pour vous, réfléchissez bien aux tenants et aboutissants de ce projet. Et plutôt que d'écouter les voix discordantes des lobbys, de la passion et les voix prisonnières des luttes partisanes, écoutez la petite voix de votre conscience...

 

Je vous remercie.

 

Me tenant à votre disposition pour vous exposer plus avant ma position, je vous prie d'agréer, Monsieur le Député, l'expression de ma plus haute considération.

 

Laloua Pauline

(69001)

 

24 novembre 2012

Le Robot detecteur de mensonges...

Un homme rentre de son travail avec un robot détecteur de mensonges.

Son fils de 12 ans rentre avec 2 heures de retard de l'école.

 

- Où étais-tu depuis tout ce temps ? demande le père.

- J'étais à la bibliothèque pour préparer un devoir !

Le robot se dirige vers le fils et lui assène une claque...

 

Le père explique :

- Mon fils, ce robot est un détecteur de mensonges ! Tu ferais mieux de dire la vérité...

- Ok... J'étais chez un copain et nous avons regardé un film : Les 10 Commandements.

Et paf ! Le robot assène de nouveau une claque au fils...

- Aïe ! Bah oui ! En fait, c'était un film porno...

 

Le père :

- J'ai honte de toi ! À ton âge, je ne mentais jamais à mes parents !

Et paf ! Le robot assène une baffe au père...

La mère se marre :

- Décidément, c'est bien ton fils ...

Et paf ! Une baffe à la mère...

 

Ah ah ah ah ah ah !!!!

12 novembre 2012

Je ne veux pas me laisser imposer certaines lois...

 

« Madame Machin, catholique, ne veut pas marcher avec les "intégristes" parce qu’"on" va faire des amalgames » ; « Monsieur Bidule, chrétien BCBG, lui, ne veut pas marcher avec Madame Conforme et sa portée de têtards mal mouchés : ça pourrait faire "cathos-lapins"» ; « Madame Association-bien-en-vue voudrait bien, elle, que Monsieur Bidule ne vienne pas en bourgeois versaillais à la marche, car on pourrait croire que seuls les bourgeois sont pour la famille. »…

 

Pharisianisme contemporain où l’on s’autoproclame bonne image du catho, bon vecteur médiatique de Jésus, les autres, tous les autres, pauvres cloches de publicains, viennent souiller par leur présence nauséabonde notre pure manif. Il faudrait, nous dit-on, ne pas ressembler à qui nous sommes : c’est-à-dire des cathos pratiquants, relativement aisés, pour la plupart de milieux favorisés, culturellement à droite, où les bulletins de vote se répartissent entre Sarko, Villiers, Boutin ou Le Pen.

 

Faudra bien un jour assumer ce que nous sommes !

 

Quoi qu’il en soit, nous avons marché pour la vie, et nous marcherons contre le mariage homo, bref nous militerons pour la famille et l’on se moque absolument de qui marchera à nos côtés : intégristes, curés à tête de dogues, à pompes à boucles ou à boucle d’oreille, de l’Opus Dei ou des Légionnaires du Christ, charismatiques à particule, ou en sandales, catho mondain et sa femme de ménage, vrai tradi et fausse blonde, protestant prédestiné ou orthodoxe séparatiste, salafiste sans bombe, juif fondamentaliste sans uzi, Indien d’Amérique ou Africain de Sarcelles, et expulsés de masterchef…

 

Je me moque absolument de qui marche à mes côtés.

Je ne vais chercher ni ma foi, ni mon père spi, ni mon gendre ni ma belle-mère, et encore moins l’image de moi.

 

Je veux simplement dire NON à leur foutu projet de société !

 

Signé : L'Humeur de Pasquin

04 octobre 2012

Où est le Bon Dieu ??!!!

Un couple avait 2 garçons, de vrais espiègles.

 

Ils avaient fait à peu près tous les mauvais coups incroyables qui avaient eu lieu dans leur petit village. Chaque fois que quelque chose se passait dans le village, les résidents savaient qui étaient les responsables : on les accusait.

 

La mère les avait punis, grondés, avait discuté avec eux mais c'était peine perdue.

 

Le père, après avoir fait la même chose, dit à sa femme : ''Qu'est-ce que tu dirais si on demandait au curé de discipliner nos deux espiègles? '' 

 

Ils demandèrent donc au curé de discuter avec leurs enfants, mais il devait leur parler un à la fois.

 

Donc le plus jeune se présenta au presbytère le matin, le curé le fit asseoir et immédiatement lança au petit : ''Où est Dieu ? '' Aucune réponse. Le curé répéta : ''Tu connais le Bon Dieu ! Où est-il ? ''  Toujours le silence. Le curé, exaspéré par le silence du jeune, lança cette fois-ci de sa grosse voix autoritaire : ''Pour la dernière fois, je te demande, où est Dieu ?''

 

Le jeune se leva, prit ses jambes à son cou et sans s'arrêter se sauva directement chez lui.

En arrivant, il prit son frère par le bras, le tira jusque dans la garde-robe et ferma la porte.


À bout de souffle, il lui dit : ''Là on est dans la merde ! Ils ont perdu le Bon Dieu et ils pensent que c'est nous qui avons fait le coup !!!”

 

Une petite fille de 9 ans...

Une petite fille de 9 ans demande à sa maman :

- Quel âge as-tu, maman ?
- Cela ne se demande pas ma chérie, lui répond sa mère.
- Combien tu mesures, maman ?
- Cela n'est pas important ma chérie, reprend la mère.
- Maman, pourquoi toi et papa vous avez divorcé ? Redemande la petite fille.
- Cela ne te regarde pas ma chérie, dit la mère en terminant la discussion.


La petite fille demanda à sa meilleure copine pourquoi les adultes ne parlent pas de ces choses-là.

Sa copine lui dit : C'est vraiment simple, toutes les réponses à nos questions sont sur leur carte d'identité. Donc ce soir tu regardes...
 
Le lendemain la petite fille fouille dans le sac à mains de sa mère et trouve sa carte d'identité. Elle est ravie de voir que son amie disait vrai, toutes les réponses à ses questions s'y trouvent !

Elle court alors voir sa mère et lui dit :
- Maman, je sais ton âge.
- Ah oui ? Et j'ai quel âge ?
- 36 ans. Et je sais combien tu mesures.
- Ah oui ? Combien ?
- 1 mètre 71. Et je sais aussi pourquoi toi et papa avez divorcé...

- Et bien cela m'étonnerait fort !
- Tu as eu un F en sexe...
   Et ça, ce n'est vraiment pas une bonne note !

08 septembre 2012

Noé du XXIème siècle

En 2012 après Jésus-Christ, Dieu rend visite à Noé et lui dit : « Une fois encore, la terre est devenue invivable et surpeuplée. Construis une arche et rassemble un couple de chaque être vivant ainsi que quelques bons humains. Dans six mois, j'envoie la pluie durant quarante jours et quarante nuits, et je détruis tout !!! »

Six mois plus tard, Dieu retourne visiter Noé et ne voit qu'une ébauche de construction navale.

·                Mais, Noé, tu n'as pratiquement rien fait ! Demain il va commencer à pleuvoir !!!

·                Pardonne-moi, Tout Puissant, j'ai fait tout mon possible mais les temps ont changé...

Ø  J'ai essayé de bâtir l'arche mais il faut un permis de construire et l ‘inspecteur me fait des ennuis au sujet du système d'alarme anti-incendie.

Ø  Mes voisins ont créé une association parce que la construction de l ‘échafaudage dans ma cour viole le règlement de copropriété et obstrue leur vue. J'ai dû recourir à un conciliateur pour arriver à un accord.

Ø  L'Urbanisme m'a obligé à réaliser une étude de faisabilité et à déposer un mémoire sur les coûts des travaux nécessaires pour transporter l'arche jusqu'à la mer. Pas moyen de leur faire comprendre que la mer allait venir jusqu'à nous. Ils ont refusé de me croire.

Ø  La coupe du bois de construction navale s'est heurtée aux multiples associations pour la Protection de l'Environnement sous le triple motif que je contribuais à la déforestation, que mon autorisation donnée par les Eaux et Forêts n'avait pas de valeur aux yeux du Ministère de l'environnement, et que cela détruisait l'habitat de plusieurs espèces animales. J'ai pourtant expliqué qu'il s'agissait, au contraire de préserver ces espèces, rien n'y a fait.

Ø  J'avais à peine commencé à rassembler les couples d'animaux que la SPA et WWF me sont tombés sur le dos pour acte de cruauté envers les animaux parce que je les soustrayais contre leur gré à leur milieu naturel et que je les enfermais dans des pièces trop exiguës.

Ø  Ensuite, l'agence gouvernementale pour le Développement Durable a exigé une étude de l'impact sur l'environnement de ce fameux déluge.

Ø  Dans le même temps, je me débattais avec le Ministère du Travail qui me reprochait de violer la législation en utilisant des travailleurs bénévoles. Je les avais embauchés car les Syndicats m'avaient interdit d'employer mes propres fils, disant que je ne devais employer que des travailleurs hautement qualifiés et, dans tous les cas, syndiqués.

Ø  Enfin le Fisc a saisi tous mes avoirs, prétextant que je me préparais à fuir illégalement le pays tandis que les Douanes menaçaient de m'assigner devant les tribunaux pour "tentative de franchissement de frontière en possession d'espèces protégées ou reconnues comme dangereuses.

Ø  Aussi, pardonne-moi, Tout Puissant, mais j'ai manqué de persévérance et j ‘ai abandonné ce projet.

 

 

Aussitôt les nuages se sont dissipés, un arc-en-ciel est apparu et le Soleil a lui.

·                Mais tu renonces à détruire le monde ? demanda Noé…

·                Inutile, répondit Dieu, l'Administration s'en charge très bien sans moi !!


01 septembre 2012

Une douce leçon de patience

Un taxi à New York a écrit :

 

Je suis arrivé à l'adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.

 

« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher. Après une longue pause, la porte s'ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940. À côté d'elle il y avait une petite valise en nylon. L'appartement semblait comme si personne n'avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps. Il n’y avait pas d'horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.

 

« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu'à la voiture ? » dit-elle. J'ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme. Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir. Elle n'arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n'est rien », je lui ai dit « J'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. » « Oh, tu es un bon garçon », dit-elle.

 

Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m'a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville ? » « Ce n'est pas le plus court chemin », répondis-je. « Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle, « Je ne suis pas pressée. Je me rends au centre de soins palliatifs. » J'ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n'ai pas de famille » reprit-elle d'une voix douce. « Le docteur dit que je n'en ai plus pour très longtemps. » J'ai discrètement arrêté le compteur.

 

« Quelle route voudriez-vous que je prenne ? » demandais-je. Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m'a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d'ascenseur. Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d'un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille. Parfois, elle me demandait de ralentir en face d'un bâtiment particulier ou dans un coin et s'asseyait le regard perdu dans l'obscurité, sans rien dire.

 

Lorsque le soleil commença à rejoindre l'horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant. » Nous avons roulé en silence à l'adresse qu'elle m'avait donnée. C'était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée. Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée. J'ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.

 

« Combien vous dois-je ? » m’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac. « Rien » lui dis-je. « Vous devez gagner votre vie », répondit-elle. « Il y aura d'autres passagers » ai-je répondu. Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort. « Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame » dit-elle. « Je vous remercie. »

 

Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d'une vie qui se termine. Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J'ai conduit sans but perdu dans mes pensées. Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée.

 

Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?

 

Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.

 

Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.

 

 

27 juillet 2012

AVOIR et ÊTRE

 AVOIR et ÊTRE

 Yves Duteil - 2002

 

  Loin des vieux livres de grammaire,

 Écoutez comment un beau soir,

 Ma mère m'enseigna les mystères

 Du verbe être et du verbe avoir.

 
  Parmi mes meilleurs auxiliaires,

 Il est deux verbes originaux.

 Avoir et Être étaient deux frères

 Que j'ai connus dès le berceau.

 
  Bien qu'opposés de caractère,

 On pouvait les croire jumeaux,

 Tant leur histoire est singulière.

 Mais ces deux frères étaient rivaux.

 
  Ce qu'Avoir aurait voulu être

 Être voulait toujours l'avoir.

 À ne vouloir ni dieu ni maître,

 Le verbe Être s'est fait avoir.

 
  Son frère Avoir était en banque

 Et faisait un grand numéro,

 Alors qu'Être, toujours en manque.

 Souffrait beaucoup dans son ego.

 
  Pendant qu'Être apprenait à lire

 Et faisait ses humanités,

 De son côté sans rien lui dire

Avoir apprenait à compter.

 
  Et il amassait des fortunes

 En avoirs, en liquidités,

 Pendant qu'Être, un peu dans la lune

 S'était laissé déposséder.

 
  Avoir était ostentatoire

 Lorsqu'il se montrait généreux,

 Être en revanche, et c'est notoire,

 Est bien souvent présomptueux.

 
  Avoir voyage en classe Affaires.

 Il met tous ses titres à l'abri.

 Alors qu'Être est plus débonnaire,

 Il ne gardera rien pour lui.

 
  Sa richesse est tout intérieure,

 Ce sont les choses de l'esprit.

 Le verbe Être est tout en pudeur,

 Et sa noblesse est à ce prix.

 
  Un jour à force de chimères

 Pour parvenir à un accord,

 Entre verbes ça peut se faire,

 Ils conjuguèrent leurs efforts.

 
  Et pour ne pas perdre la face

 Au milieu des mots rassemblés,

 Ils se sont répartis les tâches

 Pour enfin se réconcilier.

 
  Le verbe Avoir a besoin d'Être

 Parce qu'être, c'est exister.

 Le verbe Être a besoin d'avoirs

 Pour enrichir ses bons côtés.

 
  Et de palabres interminables

 En arguties alambiquées,

 Nos deux frères inséparables

 Ont pu être et avoir été.
 

 

26 juillet 2012

Conseils utiles en cas d’agression

CONSEILS DE SECURITE A LIRE ATTENTIVEMENT

Conseils utiles en cas d'agression

(attaque, vol, jacking...)


Ce document vient d'une personne qui travaille à l'École de Police de St-Cyr. Et je l’ai amélioré…

 

Sans sombrer dans la psychose, mieux vaut être paranoïaque que mort, il peut être utile de connaitre ces petits conseils, car si l’on venait à avoir besoin de s’en servir…

 

1)

Le coude est la partie la plus solide de notre corps... Alors si vous êtes assez proche pour vous en servir, allez-y ! Et puis avec votre genou, visez l’entrejambe de votre agresseur, d’un coup sec et rapide, cela l’immobilisera un moment, pour vous permettre de vous échapper en courant…

 

2)

Si un voleur vous demande votre porte-monnaie ou votre sac à main : ne pas lui donner en mains propres mais lancez-le loin de vous. Il y a de fortes chances pour qu'il se précipite sur l'objet, au lieu de vous attaquer. Profitez-en pour vous éloigner en courant le plus vite possible !

 

3)

Prenez toujours l'ascenseur au lieu des escaliers. Les cages d'escaliers sont des lieux de crimes parfaits ! Surtout la NUIT !

 

4)

Si un prédateur a une arme à feu mais ne vous tient pas : COUREZ ! Les chances qu'une balle vous atteigne ne sont que de 4 sur 100 et même si c'est le cas, les balles n'atteindront QUE RAREMENT un organe vital. Alors courez ! Et si possible en zigzaguant !

 

5)

Si après avoir démarré votre voiture vous voyez un papier coincé sur le pare-brise, n’en tenez pas compte et filez au loin. Attendez d’être chez vous pour l’ôter. C’est une astuce de brigand pour vous faire descendre de votre voiture en laissant le moteur allumé avec la clé dessus et avec bien-sûr aussi vos papiers (avec votre adresse), les clés de chez vous, votre portable dans la voiture… Avant que vous puissiez appelez à l’aide, le voleur sera loin et votre maison pourrait avoir été vidée…

 

6)

Si vous avez été enfermée dans le coffre d'une auto : enfoncez ou démonter un phare arrière, puis passez votre bras vers l’extérieur dans l'ouverture et agitez-le frénétiquement. Cela attirera l'attention de tous, à l'exception du conducteur. Un conseil qui a déjà sauvé des vies.

 

7)

Dès que vous entrez dans votre auto, verrouillez les portes et partez. Les femmes ont tendance à s'asseoir un moment dans leur auto pour faire leurs comptes, écrire une note, etc., après avoir travaillé ou avoir été faire les magasins.

 

8)

Ne restez pas assise dans votre auto stationnée et portes non verrouillées. Un prédateur peut vous observer et saisir l'occasion de se glisser du côté passager pour vous forcer de le conduire quelque part, un pistolet braqué sur votre tempe.

 

9)

Si un prédateur se trouve déjà à l'arrière dans l'auto, et braque son pistolet sur vous : ne suivez pas ses ordres, je répète : ne suivez pas ses ordres ! Arrangez-vous plutôt pour endommager votre auto. Choisissez un obstacle et appuyez sur l'accélérateur. N'ayez pas peur, votre coussin gonflable vous protègera. C'est la personne sur le siège arrière qui encaissera le coup. Dès que l'auto s'immobilise, sortez et courez. Une solution si vous ne voulez pas qu'on retrouve votre corps dans un endroit perdu.

 

10)

Quelques conseils de prudence dans les stationnements et les garages :

¨             Soyez vigilante. Regardez autour de vous. Inspectez l'intérieur de votre véhicule : le siège arrière, l'espace devant le siège passager avant.

¨             Si vous êtes stationnée à côté d'une camionnette, entrez dans votre auto de l'autre côté. La plupart des tueurs en série attaquent leurs victimes pendant qu'elles ouvrent la porte de leur auto, pour les entraîner dans leur camionnette.

¨      Observez toutes les autos stationnées de part et d'autre de votre véhicules. Si vous voyez un homme assis seul, surtout s'il est du côté de votre auto, peut-être est-il préférable de retourner à votre bureau ou au centre commercial et de demander l'aide d'un garde ou d'un policier pour vous raccompagner.

 

11)

En tant que femme, nous essayons toujours d'être gentille : LAISSEZ LA GENTILLESSE DE CÔTÉ ! Vous risquez d'être violée ou tuée. Ted Bundy, le tueur en série, était un homme beau et bien éduqué. Il comptait TOUJOURS sur la sympathie des femmes afin de les enlever : il marchait avec une cane, il boitait, il demandait de l'aide pour entrer dans son véhicule. Soyez prudentes !

 

12)

Rappelez-vous l'histoire du bébé qui pleure : Une femme a entendu des pleurs de bébé qui semblaient provenir de sa porte d'entrée. Plutôt que d'ouvrir, elle a appelé la police car cette situation, tard dans la soirée, lui semblait bizarre. La réponse de la police ne s'est pas faite attendre : "Surtout, n'ouvrez pas !" Ensuite, il a semblé à cette femme que le bébé avait rampé sous une fenêtre. Elle avait peur que le bébé n’aille jusqu'à la rue et se fasse heurter par une auto. À nouveau, le policier lui dit : "Surtout, n'ouvrez pas !". Il l'informa qu'il était possible qu'un tueur en série essaie d'apitoyer des femmes à l'aide d'un enregistrement de pleurs de bébé pour ensuite pénétrer chez elles. Ce fait restait à vérifier mais il confirma que la police avait reçu plusieurs appels de femmes qui avaient entendu "un bébé pleurer" dehors et la nuit, lorsqu'elles étaient seules chez elles ! Alors, s’il vous plaît, n'ouvrez pas si vous entendez des pleurs de bébé.

 

13)

Un dernier conseil : Ne jamais crier « À  l'aide ! » mais plutôt « AU FEU ! »C’est malheureux mais les gens vont sortir pour le feu mais rarement pour aider. Ça peut aussi désarçonner l'agresseur, il se demandera s'il a affaire à un fou ou une folle et il pourrait bien vous lâcher su place. (ref: formation en autodéfense pour femmes).

 

 

Finalement, j'aimerais que vous fassiez parvenir ces « rappels de bon sens » à toutes les femmes que vous connaissez. Il pourrait sauver une vie. Et puis tant que l’on y est, envoyez le aussi aux hommes de votre entourage, les hommes aussi aiment leurs mères, femmes, sœurs, filles, etc. et seraient peut-être également intéressés…

 

 

 

 

25 juillet 2012

A LA GLOIRE DES FEMMES

 LES FEMMES ONT TOUJOURS LE DERNIER MOT...

en tout cas, très souvent !

 

Première histoire

Un couple se balade en voiture à la campagne. Suite à une discussion plutôt acerbe, ils ne se parlent pas. Passant devant une ferme où on voit des ânes et des cochons, le mari ose briser le silence et dit : «Tiens, de la famille à toi? » Son épouse répond du tic au tac : « Oui, par alliance!»

 

Deuxième histoire

Un homme lit le journal et dit à son épouse : « Savais-tu que les femmes utilisent 30 000 mots par jour et les hommes 15 000 ? »

La femme lui répond : « C'est facile à expliquer, il faut toujours répéter deux fois la même chose aux hommes...»

L'homme se retourne vers elle et dit : « Quoi ? »

 

Troisième histoire

Un homme dit à son épouse : « Comment le bon Dieu a-t-il pu te faire aussi belle et aussi stupide à la fois ? »

Celle-ci répond : « Laisse-moi t'expliquer, Dieu m'a faite belle pour t'attirer... Et il m'a faite assez stupide pour que je te garde. »

 

Quatrième histoire

Suite à une dispute, un couple ne se parle plus. Aucun ne veut rompre le silence.

Soudain le mari se souvient qu'il doit se lever à 5:00 du matin pour prendre l'avion en vue d'un rendez-vous d'affaires important. Il prend un bout de papier et écrit : « Réveille-moi à 5 heures, je dois prendre l'avion. Il le place bien en vue. »

Le lendemain, il se réveille à 9h. Furieux, il se lève et aperçoit un papier sur sa table de nuit sur lequel il lit : « Il est 5h, lève-toi. »

 

Cinquième histoire

Il était une fois un homme très pingre qui avait travaillé toute sa vie et épargné son argent... Il aimait l'argent plus que tout et juste avant de mourir il dit à sa femme : « Lorsque je mourrai, je veux que tu mettes tout mon argent dans le cercueil avec moi, ce sera pour ma vie après la mort. » Bien à contrecœur, sa femme lui fit le serment de mettre tout son argent dans le cercueil avec lui.  Peu de temps après, il mourut...

Au cimetière, il était étendu dans son cercueil entouré de quelques amis, de membres de sa famille et de son épouse tout de noir vêtus. Comme la cérémonie se terminait et juste avant que le cercueil soit refermé et porté en terre, l'épouse dit: « Attendez une minute. » Elle prit alors une boîte qu'elle déposa dans le cercueil avec son époux. Les préposés firent alors descendre le cercueil dans la fosse. Un ami lui dit alors: « Écoute bien, j'espère que tu as été assez intelligente pour ne pas mettre tout son argent dans le cercueil avec lui comme il t'avait demandé ? »

L'épouse dit alors: « Bien sûr, je suis une bonne chrétienne et je ne puis revenir sur la parole faite à un mourant de mettre son argent avec lui dans le cercueil. Et elle ajouta : « Je lui ai fait un CHEQUE. »

 

 

 

 

 

 

24 juillet 2012

Laisse-moi

Tu es un ange qui a perdu ses ailes

Qui croit que le monde n’est que haine

Un petit ange ayant perdu son sommeil

Vivant sur une terre sans soleil

 

Ce bel ange est en faite un être déchu

Pour une confiance qu'il avait perdue

Mon combat pour toi va commencer

Pour te redonner confiance je vais lutter

 

La vie est tel un long chemin

Où l'on avance main dans la main

Si par malheur l'un de nous trébuche

Sur ce sentier semé d'embûches

 

L'ami est là pour l'aider à se relever

Et ensemble, on se remet à marcher

Laisse-moi, pour un instant, t'accompagner

Le long de ce chemin de ta vie désertée

 

Laisse-moi y semer l'amitié

Donne-moi le pouvoir de t'aider

Laisse-moi te le dire et le redire

"La vie doit être faite de sourires"

 

Je t'envoie ce poème d’amitié

Pour te dire que je ne vais pas t’oublier

Mon amitié n'a d'autres raisons

Que de t'ouvrir de nouveaux horizons

 

La main que je te tends est une chance

Alors laisse toi te bercer par la confiance

La main que je te tends est une chance

D’à nouveau en une amie avoir confiance.

 

amitié,confiance,ange

23 juillet 2012

Aujourd'hui Si On Faisait...

 

 

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Aujourd'hui, il serait bon

 De faire quelque chose qui sorte de l'ordinaire

 Nous pourrions, par exemple

 Danser dans la rue en partant au travail

 Regarder un inconnu droit dans les yeux

 Parler d'amour au premier coup d'œil

 Suggérer à notre patron une idée apparemment ridicule mais à laquelle nous croyons

 Acheter un instrument dont nous avons toujours voulu Jouer sans jamais oser

 Aujourd'hui, nous pouvons

 Verser des larmes pour quelques injustices qui nous sont restées en travers de la gorge

 Cette journée doit se démarquer du scénario que nous écrivons chaque matin

 Aujourd'hui toutes les fautes seront permises et pardonnées

 Aujourd'hui est un jour à profiter de la vie

 
 Paulo Coelho

 

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